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08/11/2016

Tract hebdo NPA

Élections aux USA, à l’image d’un monde malade du capitalisme

Le grand show politique de la campagne présidentielle, une série de télé-réalité vulgaire et agressive, donne une image logo npa rouge .jpginquiétante de l’évolution de la prétendue démocratie américaine. Entre le démagogue Trump, raciste, sa grossièreté sexiste, son agressivité, son chauvinisme, et Hillary Clinton, la candidate de l’establishment politique et financier, il n’y a aucun enjeu pour les travailleurs. Certes le discours de Trump est inquiétant mais, aux USA comme ici, ce ne sont pas les électeurs qui décident de quoi que ce soit mais bien Wall Street, le Pentagone et le FBI. Combattre la menace que porte le discours de Trump ne peut se faire par un bulletin de vote en faveur de Clinton dont le parti porte une lourde responsabilité dans la régression sociale qui frappe les travailleurs et les classes populaires américaines.

Obama au service de l’offensive capitaliste

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29/10/2016

tract hebdomadaire NPA

Ecraser les oppriméEs, protéger les puissants :

le monde à l’envers !

drapeaux aux vents npa.jpegLe démantèlement du camp de réfugiés à Calais est donc terminé. Les migrants ont été dispersés dans des centres d’accueil et d’orientation (CAO) temporaires dans plus de 80 départements. Sans qu’il n’y ait aucune garantie sur ce qui pourra leur arriver d’ici quelques mois. Un symbole de la misère du monde et de l’hypocrisie du pouvoir.

Une « mise à l’abri humanitaire » des réfugiés, vraiment ?

Le ministre de l’intérieur Cazeneuve et l’ancienne dirigeante des Verts Emmanuelle Cosse ont parlé d’une « mise à l’abri humanitaire ». Pour le gouvernement, l’humanitaire signifie donc : laisser plusieurs milliers de personnes à la limite de la survie dans le bidonville de Calais pendant des mois, réprimer à l’occasion, et accueillir au mieux 5000 Syriens, alors que la Suède en accueille 50 000 et l’Allemagne plus d’un million.

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25/10/2016

Tract hebdomadaire NPA

Solidarités avec les migrants

Liberté de circulation et d'installation !

drapeaux aux vents npa.jpeg Le démantèlement du camp de réfugiés à Calais a commencé ce lundi. Les migrants vont être dispersés dans 80 départements, dans des centres d’accueil et d’orientation (CAO) temporaires. Que leur arrivera-t-il ensuite ? Ils seront ensuite pour la plupart expulsés, quelques mineurs seront acheminés en Grande-Bretagne (actuellement, 16 sur 1300…).

« Une mise à l’abri humanitaire » ?

Le premier ministre Cazeneuve et l’ancienne dirigeante des Verts Emmanuelle Cosse parlent d’une « mise à l’abri humanitaire ». Pour le gouvernement, l’humanitaire signifie donc : laisser plusieurs milliers de personnes survivre dans le bidonville de Calais pendant des mois sans fournir d’infrastructures, frapper et gazer à l’occasion, accueillir 5000 Syriens alors que la Suède en accueille 50000 et l’Allemagne plus d’un million.

Le gouvernement vient de trouver un hangar et 3 000 m2 de terrain pour faire transiter les migrants alors qu’il n’a fourni aucune aide jusqu’ici. Il trouve 1300 CRS pour démanteler le camp alors qu’il n’a pas fourni le minimum d’aide humaine pour les migrants. Il trouve 10000 places en CAO alors qu’il refuse d’accueillir des hommes et des femmes qui fuient la guerre ou la misère. On nous fait, une fois de plus, le coup de l’opération humanitaire déclenchée en pleine nuit à grands renforts de bus et de CRS.

