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11/06/2009

le 13, dans la rue, c'est quand qu'on continue?

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Le 13 juin : je manifeste, tu manifestes, il manifeste, nous manifestons

L’ampleur des mobilisations du 29 janvier, 19 mars, 1er mai ont permis d’obtenir des débuts de résultats. Ceux-ci sont très insuffisants, au regard des revendications exprimées le 5 janvier 2009, et alors que la crise continue de s’aggraver. Patronat et gouvernement doivent engager négociations et concertation sur les sujets prioritaires les plus urgents

 

Oui ! Nous pouvons gagner pour le pouvoir d’achat, l’emploi, les services publics.La CGT est déterminée à tout faire pour porter ces objectifs là.

Oui ! Nous pouvons gagner sur le travail du dimanche ! La CGT vous propose d’exprimer très puissamment vos aspirations à ce que le dimanche reste la journée pour vivre ensemble, être libre, se reposer se cultiver, découvrir et aimer … VIVRE !

Oui ! Nous pouvons gagner pour l’avenir de l’hôpital ! Avec vous, la CGT veut contribuer au puissant mouvement d’opinion qui grandit pour des politiques publiques qui répondent à nos besoins en matière de santé. La Loi Bachelot doit tomber aux oubliettes.

Oui ! Nous pouvons gagner sur le Smic et sur les salaires, les pensions, les minima sociaux ! Son augmentation au 1er juillet est un enjeu majeur pour répondre aux besoins des salariés rémunérés à ce niveau minimum et plus généralement pour obtenir l’augmentation de tous les salaires. C’est un élément déterminant pour sortir de la crise.

Oui ! Nous pouvons gagner une politique industrielle durable !La France a besoin d’une stratégie industrielle. Cela nécessite des investissements matériels, des investissements dans la formation et les conditions de travail et de vie de celles et ceux qui font la richesse des entreprises : les salariés !!

MANIFESTATION A GAP - 13 JUIN 2009 10h00 – Esplanade de la Paix (Face Cité Administrative Desmiche)

MANIFESTATION A BRIANCON - 13 JUIN 2009 10h00 – Place de l’ Europe

13 juin: manifestations dans toute la France

 

APRES LES ELECTIONS, CONTINUER A SE BATTRElutte-des-classes.jpg!

Depuis le résultat des urnes du 7 juin dernier, Sarkozy affiche une certaine autosatisfaction au vu des résultats obtenus par ses listes. Pourtant seulement un électeur sur dix s'est exprimé en faveur de l'UMP! Mais cela suffira à la droite pour justifier les attaques à venir. Déjà sur plusieurs terrains les contre réformes se préparent : voilà notamment le retour de la « réforme » des lycées, celle sur les collectivités et la question du travail du dimanche et peut être une éco-taxe qui ferait payer, entre autres, les ménages! La vague des licenciements continue, le chômage s’accroît. Le gouvernement le reconnaît lui-même, le pire est devant nous.

Le 13 juin et après?

C'est dans ce contexte post-électoral qu’intervient la mobilisation du 13 juin.

Dernière d'une série de journées programmées sur 6 mois, le 13 juin ne répond pas aux enjeux ni aux aspirations des salariés qui s'étaient exprimées lors des journées de grève et de manifestations précédentes. Appeler massivement les salariés, les chômeurs et le retraités, comme le font les directions syndicales, à participer à la manifestation de samedi sans appeler à la grève et sans aucune perspective à court terme, ne peut pas permettre de franchir un pas dans la mobilisation.

Alors que la colère, le ras-le-bol se sont aussi exprimés par l'abstention record parmi les classes populaires, les jeunes et les salariés, il est primordial d'offrir échéances et démarches pour construire des luttes d'ensemble.

Aujourd'hui il est plus que temps d'assumer la nécessité d'un affrontement global avec le pouvoir et le patronat, pour exiger les mesures d'urgence sociales qui s'imposent comme l'interdiction des licenciements, l'augmentation de tous les salaires, minima sociaux et retraites, le refus de la casse des services publics.

Si la gauche politique et syndicale ne travaille pas de concert, nous n'en finirons pas de payer leur crise!

