19/11/2018
Nous agirons avec vous pour faire reculer Macron et faire avancer la transition écologique
Nous agirons avec vous
pour faire reculer Macron
et faire avancer la
transition écologique
Dans leur communiqué commun du 15 novembre, huit partis et organisations de gauche nous proposent d'agir ensemble pour "faire reculer Emmanuel Macron, président des riches, sur le prix de l’essence, sur les taxes et impôts" et proposent des mesures pour la transition écologique.
En contresignant ce communiqué, nous assurons ces organisations de notre soutien dans leur volonté d'inverser les politiques actuelles pour sortir de la pauvreté, de la pollution, des bas salaires, de la dégradation des services publics.
Déclaration commune : Ensemble!, Gauche démocratique et sociale, Génération.s, Nouveau Parti Anticapitaliste, Nouvelle Donne, Parti Communiste Français, Parti de Gauche, République et Socialisme.
Prix de l’essence, taxes et impôts :
faire reculer Emmanuel Macron,
président des riches, et proposer
des mesures pour la
transition écologique.
La hausse du prix de l’essence provoque une colère massive. Le gouvernement « pro-riches » Macron-Philippe aura tout fait pour provoquer une haine de l’impôt, par des injustices scandaleuses.
Le quinquennat Macron a commencé par une liste de cadeaux aux plus fortunés : suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), de la progressivité des impôts sur les gros revenus, doublement de la baisse des cotisations sociales en 2019 avec 40 milliards sans créer d’emplois, aucune mesure pour empêcher la fraude fiscale massive des grands groupes et grandes fortunes. Le groupe Total, qui vend du pétrole et de l’essence, triche avec l’impôt sur les sociétés, encaisse pourtant de gigantesque profits (9 milliards en 2017). Il engraisse ses actionnaires (plus de 11% de rentabilité de l’action).
Les cadeaux aux plus fortunés et aux entreprises sont payés par des politiques alourdies contre les plus modestes : hausse de la CSG, gel des APL, retraites augmentées en dessous de l’inflation, blocage des salaires, austérité généralisée. La taxe et la TVA sur l’essence, c’est 60% du prix du litre. Et pour les entreprises du secteur, c’est 10% de marge. Les taxes à la consommation, comme la TVA et la taxe essence, sont des impôts totalement injustes qui pénalisent bien plus les plus pauvres que les riches.
Ce sont les prélèvements injustes sur les ménages qui financent les cadeaux aux riches, au lieu d'une fiscalité progressive et d'une taxation du capital. L’austérité budgétaire, la dégradation des services publics (hôpitaux, rail, bureaux de poste…) s’imposent à la majorité de la population. Ce sont les plus modestes qui trinquent !
Il faut inverser cette politique !
Les salariéˑes, les chômeurs, les jeunes sont contraints d’utiliser une voiture, dans les zones rurales ou urbaines éloignées des centres villes. Rien n’est fait pour développer les transports en commun moins polluants, ou pour proposer des tarifs sociaux incitatifs. La prime à l’achat de nouvelles voitures moins consommatrices n’a qu’un effet dérisoire.
Nous faisons des propositions alternatives :
1 - Augmenter les salaires, les retraites, les indemnités de chômage, les minimas sociaux, etlutter contre l’évasion et l’optimisation fiscales.
2 - Taxer avant tout les compagnies pétrolières et les grandes entreprises du transport routier ou aérien, ou gestionnaires d'infrastructure (autoroutes), et notamment le groupe Total dont les bénéfices 2017 ont bondi de 39%, qui s’enrichit sur le dos des automobilistes.
3 - Taxer le kérosène (qui ne l‘est pas du tout !) pour empêcher que l’avion, très pollueur, ne concurrence le train. Supprimer l’exonération scandaleuse des taxes carburant pour le transport routier afin de développer le fret ferroviaire. Affecter l'essentiel des ressources de la taxe sur les carburants (TICPE) au développement de transports et de sources d'énergie écologiques, avec un contrôle démocratique.
4 - Arrêter la fermeture des petites lignes de chemins de fer (9000 km sont menacés), qui transforme les campagnes en déserts. Investir massivement dans les transports en commun de qualité accessibles à tous.
5 - Baisser fortement la TVA pour tous les produits de première nécessité.
6 - Contraindre les constructeurs à fabriquer des véhicules propres et sécurisés ; interdire la production et l’importation de véhicule diésel.
7 - Engager sur ces bases de justice sociale la transition écologique
Tous ensemble, agissons avec les forces de gauche et écologistes,
les syndicats, les associations environnementales, les usagers des transports.
Pour sortir de la pauvreté, de la pollution, des bas salaires,
de la dégradation des services publics, il faut une autre politique !
Le 15 novembre 2018.
01:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
07/11/2018
Soutien du NPAau 3+4 de Briançon
Concert de soutien au 3+4 de Briançon ce mercredi 7 novembre à Guillestre ( Voir art plus bas sur le blog)
Rassemblement à partir de 8h30 devant le conseil départemental place St-Arnoux.
Tout au long de la journée :
prise de parole, table de presse, coin enfants, pièces de théatre, batucada etc
ALors que les fachos étaient tout au plus 80 au col de l'Echelle, le NPA appelle à participer massivement à ce rassemblement et à être 1à, 20...100 fois plus que les fachos.
Ce procès n'est autre qu'un procès politique.
Personne n'est illégale.
Notre solidarité n'a pas de frontière.
00:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
31/10/2018
Tract hebdo
Brésil : attention danger !
Jair Bolsonaro a été élu dimanche avec une confortable avance de 55,2 % des voix. Ce crypto-facho, nostalgique de la période de la dictature, adepte des déclarations les plus réactionnaires et des méthodes les plus autoritaires, a pu profiter d’un alignement néfaste des planètes...
Un ex-militaire d’extrême droite au pouvoir
Comment en est-on arrivé là ? Sur fond d’affaires de corruption, après la destitution de la présidente Dilma Roussef et la mise à l’écart de son prédécesseur Lula (mis ensuite en prison), dans un contexte de crise profonde du régime et de coup d’État institutionnel, Bolsonaro a su canaliser une très grande partie du sentiment anti-PT (le parti de gauche au pouvoir pendant 13 ans) et du rejet de la corruption et de la violence sociale très fortes au Brésil.
Capitaine de l’armée pendant la dictature, Bolsonaro n’a jamais caché ni sa nostalgie de la dictature militaire qui a dirigé le pays de 1964 à 1985, ni ses liens avec l’armée. Ses déclarations agressives contre les militants de gauche (qui devront choisir « entre la prison ou l'exil »...), et ses paroles haineuses racistes, sexistes et homophobes, ont encouragé ses partisans à passer à l’acte durant toute la campagne, avec une vague d’agressions perpétrés par ses électeurs, en particulier dans l’entre-deux-tours.
Un ultralibéral autoritaire au service de la Maison Blanche
Grands patrons, police, armée, évangélistes et croyants fanatisés… ont poussé à son élection.
00:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
25/10/2018
Concerts de soutien et procès des 3+4 de Briançon
Nous appelons l'ensemble de la population à venir soutenir les 3+4 de Briançon dès le 7 novembre en participant et contribuant au concert de soutien et en se rassemblant le jeudi 8 novembre dès 8h30 devant le tribunal d'instance de Gap place St-Arnoux. La solidarité, la lutte antifasciste n'ont pas de frontière. Solidarité avec les 3+4.
03:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
05/09/2018
Clément MERIC Ni oubli ni pardon

Le 5 juin 2013, Clément Méric, 18 ans, militant à l’AFA et à Solidaires étudiant-e-s, tombait sous les coups de fascistes dans les rues de Paris. 5 ans plus tard, le procès des assassins vient de débuter, rappelant que les meurtres d’extrême droite ne font pas partie du passé, ni ne sont l’apanage de certaines lointaines contrées.
Le contexte dans lequel se déroule ce procès est, à bien des égards, pire que celui dans lequel Clément avait été assassiné. En France, l’extrême droite a de nouveau atteint le second tour de la présidentielle, avec 34 % des voix – contre 18 % en 2002 –, et les groupuscules fascistes s’affirment et gagnent en visibilité. À l’échelle européenne, l’extrême droite n’est plus « seulement » aux portes du pouvoir, mais bel et bien au pouvoir en Autriche, en Pologne, en Hongrie, en Italie… et elle donne de plus en plus le ton quant aux politiques de l’UE, notamment en ce qui concerne le refus de l’accueil des migrantEs. Les démonstrations de haine se multiplient, qu’il s’agisse des récentes manifestations fascistes à Chemnitz, en Allemagne, ou de la prolifération des agressions racistes en Italie. Le tout dans un contexte international marqué par un renforcement des logiques autoritaires au sein des démocraties parlementaires, et par un approfondissement de la crise économique, dont les tragiques conséquences servent de carburant aux courants d’extrême droite, toujours prompts à monter les victimes du capitalisme les unes contre les autres.
Nous étions parmi les milliers qui scandaient, lors des manifestations consécutives à la mort de Clément, « Ni oubli ni pardon ». Non, nous n’avons pas oublié. Non, nous n’avons pas pardonné. Nous réitérons notre soutien à la famille, aux amiEs et aux camarades de Clément, et participerons aux différentes initiatives organisées à l’occasion du procès. Et au-delà, nous n’oublions pas ceux qui, par leurs politiques antisociales, par l’adoption de la rhétorique et des propositions de l’extrême droite, par leur complaisance à l’égard des courants réactionnaires, ont favorisé, et favorisent encore le regain d’influence et de confiance de la bête immonde.
