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22/06/2008

SNCF : non à la privatisation

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Pour s’opposer à la circulation du premier train de fret privé sur la ligne des Alpes , au dumping social et à la libéralisation du fret, l’UD CGT des Hautes-Alpes et les syndicats CGT de cheminots des Alpes du Sud appellent à un rassemblement interprofessionnel le lundi 23 juin 2008 à 14H devant la gare de Veynes.

20/06/2008

Réunion comité gapençais

Réunion publique

du Comité d'initiative gapençais

pour un Nouveau Parti Anticapitaliste

Mardi 24 juin 2008

A partir de 19 h 30

Pension du Content

Rue du Content GAP

Les prix flambent !
Les salaires stagnent alors que les profits explosent !
Les licenciements continuent !
La pauvreté et la précarité augmentent !
Les services publics sont cassés !
Les sans-papiers sont traqués !

POUR RESISTER : IL FAUT UN NOUVEAU PARTI ANTICAPITALISTE !

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17:59 Publié dans Réunions | Lien permanent | Commentaires (0)

15/06/2008

Le traité de Lisbonne à la poubelle.

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Déclaration d’Olivier Besancenot.

100 % des peuples consultés ont voté non au référendum sur la ratification du traité de Lisbonne ! Le verdict vient de tomber : les Irlandais shootent Sarkozy et son traité de Lisbonne.

Une fois de plus, la construction européenne se fait recaler quand les peuples sont consultés. Cela devrait faire réfléchir la jet-society politique européenne et le patronat international. Le breuvage libéral est imbuvable pour les peuples car il signifie destruction de tous les droits sociaux et alignement par le bas de la législation européenne. Un exemple récent vient le démontrer : la directive qui déréglemente totalement le temps de travail, rendant possible des semaines à 60 heures, voire 65 heures !

Comme il fallait respecter le non français et néerlandais, il faut respecter le non irlandais.

Après le TCE, le traité de Lisbonne devient caduc.

Personne ne fera l’économie d’un grand débat à mener avec les populations sur quelle Europe construire. Ce débat doit mener à l’élection d’une assemblée constituante, élue sur la base d’une proportionnelle intégrale.

Pour la LCR et les organisations de la gauche radicale en Europe, il est clair que cette Europe doit être sociale, démocratique, féministe, écologique.

Ceci implique un nouveau partage des richesses redonnant aux salariés ce qui leur a été volé pendant des décennies, et dans l’immédiat un SMIC européen à hauteur de 1500 euros net.

Le 13 juin 2008.

Base élèves? NON!

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A la rentrée 2009, tous les enfants des écoles maternelles et élémentaires devraient être fichés dans « Base-élèves » !

Nos enfants sont fichés :

ne nous en fichons pas !

Document coordonné par la LDH avec la participation de :

- la Ligue de l’enseignement

- la FCPE (Ile de France)

- la FSU (Ile de France)

- le SNUIPP (Ile de France)

et le soutien de :

- la CGT éduc 94

- Sud éducation Créteil

- Snudi-Fo 94

 

La loi de prévention de la délinquance.

Le saviez-vous ?

> Votée en mars 2007, cette loi impose le partage des informations entre les travailleurs sociaux (assistantes sociales, éducateurs…) , les professionnels de santé, les enseignants, les policiers ou magistrats et le maire.

Autant dire que le climat de confiance indispensable au travail social est gravement mis à mal.

> Doté de pouvoirs d’admonestation et de sanction, le maire peut dorénavant mettre en place un « conseil des droits et des devoirs des familles » devant lequel devront « comparaître » les parents jugés défaillants.

Il préside cette instance et peut, à ce titre, demander la mise sous tutelle des allocations familiales.

> Cette loi autorise le maire à se constituer dès maintenant (décret du 14 février 2008) un fichier automatisé à partir d’informations fournies par le directeur d’école, l’Inspecteur d’académie et la Caisse d’Allocations Familiales. Il pourra ainsi y enregistrer les informations relatives à l’absentéisme des enfants de sa commune et celles qui concernent les mesures à caractère disciplinaire (exclusion, temporaire ou définitive) dont ils auraient fait l’objet.