Construire enfin le « Tous Ensemble »

Pendant les élections des luttes se sont poursuivies : dans les universités, les hôpitaux, à EDF, des mobilisations fortes se sont exprimées. Mais encore une fois ces luttes sont isolées, éparpillées et manquent de perspective d’ensemble. Pour qu'elles soient victorieuses un mouvement prolongé de grèves et de manifestations s'impose. Comme il est primordial d'aider à l'organisation d’une marche contre les licenciements. Il y a, à l'heure actuelle, la place pour ce type d'initiative. Pour cela les cadres unitaires réunissant les collectifs militants, les équipes syndicales sont essentiels.

Le NPA, durant la campagne des élections européennes, n'a eu de cesse de rappeler sa volonté politique : travailler, avec d'autres, à la convergence des luttes. Après les élections, ses militants sont prêts à poursuivre cette tâche, pour construire la riposte d'ensemble nécessaire.

Le 11/06/09

30/04/2009

A Gap, Briançon, manifestations

 

faujour-4-copie-1.jpgAppel commun des partis de gauche des Hautes-Alpes sur le 1er mai

Après les mobilisations des 29 janvier et 19 mars, c'est un 1er mai exceptionnel et unitaire qui se prépare dans toute la France.

C’est pourquoi, nous, organisations politiques des Hautes-Alpes, nous nous unissons pour appeler à la mobilisation et apporter notre soutien à tous ceux qui sont aujourd’hui concernés par des difficultés économiques et sociales.

Cela fait maintenant plusieurs mois que la colère sociale grandit dans le pays. Bien que les choix politiques du gouvernement soient de plus en plus largement mis en cause, celui-ci refuse d'entendre les exigences sociales qui se sont exprimées, entre autres, au travers de la plate forme intersyndicale du 5 janvier et dans les journées des 29 janvier et 19 mars.

Le gouvernement loin d’apporter une quelconque réponse aux urgences sociales du pays, une quelconque réponse efficace à la crise, laisse faire les plans de licenciement, continue de mettre en œuvre des choix qui font payer aux populations l'addition de la crise et s'enfonce à tous les niveaux dans un autoritarisme et un mépris insupportables.

Tous les clignotants de la situation sociale et économique du pays restent au rouge. Il faut mettre un coup d’arrêt à la politique de Nicolas Sarkozy et contribuer à faire grandir l’exigence d’autres choix de justice et de solidarité.

Nous renouvelons notre opposition aux suppressions d’emplois et à la précarisation, dans le privé comme dans le secteur public. Nous attendons l’abrogation du bouclier fiscal, le plafonnement des salaires des dirigeants d’entreprises aidées, une augmentation des salaires, du SMIC, des minimas sociaux et des retraites ; la défense et le développement des services et de l'emploi publics ; l’annulation des lois Bachelot et Pécresse, la réorientation des richesses vers le développement de productions et de services susceptibles d'engager notre pays dans un tout autre mode de développement fondé sur la satisfaction des besoins sociaux dans le respect des équilibres écologiques.

Autant de préoccupations qui seront à l’ordre du jour du 30 avril à l’Assemblée nationale où la gauche mènera une journée autour de la question du bouclier fiscal et des rémunérations. C’est-à-dire celles des dirigeants d’entreprises cotées comme celle des millions de salariés qui n’ont souvent d’autre horizon que celui du gel de leurs salaires.

Les Hautes-Alpes sont aussi largement touchées par ces difficultés.

Alors tous ceux qui croient au maintien d’une industrie dans le département, comme à la Roche de Rame avec ELSAMETAL, doivent se mobiliser.

Tous ceux qui croient en l’avenir d’un service public de qualité dans nos territoires ruraux de montagne doivent se mobiliser. Il faut en finir avec les doubles discours des élus de droite du département qui à Paris, approuvent la politique du chef de l’Etat et qui crient au scandale localement quand on touche à leur service public !

Afin d’obtenir les changements de cap politiques nécessaires, pour de vraies politiques sociales et  écologiques, nous invitons l’ensemble des haut-alpins à exprimer leur exaspération et à se mobiliser le 1er mai, en rejoignant les manifestations de Gap (10h, rond point de l'Europe) et Briançon (10h place de l'Europe).

