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19/08/2020

Expulsion du CESAI

Rassemblement à 15 h devant la préfecture.

Expulsion du Cesai à Gap ce matin 19 août.

Le commandement de quitter les lieux n'a pas été délivré, la préfecture a agi par surprise.

50 personnes sont à la rue.

Besoin de nourriture et de soutien.

 

09/07/2020

Tract hebdo

Nouveau gouvernement pour une même politique

Nous refusons toujours de payer leurs crises !

La nomination de Jean Castex comme Premier ministre avait annoncé la couleur. Ce proche de Sarkozy est connu pour avoir mis en place la T2A, la tarification à l’activité dans les hôpitaux visant à faire fonctionner ceux-ci comme de véritables entreprises... Anciens comme nouveaux, les ministres de ce gouvernement ne font que le confirmer : Macron veut creuser le sillon dune politique toujours plus antisociale.

Associations de malfaiteurs

Ainsi le maintien dun certain nombre de ministres pourtant fort contestés – marque l’affirmation dune continuité contre notre camp social. Cest le cas de Le Maire qui reste à l’Économie, le ministre des milliards distribués à fonds perdu à des entreprises qui suppriment des emplois, sans sopposer aux fermetures d’usine. C’est aussi Blanquer dans l’Éducation nationale : de la loi qui porte son nom à la prétendue « continuité pédagogique », avec son mépris des élèves et des personnels, lautoritaire Blanquer aurait bien mérité de dégager pour lensemble de son œuvre

Accusé de viol (avec une enquête en cours), larrivée du sarkozyste Darmanin au ministère de l’Intérieur est une provocation, mais cest surtout un gage donné aux syndicats de police les plus réactionnaires. Larrivée surprise de Dupond-Moretti, avocat des prétendues causes perdues mais surtout de ceux qui se croient intouchables (Balkany, Cahuzac, Tron), confirme la volonté de s’adresser à la droite populiste. Enfin, la nomination de Barbara Pompili, chantre du capitalisme vert et de l’écologie de marché, n'est qu'une opération de comau lendemain de la Convention citoyenne sur le climat et de la poussée d’EÉLV dans les urnes. Cela sans parler des nominations d’Amélie de Montchalin, ex-cadre dAxa, à la fonction publique ou de lanimatrice télé Roselyne Bachelot...

La régression sociale au programme

Pour tout ce petit monde, la feuille de route est claire. À lui seul, le retour au premier plan de la réforme des retraites annoncées par Macron lui-même (avec lallongement possible de la durée de cotisation) est une profession de foi que lon ne connaît que trop, après les semaines daffrontement social et de grève reconductible dans les transports en décembre et janvier derniers. Avec en plus la petite touche personnelle présidentielle, son mépris social toujours plus grand : il faudrait « mettre fin à cette maladie française qu’est la préférence au chômage »… Cela au moment même où les effets de la crise économique engendrent une succession de plans sociaux et dannonces de licenciements ou de suppression de postes, en particulier dans lindustrie automobile ou aéronautique.

Nous ne nous laisserons pas faire !

Avec le choc économique qui vient, pour résister à une crise du capitalisme dont on a vu les multiples effets ces dernières années (crise sanitaire, environnementale, économique, démocratique…), celles et ceux den bas doivent prendre leurs affaires en main, dabord en organisant les résistances.

Cela commence le mardi 14 juillet, où les salariéEs, en particulier les personnels hospitaliers, se retrouveront dans la rue pour porter leurs revendications et donner un premier avertissement à Macron et ses amis capitalistes. Dans le contexte des mobilisations internationales de ces dernières semaines contre le racisme et les violences policières, la manifestation de Beaumont-sur-Oise (95) afin dobtenir la vérité et la justice sur la mort d’Adama Traoré, est aussi un rendez-vous important. Deux dates qui doivent être les premiers jalons d’un été que lon espère chaud, et qui annoncent une rentrée où les luttes contre ce pouvoir et les capitalistes quil sert devront se conjuguer avec la construction dune alternative à un système toujours plus mortifère.

Le mardi 7 juillet 2020

15/06/2020

Tracthebdo

Mardi 16 juin 14h rassemblement devant le Conseil Départemental . Déconfinons notre colère.

Déboulonnons Macron et son gouvernement

Comme prévu, l’intervention fortement médiatisée d’Emmanuel Macron dimanche soir a une fois de plus été un exercice d’enfumage médiatique sans autre orientation politique que celle à l’œuvre depuis le début du quinquennat. D’un côté le soutien massif aux entreprises pour qu’elles reproduisent à nouveau et le plus rapidement possible profits et dividendes. De l’autre rien ou des miettes pour celles et ceux dont le pouvoir a tant chanté les louanges pendant la lutte contre le Covid-19.

Tout ça pour ça ?