Le gouvernement court après le FN

Tout cela montre en tous cas que ce qui manque pour accueillir les migrants, ce ne sont pas les moyens mais la volonté politique. Le gouvernement, avec son discours « humanitaire », tente de faire croire à qu’il lui reste des valeurs de solidarité.

Mais, en réalité, le démantèlement du camp ne résoudra en rien les problèmes des migrants et, au contraire, il leur interdit toute solution collective, toute capacité à revendiquer, en les dispersant sur le territoire pour les isoler puis les virer.  Le gouvernement a d’ailleurs interdit les manifestations de soutien aux migrants à Calais. En réalité, il use de la même démagogie réactionnaire qu’un Sarkozy avant lui ou Le Pen, s’en prendre aux étrangers pour masquer sa propre responsabilité dans la situation rendue dramatique par le chômage et la misère d’une grande partie de la population.

Imposer de vraies solutions !

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19/10/2016

Tract hebdomadaire NPA

Contre les licenciements et la répression, les exploités doivent prendre leurs affaires en main !

logo npa rouge .jpgPSA vient d’annoncer un nouveau plan de 2133 « suppressions d’emplois », après les 17 000 CDI supprimés en moins de quatre ans. Pourtant, elle a engrangé 2,4 milliards de bénéfices sur 18 mois, et reçu 200 millions d’euros en trois ans au titre du CICE. A PSA comme dans d’autres boites, les subventions du gouvernement ont pour seul effet des suppressions d’emplois, et en aucun cas des embauches.

« Suppressions d’emplois » ?

Derrière ce terme, se cachent en pratique des licenciements. A PSA, à SFR et ailleurs, quand le patronat parle de « départs volontaires », nous constatons des coups de pression, des ruptures conventionnelles imposées, des licenciements pour faute, des départs en retraite anticipée.

Le patronat dispose aujourd’hui d’un arsenal extrêmement développé pour virer des salariés, fermer des usines, en contournant les contraintes des « plans sociaux ». Mais le résultat est le même : le chômage augmente, les cadences de travail augmentent, et ainsi les accidents du travail et l’épuisement des salariés.

5000 postes chez SFR, 750 chez Intel, 600 chez Servier, 240 à Latécoère, les suppressions d’emplois sont nombreuses, de l’ordre du million par an.

La répression comme réponse

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Tract NPA

Alep, Mossoul, le jeu sanglant des grandes puissances

Arrêt immédiat des bombardements !

Non à la guerre !

En Irak, l'offensive de l’armée pour reprendre aux troupes djihadistes de Daesh la ville de Mossoul a été lancée logo npa rouge .jpgmardi matin. Les USA lui ont apporté un soutien sans réserve alors que l'ONU exprimait son inquiétude pour la sécurité des 1,5 million d'habitants de la ville qui seront, une fois encore, les premières victimes des bombes qui prétendent les « libérer ». Les grandes puissances coalisées derrière Georges Bush prétendaient aussi libérer l’Irak de Sadam Hussein lors de la première guerre d’Irak, elles ont fait du pays un champ de ruines, dressé les populations les unes contre les autres, imposé un pouvoir fantoche, créé le terrain sur lequel Daesh a pu prospérer.

Une cynique comédie

Le gouvernement français soutient lui aussi cette macabre offensive militaire. Hollande a voulu poser à l’homme de paix en faisant la leçon à Poutine qui, avec Bachar El Assad, bombarde Alep. C'est une posture aussi cynique qu’hypocrite tant ils sont complices. Pendant que Bachar El Assad et Poutine reprennent Alep, la coalition menée par les États-Unis, à laquelle la France participe, lance l’offensive de Mossoul. Ils se partagent le travail pour tenter de sortir du chaos qu'ils ont eux-mêmes créé tout en défendant, chacun, leurs propres intérêts.

Hors du Moyen Orient les troupes impérialistes

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04/10/2016

Explusions? C'est NON!!!