Signataires haut-alpins : le PCF, le Parti Occitan, Pour une alternative citoyenne à gauche, le PS, le PRG, le MRC, le NPA, Les Verts des Hautes-Alpes.

27/04/2009

A Gap, à Briançon : en mai, il faut lutter!!!

20090319_002.jpgCFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA des Hautes Alpes.
"LE 1ER MAI, TOUS DANS LA RUE "
Salariés du privé, du public, privés d'emploi, lycéens, étudiants, retraités, sans titre.
NOUS DEVONS NOUS FAIRE ENTENDRE
L'augmentation du nombre de chômeurs, la baisse significative de la consommation, l'incertitude grandissante sur l'activité des entreprises témoignent de la gravité de la crise qui frappe un nombre croissant de salariés sans que nul ne puisse aujourd'hui en prédire la durée. Les mobilisations viennent d'obliger le gouvernement à agir sur les stock-options et les rémunérations exceptionnelles des dirigeants d'entreprise lorsque ces dernières ont reçu des aides publiques directes. Sur la question de la redistribution des richesses produites, le décret annoncé bien qu'insuffisant est un début de remise en cause du système actuel. Elle laisse cependant de côté l'essentiel des revendications du 5 janvier
2009..
C'est pourquoi, dans la suite des journées du 29 janvier et du 19 mars et dans ce contexte exceptionnel, les organisations syndicales s'entendent pour faire du 1er Mai un nouveau temps fort de mobilisation pour peser sur le gouvernement et le patronat.
Pour préparer le 1er Mai, elles conviennent de faire du mois d'avril un mois de mobilisations ponctué d'initiatives visant à soutenir les actions engagées et à organiser les solidarités. Elles appellent l'ensemble des salariés à préparer cette journée de façon unitaire dans chaque entreprise et à participer en masse avec leurs propres banderoles revendicatives à la manifestation du 1er mai.
Imposons un autre partage des richesses!

Indemnisations à 100% du chômage partiel Augmentation générale des salaires, des retraites, du SMIC et des minima sociaux

Amélioration du cadre collectif et solidaire de la protection sociale (Sécu-vieillesse,
famille)
Des moyens supplémentaires, l'arrêt des suppressions d'emploi et de nouvelles orientations pour les services publics
En finir avec la fiscalité qui favorise les plus riches
Manifestation unitaire du 1er mai RV : 10 h –
Rond point de L'Europe - GAP
A partir de 12hOO : Apéro - Pique Nique - Concert - Débats - AG
Esplanade du Conseil général à GAP.

tract_1_mai_briancon.pdf

 


En mai, fais ce qu'il ta plait : grève, manifestations, occupations...

7682_image.jpgPOUR UN GRAND 1er MAI DE CONVERGENCE DES LUTTES

***
Le texte commun des organisations de gauche pour les manifestations du 1er mai 2009

Après les mobilisations des 29 janvier et 19 mars, c'est un 1er mai exceptionnel qui se prépare dans toute la France. Pour la première fois depuis longtemps, en effet, toutes les organisations syndicales y appellent ensemble et prévoient plus de manifestations qu'il n'y en a eu le 19 mars. Cela fait maintenant plusieurs mois que la colère sociale grandit dans le pays, multipliant les actions les plus diverses. La défense de l'emploi et le refus des licenciements sont à l’origine de conflits de plus en plus nombreux. Des secteurs comme l'université et l'éducation, la santé ou la Poste sont mobilisés depuis des mois. D'autres comme EDF-GDF intensifient leurs actions. Le 1er Mai peut constituer une étape supplémentaire dans la convergence et la généralisation de mobilisations sociales dont le mouvement des Antilles, notamment, a montré l’efficacité.