La mesure la plus largement commentée par les médias est le passage au « vert » de l’Île-de-France, avec comme principale conséquence l’ouverture des cafés et des restaurants. Une piètre consolation

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11/06/2020

Rassemblement contre le racisme et les violences policières

violences policieres 13 juin.jpg

05/06/2020

Violences conjugales, le maire de Gap poursuit un militant pour "tag"

Rassemblement mardi 9 juin

dès 8h devant le tribunal de Gap

 

communiqué de presse – procès du 9 juin 8h30

Pendant la période de confinement, le secrétaire départemental de l’union syndicale Solidaires 05 a fait l’objet d’une plainte de la municipalité de GAP pour avoir inscrit à la peinture, sur un panneau municipal d’affichage « libre » et sur le bitume du parking devant le tribunal, des messages contre les violences conjugales, lutte déclarée grande cause nationale dans le quinquennat Macron.

Dans ce contexte particulier, Marlène Schiappa, la secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes annonçait une hausse de 36% des signalements en gendarmerie pour violences conjugales. Le gouvernement mettait également en place des dispositifs de renforcement, durant le confinement, pour combattre les violences conjugales (possibilité de signalement dans les pharmacies et mise en place du 114 par SMS). Ces dispositifs étant très peu relayés dans les médias locaux et aucunement par les administrations locales, notre camarade, dans son message inscrit à la peinture, rappelait les numéros d’appel 3919, le nouveau numéro 114 et le 119, numéro d’enfance en danger.

 

Ce militant est connu pour être actif dans les luttes et engagé dans le combat féministe depuis de nombreuses années, mais également comme un opposant de longue date aux politiques du maire de Gap. En portant plainte, la mairie de Gap fait le choix de la répression politique en engorgeant encore un peu plus la justice. Cette justice qui pourtant n’a cessé de se durcir envers le monde militant ces derniers temps, a seulement qualifié les actes faisant l’objet des poursuites de « dégradations légères ». Avec 151 féminicides en 2019, le message porté relève pourtant bien de l’utilité publique. Malgré tout, l’auteur des faits encourt 5 ans de prison et 75000 euros d’amende. Le refus du prélèvement ADN de la part de ce militant peut être considéré comme un nouveau délit qui pourrait s’ajouter à sa peine.

Pour l’égalité femmes hommes, contre les violences conjugales et la répression militante, nous appelons à nous rassembler devant le tribunal de Gap le 9 juin à partir de 8h en soutien à notre camarade (sans négliger les gestes de précaution sanitaires).

 

Appel soutenu par :

Union Syndicale Solidaires,

Solidaires Finances Publiques

Union Syndicale Solidaires du 04, 05, 06, 13, 38, 45, 56, 83 et 84

Morgane Guessant pour la commission Femmes de Sud PTT

Noura Damerval pour la Fédération Sud PTT.

Annick Depoues, commission femmes Solidaires 30

FSU05,

CGT05,

ATTAC05

Nous Toutes05

Planning Familial05

Soupes et Bobines

NPA05

PAGC-Ensemble05

PCF05

Fédération PS05

Les élu-es d'opposition du groupe APG à la mairie de Gap,

Groupe d'action France insoumise de Gap,

02/06/2020

Ne nous laissons pas étouffer par le racisme et les violences policières !

Ne nous laissons pas étouffer par le racisme et les violences policières !

De Minneapolis à Paris, la crise sanitaire a accéléré la restriction des libertés, aggravé la stigmatisation des pauvres et libéré les énergies nauséabondes de la xénophobie et du racisme. L'assassinat de Georges Floyd et la violente répression des mobilisations contre ce crime d’État montre les enjeux de cette séquence.

 

Un racisme systémique

Brahim Bouharam, Zined, Bouna, Adama Traoré, Georges Floyd... Les crimes racistes sont d'une cruelle analogie. Ils reflètent à quel point flics et fascistes assassinent dans une totale impunité. Des actes qui, loin d'être isolés, font système.

Le scénario est partout le même, avec une complicité des appareils judiciaires et politiques et des « experts médicaux » à la solde des juges dans des simulacres de procès. A Minneapolis, seul un des policiers a été inculpé pour homicide involontaire. Un chef d'accusation totalement décalé pour une mise à mort qui a duré près de 9 minutes… C'est une même logique qui a présidé à l'assassinat d'Adama Traoré, puisque la dernière « expertise médicale » vient exonérer les policiers de leur responsabilité dans l’asphyxie qui a entraîné sa mort.

Ces crimes trouvent leur légitimité et leur permissivité dans les discours des suprématismes blancs,

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07/04/2020

Réagir maintenant à la catastrophe qui vient

Réagir maintenant à la catastrophe qui vient

 

NPA

 

Il est de plus en plus clair que ce gouvernement, comme ceux qui l'ont précédé, porte une lourde responsabilité dans la gestion calamiteuse de la crise sanitaire. Obnubilé par le maintien des profits et la remise en cause de nos acquis sociaux, c’est avec presqu’un mois de retard qu’il commence à prendre de timides mesures pour faire face au virus. Le revirement du pouvoir ces derniers jours concernant le port de masques - dont la production et l’approvisionnement ont été catastrophiques - illustre cet «amateurisme» aux effets dramatiques.