A terme, la meilleure façon d’informer le maire ne sera-t-elle pas de lui donner un accès de plus en plus large à Base-élèves ? Cette opération est techniquement très facile.

1) A quoi sert Base-élèves ?

Officiellement, Base-élèves a pour finalité une meilleure gestion des effectifs et des moyens, un meilleur suivi des parcours scolaires et l’élaboration de statistiques. En soi, rien de choquant. Mais les statistiques ne sont jamais neutres : elles viennent justifier la politique éducative que le pouvoir en place entend mettre en oeuvre et celle qui s’annonce se caractérise essentiellement par des suppressions de postes et d’heures de cours.

2) Comment fonctionne Base-élèves ?

Base-élèves est un outil utilisable par les directeurs d’école (ou les directrices) , les inspecteurs de circonscription, les inspecteurs d’académie et les mairies.

Le directeur d’école entre certaines informations fournies par les parents puis les complète au cours de le scolarité de l’enfant.

L’inspecteur d’académie a accès aux informations de toutes les écoles de son département, l’inspecteur de circonscription à celles de toutes les écoles de sa

circonscription.

Le maire a accès aux données administratives qu’il a saisies pour l’inscription , à celles liées à la scolarisation et aux activités périscolaires.

3) Quelles sont les données enregistrées dans Base-élèves ?

Elles concernent aussi bien l’identité de l’enfant que celle de ses parents, son parcours scolaire, ses absences, ses activités périscolaires, certaines de ses acquisitions et compétences. Le fichier porte aussi les mentions : Réseau d’Aide et de Soutien pour Elèves en Difficulté (RASED) ainsi que tous les types de suivis pour enfants en difficulté, ou s’il bénéficie d’un Projet d’Accueil Individualisé (dispositif à caractère médical).

La circulation des informations via Internet, la disparité du matériel des écoles, le nombre de personnes ayant accès à Base-élèves rendent cette base de données particulièrement vulnérable.

> La multitude des informations recueillies, conservées pour bon nombre d’entre elles pendant 15 ans (50 ans aux archives) crée un véritable « casier scolaire » de l’enfant, qui définit son profil. Un enfant qui aura connu des difficultés à tel ou tel moment de sa scolarité doit-il en garder la trace aussi longtemps ? Des champs ont été neutralisés (« nationalité», « année d’arrivée en France », « langue et culture d’origine ») mais d’autres sont apparus et les mentions « autres acquisitions » et « autres suivis » montrent bien que des extensions sont possibles.

> Base-élèves s’est mis en place sans aucune information des parents. Une fois de plus, un fichier est créé sans qu’aucun débat public n’ait été mené et sans que les premiers concernés en soient informés (contrairement à l’article 37 de la loi Informatique

et Libertés). On dit maintenant aux parents qui s’interrogent qu’ils ne peuvent pas s’opposer à ce que les données concernant leur enfant y soient enregistrées. Des directeurs qui ont refusé d’utiliser Base-élèves ont subi des menaces de retrait de salaire ou d’emploi de direction.

> La loi de prévention de la délinquance votée en mars 2007 a donné de nouveaux pouvoirs au maire, reconnu par la CNIL comme un des acteurs de Base-élèves. Il est devenu destinataire de toute une série d’informations sur ses administrés et peut ainsi

exercer un véritable contrôle social sur les familles.

Ces données sont nominatives jusqu’à l’Inspecteur d’Académie et ensuite centralisées de manière anonymisée avec un numéro d’indentification nationale attribué à chaque élève.

Jusque-là, beaucoup de ces données ne sortaient pas de l’école ou n’étaient même pas consignées dans le dossier scolaire, par respect pour les droits de l’enfant, sa vie privée et celle de sa famille.