Bien que les choix politiques du gouvernement soient de plus en plus largement mis en cause, celui-ci refuse d'entendre les exigences sociales qui se sont exprimées, entre autres, au travers de la plate forme intersyndicale du 5 janvier et dans les journées des 29 janvier et 19 mars. Le gouvernement loin d’apporter une quelconque réponse aux urgences sociales du pays, une quelconque réponse efficace à la crise, laisse faire les plans de licenciement, continue de mettre en œuvre des choix qui font payer aux populations l'addition de la crise et s'enfonce à tous les niveaux dans un autoritarisme et un mépris insupportables. Tous les clignotants de la situation sociale et économique du pays restent au rouge. Il faut mettre un coup d’arrêt à la politique de Nicolas Sarkozy et du Medef et contribuer à faire grandir l’exigence d’autres choix de justice et de solidarité

Cela concerne notamment l’opposition aux suppressions d’emplois et à la précarisation, dans le privé comme dans le secteur public, l'augmentation des salaires, du SMIC, des minimas sociaux et des retraites; la défense et le développement des services et de l'emploi publics ; l’annulation des lois Bachelot et Pécresse, la réorientation des richesses vers le développement de productions et de services susceptibles d'engager notre pays dans un tout autre mode de développement fondé sur la satisfaction des besoins sociaux dans le respect des équilibres écologiques.

La réunion du G20 présentée par Nicolas Sarkozy comme un grand succès n’a fait que conforter les choix qui sont à l’origine même de la crise. Aucun des mécanismes d'accumulation financière à l’origine de celle-ci n'est mis en cause, l’essentiel pour N. Sarkozy comme pour les dirigeants des grandes puissances étant la sauvegarde même de ces mécanismes.

De plus en plus en difficulté, le gouvernement semble aujourd'hui tenté par une stratégie de la tension dans laquelle il agite à nouveau le thème de l'insécurité. Il renforce sa volonté de criminaliser l'action sociale et collective, tente d’instrumentaliser les « séquestrations de patrons » que soutient une majorité de la population et lance une nouvelle loi sécuritaire stigmatisant les jeunes. Les enquêtes d'opinion ont montré que l'exaspération sociale était largement partagée. Nous refusons toutes atteintes aux libertés qui visent à museler la contestation sociale et politique.

La question de l'emploi devient cruciale. Face à des groupes qui sacrifient leurs salariés au profit de la rémunération des actionnaires et des plus hauts dirigeants patronaux, il est temps de stopper au plus vite les licenciements et d’éliminer toute conséquence du chômage partiel pour les salarié-e-s. Nous agirons dans ce sens aux côtés de celles et ceux qui sont concerné-e-s.

Nos organisations, comme elles l'ont fait lors des précédents rendez-vous de mobilisation sociale, appellent à la réussite d'un 1er mai 2009 historique. Elles seront aux côtés des salarié-e-s, de tous les travailleurs, de toute la population pour amplifier la mobilisation populaire afin d’obtenir les changements de cap politiques nécessaires.

Signataires : Les Alternatifs, le NPA, le PCF, le PCOF, le Parti de gauche, le PS, MRC, La Fédération, la Coordination nationale des collectifs unitaires (CNCU), L’Association des communistes unitaires (ACU), Alternative Démocratie Socialisme (ADS), Alter-Ekolos-Ecologie Solidaire, La Gauche Unitaire

07/04/2009

Création de nouveaux Délits : ça suffit

 

arton18545.jpgParce qu’aujourd’hui, en France, accueillir, accompagner ou simplement aider une personne sans‐papiers est devenu un délit…

Et comme le précise l’article L 622‐1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile : « toute personne qui aura, par aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l’entrée, la circulation ou le séjour irrégulier d’un étranger en France sera puni d’un emprisonnement de 5 ans et d’une amende de 30 000 euros ».

Parce que le gouvernement français s’est donné comme objectif en 2009, l’interpellation de 5000 aidants et de 5 500 en 2011, en assimilant citoyens solidaires et militants bénévoles aux trafiquants de main d'œuvre et autres passeurs….

Mercredi 8 avril, à l'appel de La Cimade, Comede, Emmaüs France, Fasti, Fédération entraide protestante, Fnars, Gisti, Ligue des droits de l’homme, RESF, SAF (Syndicat des avocats de France), Secours catholique, SOS racisme, Uniopss une action nationale

Délinquants solidaires est organisée dans toute la France.