Confinez-vous, travaillez, consommez...

Voilà le message contradictoire envoyé par le gouvernement depuis le début. Le confinement, réponse d’un pouvoir qui n’a pas anticipé l’ampleur et la dangerosité du virus, est une nécessité pour éviter des centaines de milliers de morts. Un dépistage précoce

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30/03/2020

Meeting en ligne

Meeting NPA en ligne 1er avril Twitter.jpg
"Nos vies valent plus que leurs profits"
 
Avec Philippe Poutou, Christine Poupin, Olivier Besancenot, des militantEs du monde du travail et des anticapitalistes d'Italie, de l'État espagnol et d'Algérie.
 
Meeting en ligne en Facebook live, en Twitter live et sur YouTube mercredi 1er avril à partir de 19h (pensez à le partager sur votre propre compte mercredi).
 
Visuels d'annonce Facebook et Twitter en pièce jointe
Événement Facebook (à partager d'ici mercredi pour annoncer le meeting) : https://www.facebook.com/events/510359512989840

Tract hebdo

Coronavirus : un gouvernement incompétent, des mesures anticapitalistes à prendre de logo npa rouge .jpgtoute urgence

Édouard Philippe a osé déclarer samedi soir qu’« il ne laissera

personne dire qu’il y a eu du retard dans les décisions ». Une

illustration de plus de la pitoyable et mortifère politique du

gouvernement. Mais, à force de mensonges, de déclarations

contradictoires, la population est devenue de moins en moins encline

à croire les messages gouvernementaux.

 

Pouvoir incompétent

Après avoir nié la gravité voire l’existence de la pandémie, le

gouvernement a retardé la mise en place de mesures qui devenaient de plus en plus urgentes.

Sous la pression d’une partie d’un patronat voulant préserver le plus longtemps possible

l’activité économique, le gouvernement a fait perdre de précieuses semaines à la lutte contre la

pandémie. Et, pendant ce temps, le président allait au théâtre...

 

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12/03/2020

Marche mondiale pour le climat

Marche climat Jeunes, c'est à Embrun à partir de 14h au départ du lycée Honoré Romane

Marche climat 14 mars, Gap 14h place de la liseuse et Guillestre 14h30 place ALbert.

 

13 et 14 mars 2020 : Marchons pour la justice sociale et climatique.
Ces 13 et 14 mars sont de nouvelles journées de la mobilisation internationale pour le climat.
Le vendredi 13, le mouvement Youth For Climate, qui avait initié la première grève mondiale
pour le climat en mars 2019, appelle colégien·nes, lycéen·nes et étudiant·es à participer aux
Marches pour l’avenir. Les jeunes interpellent aussi les professeur·es et personnels des
établissements.
Le samedi 14, des Marches pour le Climat se préparent dans plus de 80 villes. Elles sont appelées
très largement par les mouvements, associations, organisations syndicales.
Une occasion à ne pas manquer pour la convergence des luttes.
Ce samedi est aussi un temps fort de mobilisation contre la politique de Macron et son
gouvernement, ses contre-réforme des retraites ou de l’assurance chômage, la répression, et aussi
contre les groupes capitalistes financiers et bancaires...
Les BlackRock, fonds de pension, banques ou assurances sont directement responsables de la
course productiviste au profit, de l’exploitation des énergies fossiles et de la déforestation, causes
du dérèglement climatique. La réduction du temps de travail comme le droit à la retraite à 60 ans
maximum sont des revendication à la fois sociales et écologiques pour travailler donc produire
moins et partager plus.
A la veille des élections municipales : assez de belles paroles !
Toutes les listes jouent à qui sera le plus vert ! On ne compte plus les promesses de plantations
d’arbres et de végétalisations, les déclarations d’amour aux mobilités douces... Mais plus rares
sont les engagements réels et concrets contre les projets climaticides d’autoroute, de centres
commerciaux, de méga-stades ou de parcs de loisirs... qui menacent terres agricoles, biodiversité
et ressources en eau... Aucune lutte conséquente contre la pollution et le changement climatique
ne peut faire l’impasse sur la responsabilité de la voiture individuelle. Le développement des
transports publics gratuits afin de rendre bus, métro et tramways accessibles à tou·te·s, pratiques
et confortables est une réponse à la fois écologiquement efficace et socialement juste. Il doit
s’accompagner d’une transformation de l’espace urbain pour rendre le vélo, la marche à pied plus
sûrs et plus agréables. La publicité envahit l’espace public et consomme de l’énergie pour inciter
à consommer toujours plus, souvent à coup de messages sexistes. A quand des arrêtés
municipaux d’interdiction ?
Locales, nationales et mondiales, sociales ou écologiques, nos exigences et nos luttes se
conjuguent et se renforcent : faisons-les entendre ensemble les 13 et 14 mars.