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09/09/2010

Les retraites : mobilisation citoyenne, on continue

 banderole retraite 1.jpg

 

 

LA RETRAITE à 60 ANS, à TAUX PLEIN,
C'EST POSSIBLE !

Non à la contre- réforme des retraites proposée par le Gouvernement : nous demandons le retrait du projet de loi, d’autres solutions sont possibles !
Oui à l’ouverture des droits à la retraite à 60 ans, à taux plein (75 % du salaire des dix meilleures années pour le Privé et – l’équivalent - des six derniers mois pour le Public).
C'est possible ! Compte tenu des gains de productivité accumulés et en restituant la part des salaires dans la création des richesses, part qui a été accaparée par les gros actionnaires et amis du pouvoir en place.
Non au système de capitalisation individuelle confiée aux banques, aux fonds de pension pour entretenir la spéculation.
Oui au système par répartition, garant de la solidarité inter-générationnelle et de la maîtrise de la gestion des caisses de retraite par les salariés.
Le Collectif 05 Retraites appelle les citoyen(nes) à se mobiliser massivement chaque semaine jusqu’au retrait du projet de loi :


Rassemblement chaque jeudi de 18h30 à 20h

Place de la République de Gap

A partir du 9 septembre


A chaque rassemblement : un pot, une information et un débat sur un thème lié à la réforme des retraites : le 9 septembre - L’argument démographique : la contre vérité du « Vivre plus vieux nécessite de travailler plus longtemps »


COLLECTIF 05 RETRAITES

02/09/2010

La retraite, une affaire de jeunes !

MANIFESTATION à GAP

MARDI 7 SEPTEMBRE

10H30 Esplanade de l'Hôpital

Le gouvernement s’est engagé dans une nouvelle réforme à marche forcée du système de retraites. « Je veux dire aux jeunes de 20 ans que c’est justement pour eux que nous faisons cette réforme », affirme le ministre du travail Eric Woerth. Nous ne sommes pas dupes de cette hypocrisie. Une nouvelle fois, ce qui est mis en place au nom des jeunes se fait sans eux, et surtout contre eux. En limitant le débat à l’acceptation pure et simple d’un nouvel allongement de la durée de cotisation, le gouvernement adresse aux jeunes un message implicite, mais clair : la retraite ce n’est plus pour vous ! Jeunes en insertion, salariés ou étudiants, c'est sur nous que reposera le financement du système de retraite dans les années à venir, et c’est nous qui subirons toute modification du système actuel. Nous refusons d’être les grands oubliés d’un débat qui nous concerne !  

Jeunes, nous sommes attachés au droit à une retraite à 60 ans financée par répartition 

Attachés à  la solidarité entre les générations, nous souhaitons financer un système de retraite par répartition de haut niveau qui garantisse un niveau de pension permettant de vivre pleinement le temps de la retraite. Nous refusons que la retraite par répartition devienne un « filet de sécurité » a minima, insuffisant pour vivre. Nous refusons la logique d'une retraite basée sur la capitalisation individuelle, inefficace économiquement et inégalitaire socialement. Nous dénonçons la double peine que nous imposerait un nouvel allongement de la durée de cotisation ou un recul de l’âge légal de départ en retraite: nous finançons les pensions d'aujourd'hui, nous refusons d'avoir à épargner en plus pour nos vieux jours dans des fonds de pension qui peuvent être ruinés du jour au lendemain !  

Un débat de société  escamoté par une nouvelle opération comptable 

Parce que la nature du système de retraite qui se met en place contribue à façonner la société de demain, nous refusons la volonté du gouvernement de réduire ce débat à une simple équation comptable. En se limitant à jouer sur la durée de cotisation, le gouvernement s’attaque directement à la solidarité sans aborder les véritables enjeux du système : garantie d’un taux de remplacement, pénibilité, allongement de la durée d’étude et d’insertion, chômage, inégalités hommes – femmes (Aujourd’hui le temps partiel subi, la précarité de l’emploi impactent fortement la retraite des femmes.), répartition du temps de travail et des richesses.