Le RESF 05 soutient se mouvement et proteste contre la criminalisation de la solidarité.

Tous ensemble à 17h devant le tribunal de Gap mercredi 8 avril pour crier 

La solidarité n'est pas un délit

01/04/2009

OTAN-NATO : no!!!!

 

A l’occasion du soixantième anniversaire de l’OTAN, nous vous appelons à venir manifester àlogoFlyerOTAN-220.gif

Strasbourg le 4 avril 2009 contre les politiques militaires et nucléaires agressives de l’OTAN et à participer au contre-sommet pour affirmer qu’un monde de justice et de paix est possible.

ØNous l’affirmons avec force : la France doit renoncer à son intégration dans le commandement militaire de l’OTAN. Elle doit rompre avec une politique aux visées dominatrices méprisant les droits des peuples.

ØNous refusons la vision dangereuse et manichéenne de la « guerre des civilisations » et toute réponse militaire aux crises mondiales et régionales.

ØNous rejetons la course aux armements et refusons de vivre dans la crainte du recours à l'arme nucléaire. Il est inacceptable que les dépenses militaires engloutissent l’argent nécessaire à la satisfaction des besoins vitaux de l’humanité; d’autant plus que les gouvernements voudraient faire payer aux peuples les dégâts du libéralisme financier

ØNous exigeons la fermeture des bases militaires étrangères dans tous les pays.

Pour construire un monde plus sûr et plus juste, nous voulons démilitariser et démocratiser les relations entre les peuples et établir de nouvelles formes de solidarité et de coopération.

Il est temps de mettre en œuvre une solution politique internationale fondée sur l’aide d’urgence et la reconstruction dans le respect des droits du peuple afghan, en particulier des droits des femmes. Nous demandons le retrait du dispositif militaire français des troupes de l’OTAN.

NON A LA GUERRE ! NON A L’OTAN !
RASSEMBLEMENT
SAMEDI 4 AVRIL 2009 A 11 HEURES
ESPLANADE DE LA PAIX A GAP

Mouvement de la Paix - CGT 05 - PCF 05 - FSU 05 - ATTAC 05 - NPA 05 Solidarité Maroc 05
Solidaires 04  05 - Les amis de l’Humanité 04-05

http://www.otan-non.org

 

17/03/2009

19 mars, aujourd'hui dans la rue, demain on continue!!!!

Communiqué de presse de l'Association citoyenne pour une Alternative à

Gauche, ACU, Les Verts, NPA, PCF et le POC.

Après deux ans de gouvernement Sarkozy Fillon, les inégalités sociales ne cessent de s'accroître en France.

La politique de cet Etat UMP n’a qu’un objectif donner toujours plus aux riches : bouclier fiscal, des milliards aux banques…

Pour ce faire, il s’attaque aux fondements de l’égalité républicaine : les services publics (hôpital, éducation, poste…), la sécurité sociale.

De plus, il remet en cause les droits des salariés : réécriture du code du travail, fermeture de prud’hommes, travail le dimanche, licenciements abusifs, remise en cause et limitation du droit de grève…

Dans ce contexte de crise du capitalisme que l’on veut faire payer aux classes populaires de ce pays, il est temps de se mobiliser pour un autre modèle de société. Comme à la Guadeloupe, à la Martinique,et à la Réunion c'est en luttant que nous nous ferons entendre.

C’est pourquoi les organisations politiques et associations qui pensent qu’un autre monde est possible : appellent les travailleurs et tous les citoyens des Hautes-Alpes à manifester le 19 mars et à envisager la suite du mouvement pour montrer leurs mécontentements et leur volonté de lutter pour une société juste et plus fraternelle, qui mette l'économie au service des homme et tienne compte des enjeux écologique.

l'Association citoyenne pour une Alternative à Gauche, ACU, Les Verts, NPA, PCF et le POC

peuple_en_poing.jpgC’est leur crise, C’EST LEUR CRISE !

 

 

C’EST PAS A NOUS,  DE LA PAYER !