Ne rien lâcher face à l’extrême droite. Lutter sans relâche contre le racisme, l’antisémitisme, l’islamophobie. Accueillir les migrantEs, touTEs les migrantEs. Défendre une liberté de circulation et d’installation inconditionnelles. Se battre contre l’homophobie, le sexisme, pour une réelle égalité des droits. Refuser le fatalisme et la résignation. Défendre, encore et toujours, la perspective d’un autre monde, débarrassé de l’exploitation et des oppressions. À la mémoire de Clément, et de touTEs les autres. No pasarán !
22:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
17/07/2018
tract hebdomadaire
« TouTEs ensemble », contre Macron et ses politiques antisociales !
Dimanche soir et lundi, des millions de personnes étaient dans la rue, faisant la fête, revendiquant d’exister et d’être ensemble... Nous ne sommes pas hostiles au bonheur, bien au contraire, et nous sommes même heureux d’entendre parler de solidarité, de travail collectif Mais ne soyons pas naïfs...
La récupération politique est du côté du système
Tout cela ne se déroule pas hors d’un contexte politique et social. En voyant les joueurs de l’équipe de France serrer la main de Poutine, le président russe, faire un câlin à Macron, il est clair que l’instrumentalisation politique du sport est l’objectif des présidents, des sponsors, de ceux qui nous dirigent.
11:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
04/07/2018
Tract hebdo
Contre l’Europe des barbelés et des camps de rétention, mobilisation !
Vendredi 29 juin, 28 pays européens ont signé un accord de la honte qui renforce toutes les mesures répressives déjà en œuvre contre les migrantEs et les demandeurs d’asile. Nullement émus par la multiplication des naufrages en Méditerranée, les corps d’enfants repêchés, les récits effrayants des rescapéEs, les chefs d’états européens ont décidé en toute conscience de laisser continuer ces meurtres en série, qu’ils ont pourtant le pouvoir de stopper immédiatement.
Pour cela, il faudrait bien sûr un peu de courage politique, une vision solidaire et humaine des rapports de l’Europe avec les populations qui fuient les zones de guerre, et la misère économique. Pour cela, il faudrait un peu d’honnêteté politique et cesser de manipuler les opinions en leur laissant croire qu’une menace d’arrivée massive de migrantEs viendrait submerger un continent de 741 millions d’habitants. Pour cela, il ne faudrait pas laisser les idées racistes et xénophobes se répandre en toute impunité. Macron et Collomb ont une aussi grande responsabilité que le ministre de l’intérieur italien d’extrême droite en ce domaine.
Le refus des autorités italiennes et françaises d’accueillir l’Aquarius et ses passagers a suscité un profond émoi en Italie et en Espagne. Des manifestations ont eu lieu à Palerme, Naples et à Valence, alors que le vote de la loi raciste « asile et immigration » n’a donné lieu à aucune manifestation d’ampleur nationale en France, la mobilisation reposant essentiellement sur les collectifs de sans papiers et de leurs soutiens.
Il n’est jamais trop tard pour se mobiliser !
00:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
13/06/2018
Tract hebdo
Pour gagner contre Macron, il faut augmenter le rapport de forces
Macron et son gouvernement multiplient les projets de régression sociale. Après les ordonnances sur le Code du travail réduisant considérablement les droits des salariéEs et des organisations syndicales, la bataille est depuis plusieurs semaines engagée sur le statut de la SNCF et de ses salariéEs. Le logement social est mis en cause par la libération à la vente de milliers d’appartements construits pour permettre aux populations moins aisées de se loger correctement.
Le « président des riches »
L’ensemble de la fonction publique est dans le collimateur avec des milliers de suppressions de postes et des attaques contre le statut de fonctionnaire. Les prestations sociales sont remises en cause avec l’objectif d’en réduire drastiquement le coût. Des attaques contre les droits des chômeurs/euses sont en préparation avec la réduction des indemnités et l’aggravation du flicage. On peut allonger la liste avec la réforme de la formation professionnelle qui la soumet encore plus aux besoin du patronat. Ou encore, la fin, indécente, de l’obligation que les nouveaux logements soient accessibles aux handicapés. Dans un autre registre, la chasse aux migrants, l’incarcération des sans-papiers montrent l’absence complète d’humanité de nos dirigeants.
Avec ce déluge d’attaques contre les salariéEs, les jeunes, les privéEs d’emploi, les retraitéEs, Macron ne peut vraiment plus vendre le baratin d’une politique « équilibrée » entre « libération » du travail et aides aux plus démunis.