                                 MERCREDI 6 OCTOBRE A 9H


          NOUVEAU RASSEMBLEMENT DEVANT LA DDCSPP (4, rue des silos)

    EN SOUTIEN A UNE FAMILLE ET DEUX JEUNES LYCÉENNES qui y sont convoquées

                   TOUS SONT MENACES D'EXPULSION A TRÈS COURT TERME

tract hebdomadaire NPA

C’est pas les immigrés qu’il faut chasser, c’est Hollande et son gouvernement

Samedi dernier à Calais et sur l’autoroute du Nord, la politique gouvernementale s’est tristement illustrée avec l’interdiction de la manifestation de soutien aux migrants. Gazages, matraquages, blocage des cars partis de Paris, ce sont les mêmes méthodes que celles appliquées aux manifestantEs contre la loi travail, à toutes celles et ceux qui s’opposent à la politique gouvernementale, aux dictats patronaux. Dans le plus grand silence médiatique.

La France prend sa part ?

Ce qu’on appelle la « jungle » de Calais ce sont 10 000 réfugiéEs dans la boue du camp de La Lande, fuyant guerres et misère, qui cherchent à gagner la Grande-Bretagne. Le gouvernement continue la même politique sur le thème « la France ne peut accueillir toute la misère du monde ». Il impose également l'équivalent de Calais à Vintimille pour empêcher des réfugiéEs actuellement en Italie de venir en France.

La France ne voit arriver qu’une infime partie des réfugiéEs. Quand la France reçoit 5000 Syriens, la Suède en accueille dix fois plus, l’Allemagne 300 fois plus. Ce sont les pays frontaliers des zones de guerre qui accueillent l’immense majorité de ces populations. Le conflit syrien a déjà provoqué près de 5 millions de réfugiés, principalement vers la Turquie (2,5 millions), le Liban (1,1 million) et la Jordanie (628 000). Ces pays ont accueilli plus de 86 % des réfugiéEs syriens. Le Liban en accueille le plus au regard de sa population (183 réfugiés pour 1 000 habitants). En Jordanie la population a ainsi augmenté de 25 %. Dans le même temps se construit une l’Europe forteresse, responsable de la mort de 10 000 migrants en Méditerranée depuis le début de 2014.

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28/09/2016

Tract hebdomadaire NPA

Arrêt du nucléaire = URGENCE !

sitenuke.jpgNous savons, au moins depuis Fukushima, que la catastrophe, loin d’être impossible, est inscrite dans le choix de produire l’électricité à partir du nucléaire. Pourtant, Valls n’a pas hésité à déclarer « La filière nucléaire, c’est une filière d’avenir pour notre pays »

Non au rafistolage des réacteurs.

En France, dans les 10 prochaines années, 42 des 58 réacteurs électronucléaires dépasseront 40 ans, alors qu’ils ont été conçus pour 30 ans ! Pire, le gouvernement et EDF veulent prolonger leur durée de vie à 50 voire 60 ans. Pour cela, EDF s’est lancé dans un chantier titanesque, le « grand carénage ». Il en estime le coût à 55 milliards d’euros d’ici 2025, mais la Cour des comptes a évoqué 100 milliards. Surtout, tous les composants vieillissants ou non conformes ne seront pas remplacés, certain ne sont même pas remplaçables…

Non à l’EPR.

Le nouveau réacteur dit EPR en construction à Flamanville est complexe et vulnérable, il a d’ores et déjà explosé les délais et les coûts (multiplié par 3), il multiplie les malfaçons graves en particulier sur la cuve. Son chantier expose les salariéEs à la maltraitance et aux accidents du travail.

Nous ne voulons ni d’un EPR plus qu’inquiétant avant même d’être terminé,

ni de la prolongation de réacteurs vieillissants,

mais l’arrêt du nucléaire.

C’est possible !

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07/09/2016

Loi travail : manif J 15 sept 11h à Gap

    CGT

CGT-FO-FSU-Solidaires

Salariés du public, salariés du privé, jeunes, lycéens, privés d’emploi, retraités, nous sommes tous concernés !