En instrumentalisant les analyses du COR (conseil d’orientation des retraites) pour imposer l’allongement de la durée de cotisation comme seule perspective, le gouvernement élude la question centrale de la répartition des richesses. Depuis 20 ans, la part de la richesse produite attribuée aux salaires ne cesse de diminuer au profit du capital.

Alors que notre pays n’a jamais été aussi riche, nous n'acceptons pas qu'il soit demandé à la jeunesse de travailler plus longtemps pour toucher une retraite moins importante, conduisant ainsi notre génération à vivre des conditions de retraites moins bonnes que celles de nos parents ! Il n’est pas acceptable que l’allongement de la durée de la vie soit synonyme de régression sociale.   

Allonger la durée de cotisation ? Pour nous, c’est non ! 

Cela priverait les jeunes du droit à une retraite à 60 ans à taux plein. Pourquoi cet acharnement à reculer l’âge de départ en retraite quand le chômage des jeunes explose? L’augmentation des besoins de financement est une chance qu’il faut saisir. Nous refusons que le catastrophisme ambiant serve d’argument pour esquiver une nouvelle fois le débat sur la nécessaire augmentation des financements solidaires des retraites par répartition : taxation des stocks options et des revenus financiers, suppression du bouclier fiscal, élargissement de l’assiette des cotisations, suppression d’exonérations de cotisations. Si de nouvelles ressources doivent être immédiatement mobilisées, une véritable politique de l'emploi et de revalorisation salariale destinée à lutter contre le chômage et la précarité est également indispensable pour apporter les recettes nécessaires à la pérennité de notre système de retraite solidaire.    

Le système de retraites doit prendre en compte l’évolution de la société !  

Nous réclamons des réformes qui garantissent nos droits sociaux, et nous souhaitons faire évoluer le système pour mieux prendre en compte l’évolution de la société et pérenniser le système par répartition.

L’allongement de la durée des études et le recul de l’âge moyen d’entrée dans un emploi stable (27 ans) conduisent les jeunes à commencer à cotiser plus tard que par le passé. Nous exigeons : 

• la validation des années d'études et de formation dans le calcul des annuités ouvrant droit à la retraite, afin d’offrir à chaque jeune la garantie de pouvoir étudier sans être inquiété par son avenir, même lointain ; 

• la validation des périodes de stages, intégrée dans une véritable règlementation contraignante (rémunération à 50% du SMIC dès le premier mois, reconnaissance et encadrement dans la formation) ; 

• la validation des périodes d’inactivité forcée, et la prise en compte la situation des jeunes en situation d’insertion professionnelle pour qui l'enchaînement de stages, de CDD, d’emplois à temps partiel, de périodes d’intérim ou de chômage conduisent à accumuler des droits à retraite très incomplets ; 

En ignorant plus longtemps ces évolutions qui caractérisent notre génération, le gouvernement refuse de garantir aux jeunes qu’ils pourront à leur tour bénéficier d’une retraite solidaire à de haut niveau !  

Les jeunes seront au rendez-vous du débat public pour affirmer que la retraite est l’affaire de tous !  

Nous affirmons notre volonté d’agir ensemble dans les prochains mois afin de défendre l’exigence d’un système de retraites par répartition fondé sur la solidarité, qui garantisse à nos aînés comme aux générations futures une retraite de haut niveau à 60 ans. 

Les jeunes refusent d’être les grands oubliés du débat  qui s’ouvrent et exigent du gouvernement qu’il renonce à l’allongement de la durée de cotisation. Nous demandons à être associés aux discussions en cours.

Nous appelons à  la création de comités jeunes locaux pour organiser la campagne au sein de la jeunesse. Nous appelons les jeunes à se saisir du débat sur les retraites, à participer aux initiatives de mobilisation.   

Le gouvernement ne peut aborder le débat sur les retraites sans l’avis des générations directement concernées par cet enjeu social majeur : les jeunes d’aujourd’hui ! 
 

Organisations signataires :  UNEF, UNL, FIDL, Sud Etudiant, LMDE, CGT, FSU, UEC, Attac Campus, JOC, Génération Précaire, MJS, MJCF, Jeunes Verts, JRG, Réseau jeunes du PG, NPA, Gauche Unitaire Jeunes, Branche jeune d’AL

Signer l'appel unitaire !