4) Et la CNIL ?

Le ministère de l’Education nationale a déclaré Base-élèves à la CNIL en décembre 2004. Comme Base-élèves est un fichier mis en place par une administration d’Etat, il n’est plus systématiquement soumis à autorisation de la CNIL. Il a donc simplement été déclaré..

Il faut signaler aussi que la mise en place de Base élèves n’a fait l’objet d’aucune loi, d’aucun décret, d’aucun débat au sein des instances consultatives normales de l’Education Nationale (sauf au groupe école du Conseil Supérieur de l’Education)

5) Pourquoi Base-élèves nous inquiète ?

> Comme tout fi chier informatique, Base-élèves pose des problèmes de sécurisation. En juin 2007, le ministère de l’Education nationale a dû reconnaître qu’il était très facile d’entrer dans ce fichier.

Aujourd’hui, le nouveau « mode de sécurisation » continue de poser problème et ne répond pas aux interrogations sur le fond.

 

Pourquoi nous appelons à une mobilisation civique.

> Nous demandons l’arrêt de la mise en oeuvre de Base-élèves et un réexamen du fichier SCONET mis en place dans le second degré car celui-ci a profondément évolué et la loi relative à la prévention de la délinquance en fait un outil que nous considérons

comme dangereux.

> Nous voulons informer sur le contenu de Base-élèves et de tous les fichiers concernant les enfants. De nombreux citoyens nous rejoignent parce qu’ils sont inquiets devant l’augmentation constante de fichiers informatiques, présentés comme indispensables mais presque toujours détournés de leurs objectifs initiaux.

Plusieurs conseils municipaux se sont déjà exprimés contre Base-élèves.

> Nous apportons notre soutien aux directeurs et aux chefs d’établissement qui refusent d’entrer dans le dispositif .

> Nous demandons l’ouverture d’un débat public sur tous les fichiers, centralisés ou non, concernant les enfants et les jeunes.

Signer la pétition nationale

htpp://www.nosenfantssontfiches.org

Envoyer la carte postale au président de la République

 

23:06 Publié dans Infos | Lien permanent | Commentaires (0)

12/06/2008

Tout est à nous

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Gap, le 13 juin au cinéma LE ROYAL   20h3O : comment éviter que la  dette publique continue à enrichir les banques privées.


Deux sujets sont totalement imbriqués : l´émission monétaire par le  système bancaire privé, et la dette de l´État.
Lors de cette conférence-débat, André-Jacques Holbecq nous rappellera d´abord d´une manière très vulgarisée par qui et comment estémise la  
monnaie. Il démontrera ensuite, en reprenant quelques données historiques, les effets néfastes des lois de 1973 et de 1993, cette dernière entérinant pour la France l´article 104 du  traité sur l'Union européenne (dit de  Maastricht), signé le 7 février 1992, particulièrement en coûts pour la collectivité.
Dans la lignée de Maurice Allais et d´autres économistes, il proposera ensuite une piste de refonte du système bancaire adapté à la zone euro et permettant la relance des investissements d´utilité collective sans aggraver les déficits ni les pressions fiscales.
Biographie :
Pilote de ligne, ayant terminé sa carrière sur un avion prestigieux, il revient à ses premières études, l´économie, et se présente comme «  
économiste citoyen ». Depuis de très nombreuses années il se bat au sein de différentes associations. En nous aidant à changer nos points de vue, loin des discours « politiquement corrects » qui tentent de culpabiliser le citoyen, le salarié et le contribuable, il analyse plusieurs dysfonctionnements de notre économie (tels la monnaie, le déficit, la dette, l´inflation, le chômage), et de nos fonctionnements institutionnels avec Étienne Chouard.
Auteur de :
« Un regard citoyen sur l´économie » - Ed. Yves Michel, 2002,
« Une alternative de société: l´écosociétalisme » (Préface de Patrick Viveret)  - Ed Y. Michel, 2005.
« Les 10 plus gros mensonges sur l´économie » - Co-écrit avec P. Derudder pour les éditions Dangles ; 2007.
«La dette publique, une affaire rentable » - Co-écrit avec P.Derudder, parution en mai 2008 aux Ed Yves Michel