 

Le capitalisme, c’est la faillite

Pour sortir de la crise

Faut pas le réformer, il faut le renverser

 

Rien n’est à eux, tout est à nous

Tout ce qu’ils ont, ils l’ont volé

Partage des richesses, partage du temps de travail

Ou alors ça va péter

 

Il y en a assez, assez

Assez d’cette société

Qui n’offre que le chômage et la précarité

Engraisse les actionnaires et répand la misère

 

LES PATRONS LICENCIENT…

LICENCIONS LES PATRONS !

 

Public, privé,

Unité, solidarité !!

 

Aujourd’hui dans la rue,

Demain, on continue !!!

 

La retraite, on s’est battu pour la gagner,

On se battra pour la garder

 

Les jeunes dans la galère, les vieux dans la misère

ON N’EN VEUT PAS, DE CETTE SOCIETE-LA !

 

C’est pas à l’Elysée,

C’est pas à Matignon,

C’est pas dans les salons

Qu’on obtiendra satisfaction !

Il faut lutter

Se rassembler

Pour remplacer

Cet’ société !

 

Où est le pognon ?

Dans les poches des patrons !

De l’argent, il y en a

A la bourse, ils savent ça !!

 

Ils ferment les usines,

Ils ferments les écoles,

Yen a ras le bol,

De tous ces guignols !!!

 

Ils cassent les acquis des salariés
Font des cadeaux aux plus privilégiés
Ils sont libéraux
Amis de Parisot
A bas ! A bas ! Fillon et Sarko !
 

De l’argent il y en a, Dans les poches du patronat !

Augmentez les salaires, taxez les actionnaires !!!


Lycéens, étudiants, chômeurs et salariés
C'est tous ensemble qu'on est visé
Lycéens, étudiants, chômeurs et salariés
C'est tous ensemble qu'on va gagner
Lycéens, étudiants, chômeurs et salariés
C'est tous ensemble qu'il faut lutter

 

Les salariés licenciés
les entreprises fermées
l'éducation cassée
C'est le capitalisme
Qui ruine, qui ruine
Qui ruine la société



les salariés virés,
Les entreprises fermées
LES ACTIONNAIRES CHOYES
STOP !
INTERDICTION DES LICENCIEMENTS!

 

Un pas en avant

Un siècle en arrière

C’est la politique du gouvernement !!!!


Les vieux dans la misère
Les jeunes tous précaires
On n'en veut pas de cette société là !

 

C’est pas aux sans papiers qu’il faut s’attaquer

C’est au chômage, à la précarité !!!

28/01/2009

La grêve, j'en rêve

megaphone1.jpgC’est leur crise,  C’EST LEUR CRISE !

C’EST PAS A NOUS,  DE LA PAYER !

 

Le capitalisme, c’est la faillite

Pour sortir de la crise

Faut pas le réformer, il faut le renverser

 

Rien n’est à eux, tout est à nous

Tout ce qu’ils ont, ils l’ont volé

Partage des richesses, partage du temps de travail

Ou alors ça va péter

 

Il y en a assez, assez

Assez d’cette société

Qui n’offre que le chômage et la précarité

Engraisse les actionnaires et répand la misère

 

LES PATRONS LICENCIENT…

LICENCIONS LES PATRONS !

 

Nous sommes réalistes…

ANTICAPITALISTES !

 

Les jeunes dans la galère, les vieux dans la misère

ON N’EN VEUT PAS, DE CETTE SOCIETE-LA !

 

C’est pas à l’Elysée,

C’est pas à Matignon,

C’est pas dans les salons

Qu’on obtiendra satisfaction !

Il faut lutter

Se rassembler

Pour remplacer

Cet’ société !

 

Pas un sou, pas un penny,

POUR SAUVER LES PROFITS

Pas d’argent de nos impôts

POUR LES CAPITALOS

LE FRIC PUBLIC, POUR LES SERVICES PUBLICS !!!

 

Où est le pognon ?

Dans les poches des patrons !

De l’argent, il y en a

A la bourse, ils savent ça !!

 

Ils ferment les usines,

Ils ferments les écoles,

Yen a ras le bol,

De tous ces guignols !!!