Celles et ceux qui luttent ont bien raison
La mobilisation des cheminotEs continue. Les salariéEs d’Air France poursuivent leur lutte devant l’intransigeance de la direction. Les salariéEs de La Poste sont en grève dans de multiples régions contre les réorganisations et la répression antisyndicale. Les « Vélib » luttent pour des augmentations de salaires et les moyens de rendre un service correct aux usagers. Les salariéEs des Catacombes de Paris sont mobiliséEs pour des embauches, des augmentations de salaires et l’amélioration des conditions de travail. Les salariéEs de Ford Blanquefort résistent à la fermeture de leur usine par le groupe aux 7,6 milliards de bénéfices en 2017.
Les personnels du service psychiatrique de l’hôpital du Rouvray, après deux mois de grève dont plus de deux semaines de grève de la faim pour six d’entre eux, ont gagné la création de 30 postes « pérennes », non pris dans d’autres établissements, d’une unité pour adolescentEs et d’un département pour détenus.
« Celui qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu » (Brecht)
Face aux revendications et aux mobilisations, le gouvernement amplifie la répression. Son agressivité, la violence de ses attaques, le refus de toute concession déterminent le niveau auquel nous devons hisser le rapport de forces faveur. Les luttes existent. Les salariéEs se retrouvent dans les mobilisations. Mais cela reste trop isolé, trop peu popularisé, y compris par les directions syndicales.
Chacune des prochaines mobilisations et en particulier la nouvelle journée nationale des cheminotEs du 12 juin doit être l’occasion de multiplier ces rencontres, ces échanges pour donner envie à touTEs de consolider les mobilisations existantes et d’affirmer non seulement des solidarités mais aussi une volonté de se joindre aux combats existants.
Les cheminotEs ne gagneront pas seulEs. Et, plus que jamais, la multiplication des attaques patronales et gouvernementales imposent une riposte de plus grande ampleur. Comme nous avons su le faire le 26 mai avec les « marées populaires », il faut une mobilisation unitaire, une grève de masse pour arrêter ce gouvernement avant qu’il ne casse tous nos droits, un par un.
09:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
Tract Hebdo
Pour gagner contre Macron, il faut augmenter le rapport de forces
Macron et son gouvernement multiplient les projets de régression sociale. Après les ordonnances sur le Code du travail réduisant considérablement les droits des salariéEs et des organisations syndicales, la bataille est depuis plusieurs semaines engagée sur le statut de la SNCF et de ses salariéEs. Le logement social est mis en cause par la libération à la vente de milliers d’appartements construits pour permettre aux populations moins aisées de se loger correctement.
Le « président des riches »
L’ensemble de la fonction publique est dans le collimateur avec des milliers de suppressions de postes et des attaques contre le statut de fonctionnaire. Les prestations sociales sont remises en cause avec l’objectif d’en réduire drastiquement le coût. Des attaques contre les droits des chômeurs/euses sont en préparation avec la réduction des indemnités et l’aggravation du flicage. On peut allonger la liste avec la réforme de la formation professionnelle qui la soumet encore plus aux besoin du patronat. Ou encore, la fin, indécente, de l’obligation que les nouveaux logements soient accessibles aux handicapés. Dans un autre registre, la chasse aux migrants, l’incarcération des sans-papiers montrent l’absence complète d’humanité de nos dirigeants.
Avec ce déluge d’attaques contre les salariéEs, les jeunes, les privéEs d’emploi, les retraitéEs, Macron ne peut vraiment plus vendre le baratin d’une politique « équilibrée » entre « libération » du travail et aides aux plus démunis.
Celles et ceux qui luttent ont bien raison
La mobilisation des cheminotEs continue. Les salariéEs d’Air France poursuivent leur lutte devant l’intransigeance de la direction.
09:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
31/05/2018
Première victoire : libre circulation des 3 de Briançon
Grosse mobilisation sur Gap. 450 à 500 personnes pour soutenir les 3 de Briançon. Une ambiance de fraternité, des pancarte " je suis un délinquant solidaire en bande organisée". Le tribunal correctionnel de Gap a rendu sa décision ce jeudi matin. Théo, Bastien, et Eleonora ne sont plus sous contrôle judiciaire. Le procès a quant à lui été renvoyé au 8 novembre car une question de constitutionalité sur la solidarité comme délit est posée au conseil constitutionnel. Cette première victoire ne doit pas faire oublier que les frontières laissant passer les marchandises, l'argent mais pas tous les humains surtout les plus démunis. Le conseil constitutionnel ferait bien de prendre la seule bonne décision ; la solidarité, la fraternité n'est pas un délit mais la marque de notre humanité.
22:33 | Lien permanent | Commentaires (0)