Après 4 mois de mobilisation intense, le gouvernement a de nouveau sorti le 49-3 en plein été, pour faire passer en force la loi travail.

Les droits de tous les salariés sont violemment impactés par les reculs sociaux imposés par les lois Macron, Rebsamen, le Pacte de responsabilité.

La Loi El Khomri continue le massacre du code du travail, de l’emploi, des salaires… au bénéfice du pouvoir absolu du capital.

70% des français étaient contre le projet de loi et pourtant !!!

En 2006, les mobilisations contre le CPE (Contrat Première Embauche) ont fait reculer le gouvernement. Cette loi n’a jamais été mise en œuvre malgré son adoption.


Manifestons jeudi 15 septembre 2016

RDV à 11h00

Place Ladoucette à GAP 10 ans après, nous pouvons en faire autant !

Dans toute la France des mobilisations sont prévues le 15 septembre.

pour gagner l’abrogation de la loi travail afin qu’une minorité ne décide pas de notre avenir et pour que cesse leur mépris !

30/06/2016

tract hebdomadaire NPA

Toujours debout et dans la rue contre la loi travail

Le 14 juin nous étions plusieurs centaines de milliers de manifestantEs à Paris et en régions, avec des grèves dans de très nombreux secteurs : SNCF, raffineries, docks, nettoyage contre la loi travail… Le gouvernement a aussitôt répondu en aggravant la répression, allant même jusqu'à vouloir interdire la manifestation parisienne du 23 juin. Depuis quatre mois, le gouvernement et les médias ne cessent de répéter que cette mobilisation s’essouffle, qu’elle est minoritaire alors qu’elle se renouvelle sans cesse et que la loi est majoritairement rejetée par la population.

Manif  Mardi 5 juillet Marseille 10h30 Vieux Port 

Transport et co-voiturage Gap 7h30 parking de la

commanderie

La fuite en avant du gouvernement

Après avoir tenté d’interdire la manifestation de Paris, Valls a été contraint d’accepter un parcours. Un scandaleux micro parcours de 1,5 km de Bastille à Bastille encadré par un dispositif policier comme nous en avons rarement vu. Pendant ce tour de manège, une centaine d’arrestations « préventives » aux alentours de la manifestation ont eu lieu ainsi qu’à l’intérieur.

Cerise sur le gâteau, quelques jours plus tard, le gouvernement a tenté de reporter la Marche des Fiertés pour au final la limiter à quelques kilomètres sur un parcours rendant cette marche totalement « invisible » ! Quelques jours après la tuerie homophobe d’Orlando, il fallait oser.

Ces décisions ne sont qu'une fuite en avant d’un pouvoir qui n’a plus aucune légitimité, qui n’a que la répression, l’interdiction des manifestations, la mutilation de manifestants, et le 49-3 pour faire passer sa loi.

 

Continuer la mobilisation

Le chemin est encore long avant l'adoption de la loi par le Parlement. Un temps pendant lequel nous devons continuer à nous mobiliser pour obtenir le retrait de la loi.

Cette mobilisation montre que lorsque les travailleurs se mettent en grève massivement, qu’ils bloquent l’économie, alors le pouvoir tremble. Un mouvement de grève générale aurait, à n’en pas douter, déjà contraint le gouvernement à retirer sa loi, et à dégager lui-même.

C’est cette perspective que nous continuons à défendre, avec tous les militants du mouvement : il n’y aura pas de solution institutionnelle à la crise économique, ni à la politique du gouvernement. Comme le montre la mascarade du référendum sur l'aéroport de Notre Dame des Landes. Il n’y aura pas de sauveur en 2017 qui résoudra ces questions. Seule la mobilisation générale des travailleurs, des classes populaires, peut imposer le retrait de la Loi travail, dégager ce gouvernement et son monde.