 

Ils cassent les acquis des salariés
Font des cadeaux aux plus privilégiés
Ils sont libéraux
Amis de Parisot
A bas ! A bas ! Fillon et Sarko !
Non non non, au bouclier fiscal

 

De l’argent il y en a,

Dans les poches du patronat !

 

Augmentez les salaires,

Taxez les actionnaires !!!

02/06/2008

Communiqué : Mobilisation du 10 juin


L’heure est plus que jamais à la mobilisation

Le mouvement massif de grève et de manifestations du15 mai n'a reçu aucune réponse si ce n'est l'annonce d'une inacceptable remise en cause du droit de grève dans l'éducation et dans la Fonction publique.

Le projet de loi « relatif à la mobilité et aux parcours professionnels » est en cours d’examen et doit passer à l'Assemblée Nationale à partir du 11 juin. S’y retrouvent toutes les mesures dont les organisations syndicales ont unanimement demandé le retrait, dispositions lourdes de conséquences pour les personnels, leur statut et le service public. Il en est ainsi notamment de l’extension du recours aux non titulaires, de leur gestion par les agences d’intérim, de la création de la position dite « de réorientation professionnelle » véritable antichambre pour de nombreux licenciements, du temps incomplet avec multi-employeurs…

Le gouvernement va présenter de nouvelles mesures issues de la Révision Générale des Politiques publiques.

L’objectif essentiel de la RGPP est de faciliter les suppressions massives de postes dans la Fonction publique (35000 à 40000 emplois par an), en articulation avec les mesures annoncées dans le cadre de la Révision Générale des Politiques publiques. Cette RGPP se met en oeuvre sans débat public, sans que soit posée la question des missions de service public et celle des besoins des usagers et des citoyens sur l’ensemble du territoire. Par exemple, la politique éducative du gouvernement porte atteinte à la capacité du service public d’assurer la réussite de tous les jeunes. Elle traduit le profond désengagement de l’Etat. Elle induit l’affaiblissement voire la suppression ou la privatisation de missions et de services ainsi que la détérioration des conditions de travail, la mise en cause du statut et l’accroissement de la précarité. La RGPP est bien un outil de casse sans précédent pour l’ensemble de la Fonction Publique.

A cela s’ajoutent les pertes de pouvoir d’achat des personnels et le nouvel écrasement des carrières qui va résulter de la conjugaison du relèvement du SMIC et de l'insuffisante revalorisation du point d'indice. Aucune négociation salariale n'est aujourd'hui engagée en dépit des promesses gouvernementales ; pas plus sur la revalorisation des métiers.

Et le gouvernement prétend imposer à tous sans débat de nouvelles dégradations en matière de retraites. Nos organisations appellent d’ores et déjà à participe aux initiatives unitaires pour une véritable réforme solidaire des retraites.

Pour une Fonction publique et des services publics de progrès social au service de la population, nous exigeons :

  • Un véritable débat démocratique sur la réforme de l’Etat et de la Fonction publique en partant des besoins de tous ;
  • Un emploi public, stable, statutaire et qualifié, permettant des services publics de qualité accessibles sur l’ensemble du territoire ;
  • L’amélioration du statut du fonctionnaire qui garantit la neutralité, l’impartialité et l’indépendance des agents dans l’exercice de leurs missions ;
  • Un développement de la mobilité choisie qui s’oppose à la mobilité subie et l’abandon du recours à l’intérim.
  • Le retrait du projet de loi dit « relatif à la mobilité et aux parcours professionnels » et de celui sur le service minimum d’accueil remettant en cause les conditions d’exercice du droit de grève.
  • L'ouverture immédiate de négociations salariales visant à maintenir le pouvoir d'achat de la valeur du point d'indice.


Les organisations signataires soutiennent les luttes et les mouvements en cours dans différents secteurs (éducation, culture, recherche, impôts-trésor, douanes…), notamment les personnels qui ont décidé de poursuivre l’action par la grève reconductible et appellent l’ensemble des agents à amplifier la mobilisation.

Elles décident de faire de la semaine du 9 au 13 juin, une semaine d’actions et du 10 juin un nouveau temps fort de mobilisation par une journée puissance de grèves et de manifestations.

Paris, le 29 mai 2008

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