Et de nombreux articles

11/06/2008

Menaces sur le prix unique du livre

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Publiée le vendredi 21 mars 2008

 

La loi Chatel, votée en décembre dernier, est entrée en application début mars. Censée protéger le consommateur contre d’éventuels abus des fournisseurs, elle menace le monde du livre, parce que précisément le livre n’est pas un produit commercial ordinaire. Il est protégé par la loi sur le prix unique, qui fait que le prix d’un livre est fixe et est partout le même. Il permet par exemple l’existence de petits éditeurs et de librairies indépendantes. La loi Chatel passe outre ces spécificités protégeant en partie le livre de la concurrence. A dessein ? C’est en tout cas une première attaque contre le prix unique du livre. Devrait suivre aussi le remise en question de la loi Galland, votée en 1996, protégeant le petit commerce vis-à-vis de la grande distribution. Les librairies indépendantes seraient parmi les premières à disparaître.

http://librairie-quilombo.org/Menace-sur-le-prix-unique-du-livre

10/06/2008

Editer : un crime?

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Publiée le mardi 6 mai 2008

Qui est Gatuzain ? Une modeste maison d’édition associative du pays Basque, que la justice française vient d’étouffer hypocritement : leur compte en banque est bloqué. Apparemment au nom d’un lien avec Batasuna, parti politique indépendantiste, interdit en Espagne ; la juge anti-terroriste Laurence Le Vert souhaite manifestement qu’il en soit de même en France.

Mais voilà, Gatuzain édite des livres, et « se bat depuis 10 ans pour transmettre et se faire l’écho de l’histoire du Pays Basque, culturelle, syndicale et politique, mais aussi celle de tous horizons et de tout pays. » A moins de considérer que le livre est dangereux (ce qui ne serait pas pour nous déplaire !), cette interdiction n’a de sens que dans la logique bourgeoise de museler le minoritaire, de niveler les particularités, et de pouvoir ainsi justifier la démocratie capitaliste comme seul horizon social possible.

L’édition associative et militante étant frêle par nature, cette « interdiction de compte bancaire » menace lourdement Gatuzain. Nous leur apportons tout notre soutien et notre totale solidarité.

http://librairie-quilombo.org/Nouvel-article,3050

Résistance

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 En Bretagne (comme ailleurs), les fermetures de services publics, notamment les hôpitaux de proximité, se multiplient, avec des conséquences sociales, sanitaires... Un exemple de réaction, dans la région de Carhaix, maire alternatif de gauche, "grosse" section du NPA-LCR qui montre que les réactions peuvent être légitimes à une échelle de masse, malgré leur caractère, euh, radical... Deuxième enseignement, la mobilisation paye, ils ont obtenu quelques aménagements dans le plan, alors que celui-ci leur était préneté au départ comme inéluctable.
Bref, un exemple des actions à entreprendre face aux fermetures de services publics qui ne manqueront pas de nous toucher!
http://ma-tvideo.france3.fr/video/iLyROoafY9YV.html

06/06/2008

Nouvelle réunion

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Réunion publique

du Comité d'initiative gapençais

pour un Nouveau Parti Anticapitaliste

Mardi 10 juin 2008

A partir de 19 h 30

Pension du Content

Rue du Content GAP

Vous pensez qu'il faut enfin du neuf à gauche ?

Vous ne vous résignez pas à la dispersion des luttes ?

Vous voulez faire mordre la poussière à Sarkozy ?

Vous voulez exprimer vos doutes, vos réserves, vos interrogations sur l'intérêt d'un nouveau parti anticapitaliste ?

Vous voulez rejoindre le comité ?

Vous ... ?

Débattons-en !