01/09/2010

Préparons la grève générale

Tous et toutes en grève le 7 septembre !
Et après on continue !
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Un gouvernement impopulaire :

Partout les gouvernements veulent imposer l'austérité à la population au nom d'une dette publique qu'ils ont eux-mêmes accrue par leur politique de subventions et de cadeaux fiscaux aux banques et aux multinationales. En France, la contre-réforme des retraites représente à la fois le premier volet et le symbole de ces politiques d’austérité. Présentée au départ comme une évidence démographique, elle s’est heurtée à une opposition croissante dans l’opinion populaire ainsi qu’à des mobilisations qui, loin de faiblir, se sont amplifiées au cours du printemps. Face à cette résistance et aux « affaires » financières et judiciaires, ce gouvernement est de plus en plus impopulaire. Ces difficultés cumulées provoquent une crise au sein de la droite. A la fois pour tenter de reprendre la main et, aussi, parce que cela correspond au fond de sa politique impérialiste et discriminatoire, antisociale et liberticide, SarKozy et ses sbires ont accentué pendant tout l’été la communication et l’action bien réelle sur les terrains de la droite et de l’extrême droite sécuritaire et raciste.

En grève le 7 septembre !

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31/08/2010

Rassemblement le 4 septembre contre le racisme

Contre la politique raciste et répressive du gouvernement, tous et toutes ensemble dans la rue le samedi 4 septembre

 

arton166.jpgEn plein été, Nicolas Sarkozy a lancé sa campagne présidentielle de 2012. Lui et ses porte flingues multiplient les propos xénophobes et sécuritaires, proposant même d’appliquer une grande partie du programme du Front National.

 

Ses cibles privilégiées sont les immigrés, les roms, les gens du voyage, les jeunes des quartiers.

S’inscrivant dans la continuité du débat nauséabond sur l'identité nationale L’équipe Sarkozy Hortefeux entend peaufiner une identité « à droite de la droite ». A quand l’entrée de Marine Le Pen au gouvernement ?

 

Diviser pour mieux règner

...

Face au racisme, nous ne battrons pas en retraite !!

Rassemblement Samedi 4 septembre

11H place de la République à Gap

 

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29/08/2010

Meeting à l'université dété 2010 du NPA

Intervention d'Olivier Besancenot lors du meeting final à l'université d'été....

27/08/2010

Contre le rassisme, rassemblement à Gap.

A l'initiative  de syndicats, d'associations et de partis politiques, contre le racisme, rassemblement à partir de 11h, le samedi 4 septembre place de la république à Gap.

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Contre la politique raciste et répressive du gouvernement, tous et toutes ensemble dans la rue le samedi 4 septembre

 

En plein été, Nicolas Sarkozy a lancé sa campagne présidentielle de 2012. Lui et ses porte flingues multiplient les propos xénophobes et sécuritaires, proposant même d’appliquer une grande partie du programme du Front National.

 

Ses cibles privilégiées sont les immigrés, les roms, les gens du voyage, les jeunes des quartiers.

S’inscrivant dans la continuité du débat nauséabond sur l'identité nationale L’équipe Sarkozy Hortefeux entend peaufiner une identité « à droite de la droite ». A quand l’entrée de Marine Le Pen au gouvernement ?

 

Diviser pour mieux règner

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23/08/2010

Fauchage de plants de vignes OGM

Vignes OGM Colmar.jpg

Communiqué du NPA au sujet du fauchage des plants de vigne à Colmar.

 

Suite à l'action militante à Colmar qui a conduit à la destruction de plants de vigne OGM cultivés par l'INRA, la question est à nouveau posée.

Cette culture expérimentale en milieu ouvert est-elle sans danger ou comporte-t-elle des risques de dissémination et de pollution ? C'est e premier lieu parce que ce débat n'est pas tranché que la position du NPA est claire:

Non aux expérimentations OGM de plein champ. Toute recherche doit être faite en laboratoire afin de laisser le libre choix aux générations futures.

