Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

28/07/2025

Georges, enfin libre

https://www.youtube.com/watch?v=ZNPSrwt1oKc


17/07/2025

Libération de Georges Ibrahim Abdallah : enfin !

Communiqué du NPA-l’Anticapitaliste

Libération de Georges Ibrahim Abdallah : enfin !

Le NPA-l’Anticapitaliste accueille avec satisfaction l’annonce de la libération de Georges Ibrahim Abdallah qui devrait être effective le 25 juillet prochain.

Militant libanais du FPLP (Front populaire de la libération de la Palestine) puis militant des FARL (Fractions armées révolutionnaires libanaises), Georges Abdallah a consacré sa vie à la lutte contre l’impérialisme et pour la justice au Liban et en Palestine, notamment contre l’État d’Israël qui avait envahi son pays, et contre leur soutien étatsunien.

Il a payé cet engagement par 40 ans de prison, l’une des plus longues peines pour un prisonnier politique en Europe. Libérable depuis 1999, l’État français s’est acharné pour le maintenir en détention. Accompagnant la pression des États-Unis, les différents gouvernements (dont ceux de gauche) ont à chaque fois bloqué ses demandes de libération sous des prétextes fallacieux.

Sa détention aussi longue est une injustice criante et symbolise la criminalisation de la solidarité avec la Palestine et la résistance à l’impérialisme. L’une des conditions de sa libération est son expulsion vers le Liban et son village natal. Le NPA-l’Anticapitaliste salue sa libération et souhaite qu’elle soit effective dans les meilleurs délais. Le NPA-l’Anticapitaliste salue également la mobilisation et l’engagement sans faille du comité de soutien qui ont permis que cette libération ait lieu.

Georges Abdallah est de nos luttes, nous sommes de son combat !

Montreuil, le 17 juillet 2025

09/07/2025

Formons une ligne Rouge pour GAZA

 

2025-07-12  Visuel Gap  ligne rouge RS.png

Migrations : les frontières tuent !

Migrations : les frontières tuent !

Le 2 septembre 2015 s’affichait en une de toute la presse mondiale le corps sans vie du petit Aylan Kurdi, migrant syrien de trois ans, à plat ventre sur une plage turque.

Dix ans plus tard, force est de constater que la puissance intacte de l’image est inversement proportionnelle à celle des actes qu’elle appelait. Le nombre de migrant.es qui perdent la vie en tentant de traverser la Manche et la Méditerranée reste très important. Largement sous-estimés et présentés comme tels, faute d’informations suffisantes, les chiffres de l’ONU font même de l’année 2024 la plus meurtrière sur les routes de la migration sur l’ensemble du globe.

Des méthodes dangereuses et inacceptables

Voilà quelques jours, une autre image s’est imposée en miroir de celle du cadavre du petit Aylan : celle d’un gendarme français crevant une embarcation gonflable avec un couteau pour l’empêcher de quitter la plage afin de rejoindre le Royaume-Uni.

Bruno Retailleau assume une nouvelle doctrine plus offensive visant à empêcher les départs dès le rivage, s’appuyant cyniquement sur le fait avéré qu’une grande partie des décès ont lieu pendant la phase d’embarquement. De piètre qualité, surchargées et prises d’assaut dans la panique, les embarcations sombrent avant même d’avoir débuté la traversée. Les migrant.es meurent noyé.es ou étouffé.es.

 

Outre que cette nouvelle doctrine pourrait elle-même provoquer des décès lors du moment critique de l’embarquement, elle s’inscrit dans une logique de l'arraisonnement, que le ministère de l’Intérieur voudrait développer en pleine mer, alors même qu’il s’agit d’une pratique aussi inutile que complexe… et dangereuse. Au départ, en chemin ou à l’arrivée, par le laisser faire ou de manière active : quelle que soit la manière de les fermer, les frontières tuent !

Répression contre la solidarité

Quant à celles et ceux qui luttent contre les frontières, ils sont criminalisé.es comme complices des passeurs et ennemis de l’État. A cet égard, une récente enquête du Monde révèle une nouvelle étape dans la fuite en avant sécuritaire de l’agence Frontex. Cette dernière a profité des « débriefs » menés avec les migrant.es pris.es en charge pour collecter des informations et monter des milliers de dossiers sur les militant.es leur venant en aide. Truffés d’erreurs et parfois même bidonnés dans la grande tradition policière, ces dossiers ont été transmis en toute illégalité aux polices européennes.

Liberté de circulation et d’installation !

Les années et décennies à venir verront exploser les mouvements migratoires sous l’effet combiné et croissant des désordres géopolitiques et climatiques. Le capitalisme nous pousse à l’abîme et seule une révolution éco-socialiste permettra de supprimer les causes de l’essentiel de ces déplacements tragiques, tout en créant un monde débarrassé des frontières comme outil de domination. Cruel et criminel, un monde injuste pousse au départ tout en l’empêchant. Un monde juste donne quant à lui le choix de rester ou partir mais aussi de revenir.

Solidarité avec les migrant.es !

 

Mardi 8 juillet 2025

01/07/2025

Tract Hebdo

Vigilance canicule :

Agissons contre l’injustice thermique !

Après des épisodes précoces et sévères, la canicule devient extrême par sa durée, son intensité et son extension géographique. 

Confirmant toutes les alertes des scientifiques, les phénomènes climatiques hors normes deviennent la norme. Les grandes chaleurs impactent tous les aspects de notre vie, individuelle et sociale.

Si les principaux responsables des émissions de gaz à effet de serre - les riches et leur mode de vie - peuvent rester à l’abri des impacts climatiques, la population en ressent déjà toutes les conséquences. 

Selon la Banque Mondiale, d’ici 2030, en Asie du Sud Est, 1,8 milliards de personnes seront exposées à des températures dangereuses.

Parce que l’urgence va devenir la règle, réagir dans l’urgence ne suffit pas 

Il faut protéger toute la population et ses membres les plus vulnérables, enfants et personnes âgées,

Lire la suite