21:17 Publié dans Réunions | Lien permanent | Commentaires (0)

03/06/2008

Contre les patrons et le gouvernement voyous

Spéculation, racket, mensonge,
Contre les patrons et le gouvernement voyous
Tous ensemble!

Le mécontentement et la grogne montent de partout. La hausse scandaleuse des carburants focalise la révolte, attise la colère. Le mouvement initié par les marins pêcheurs et les agriculteurs rencontre la sympathie. Il s’étend en Europe, ici aussi aux routiers, aux taxis... La lutte contre la hausse des prix du carburant, contre la vie chère concerne toute la population. C’est la lutte pour le pouvoir d’achat, contre la dégradation de nos conditions de vie. Ces hausses sont le résultat de la course au profit et aux spéculations qui entraînent l’économie mondiale dans une catastrophe, pillent les peuples, gaspillent le pétrole et bousillent la planête. Le gouvernement impuissant réserve ses mauvais coups aux travailleurs.

Racket

Cette hausse obéit à la logique des spéculations auxquels se livrent les financiers, les compagnies pétrolières et les Etats. Alors que la récession commence aux USA et que l’économie mondiale est menacée, les financiers jettent leur dévolu sur les matières premières et le pétrole. Total est à nouveau en train de battre des records de profits. L’Etat lui-même se sert au passage par le biais de la TVA et de la TIPP. Total et l’Etat se livrent à un véritable racket d’autant plus flagrant que la hausse de l’euro amortit pour
beaucoup la hausse des prix puisque le pétrole se paye en dollar.
Pour Sarkozy, il n’est pas question de prendre sur les profits. Tout au plus, propose-t-il de créer un fonds pour verser des indemnités aux travailleurs indépendants les plus touchés. Faux semblant, alors que tout le monde sait que la hausse des prix est partie pour durer. Elle est la conséquence de la folie globalisée de l’économie de marché. La seule réponse est de taxer les prix, d’imposer le contrôle sur les grandes compagnies pétrolières dont Total.

Les cadeaux aux patrons, les coups aux travailleurs

De cela, Sarkozy est bien incapable, lui le serviteur des riches. Il préfère manier la démagogie et le mensonge contre les travailleurs. Alors qu’il y a peu, Sarkozy et Bertrand ne cessaient de répéter qu’il n’était pas question de remettre en cause la durée légale du travail, les mêmes viennent de décider de faire voter, dans le cadre de la loi sur la représentativité des organisations syndicales, la possibilité de négocier, par entreprise, la durée du travail. Double mensonge : d’abord, c’est bien la fin des 35 heures, ensuite cette liquidation est décidée par une loi dont le contenu a fait l’objet d’une négociation avec les syndicats et parmi eux la CGT et la CFDT qui avaient été assez dupes et aveugles pour donner leur signature. Cette signature obtenue, Bertrand introduit la liquidation des 35 heures. Mensonges et provocation !
Et, au même moment, on apprend que les salaires des PDG du CAC40 ont connu, en moyenne, une hausse de 57,8%.

Le dialogue social pour étouffer la colère

Voilà ce qu’est le dialogue social, pire qu’une fumisterie, une politique contre les travailleurs et leurs organisations. Bertrand fait semblant de négocier pour ensuite décider ce qu’il veut et mettre les syndicats à genou. Il voudrait ainsi les déconsidérer pour empêcher une mobilisation contre la politique cynique, injuste, inacceptable du gouvernement.
Et, malré cela, les directions syndicales tergiversent au lieu d’organiser la mobilisation de tous les salariés dans un mouvement d’ensemble. Le 10 juin, ce seront les  fonctionnaires, les enseignants et les cheminots, le 17 sur le temps de travail et les retraites…
Le 17, les mobilisations de chaque secteur peuvent converger dans une journée de grève et de manifestation interprofessionnelle qui fasse comprendre au gouvernement et au patronat que les travailleurs en ont assez. Ce sera un point d’appui pour aller vers une globalisation des luttes pour les faire reculer.

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