Mais au delà de cette question, c'est bien le problème du modèle de société que nous voulons qui est posé. Car nous assistons ici comme ailleurs à l'inexorable développement de la filiale OGM, dirigée par les grandes multinationales de l'agroalimentaire et relayées en l'occurrence par la recherche publique. Ce modèle, c'est la concentration du pouvoir de décision et de production en matière d'alimentation mondiale entre les mains de quelques propriétaires privés des grands groupes. C'est aussi l'uniformisation de la nourriture, la disparition de la variété et surtout le triomphe du profit sur l'indépendance alimentaire des peuples. C'est pourquoi le NPA soutient l'action des faucheurs volontaires qui a le mérite de braquer les projecteurs sur les manœuvres des lobbies et des pouvoirs publics. Ceux-ci exercent en effet des choix irréversibles dans une opacité qu'ils aimeraient totale. Les paysans et les travailleurs quels qu'ils soient doivent refuser cette manipulation globale sans pour autant renoncer à la recherche et au progrès scientifique.

 

09/08/2010

Soutien aux défenseurs de la forêt de Khimki en Russie

Communiqué NPA - Samedi 7 août 2010


2008_11243Novembre0005.JPGUne lutte sans merci se déroule entre les défenseurs de la forêt de Khimki en Russie, enacée de destruction par le projet d'autoroute Moscou-Saint-Pétersbourg, et le pouvoir russe soutenant les responsables du chantier, parmi lesquels la firme française Vinci. Les financements européens sont à l'arrière plan des projets. La bataille des habitants de Khimki, appuyés par les écologistes et les militants politiques d'opposition, dure depuis des années. Procès, lettres ouvertes aux autorités, pétition signée par plus de 8.000 personnes, rassemblements, manifestations - tous les moyens ont déjà été utilisés pour obtenir une révision du tracé de l'autoroute, afin de préserver la forêt, ceinture verte autour de la capitale. Rien n'y a fait. Le 15 juillet dernier débutait l'abattage surprise des premiers hectares. Depuis, malgré les actions écologistes dans la forêt, l'intervention de députés de la Douma fédérale, l'examen du dossier par la Chambre civique fédérale, l'avis défavorable à l'abattage émis par la Procurature, les coupes continuent. Fin juillet la lutte s'est durcie avec l'utilisation obscure de bande de mercenaires « inconnus », la multiplication des interpellations et arrestations. Les deux militants antifascistes solidaires de cette lutte ont été arrêtés à leurs domiciles, Alexei Gaskarov et MaximeSolopov, qui risquent 7 ans de prison sans parler des menaces physiques en cours de détention. Le NPA exprime sa totale solidarité avec la population, les écologiques, les militants antifascistes qui résistent à cette destruction programmée. Il soutient les actions en cours prévue en Russie et celles qui s'organisent en France et dans le monde.

Expulsion de la ferme du Bersac !





Vendredi, 06 Août 2010

 

EXPULSION CE MATIN, 7h00

 

La gendarmerie mobile a débarqué à la ferme ce matin, à 7h00.

Ils ont cassé la porte et sont passés par le toit.

Ils était une centaine, et nous avons donc pris la décision d'accepter de sortir, ensemble,

avec toutes nos affaires, et sans répondre à leur contrôle d'identité.

Nous préparons la suite et publierons un communiqué de presse dès que possible...

 

 

La Mobilisation continue!

Non a la fermeture de la ferme de vie du Bersac!!


04/08/2010

Soutien à la ferme de vie de Bersac

prix.jpgà 14h à Gap et la possible expulsion.

** Rassemblement devant le palais de Justice, place Saint-arnoux à Gap,
mercredi 4 août à 14h
pour le procès des occupants de la ferme de vie du
Bersac.


** Appel à venir à la ferme de vie occupée avant et après pour parer à
toute tentative d'expulsion.

Alors que le soutien de voisins, travailleurs sociaux, familles croit
autour de l'occupation de la ferme de vie du Bersac, et que les actions
de solidarité se développent, l'association ADSEA, qui possède les lieux
en viager et a décidé de la fermeture de la structure a engagé une procédure pénale
de flagrant délit pour “occupation illicite des locaux”, “entrave à l’accès des
salariés” et “dégradations” et demandé une expulsion en urgence.

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