Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

03/05/2023

Tract hebdo

Contre Macron et ses réformes, pour une alternative anticapitaliste, l’action continue !
Copie de péage 29.10 019.JPG
Les manifestations du 1er Mai ont montré que le mouvement contre Macron reste extrêmement puissant. Pour gagner, nous avons besoin d’un programme unitaire d’action et de rupture avec les politiques capitalistes. 
 
Avec 2,3 millions de manifestantEs, ce 1er Mai est historique. Dans de nombreuses villes, ce sont 7, 8, 10 fois plus de personnes qui ont manifesté par rapport aux 1ers Mai des années précédentes. 
 
Vers une grève massive le 6 juin 
Quelles sont les prochaines échéances pour le mouvement ? Le 3 mai, on saura si le Conseil constitutionnel valide le référendum d’initiative partagé (RIP) qui permettrait une mobilisation populaire, pétitionnaire, pour revenir à la retraite à 62 ans. Cette demande minimaliste – nous sommes favorables au retour de la retraite à 60 ans, 55 pour les métiers pénibles, et 37,5 annuités de cotisations – si elle était rejetée, montrerait une fois de plus le caractère totalement antidémocratique de la Ve République. Son hypothétique acceptation ne serait toutefois que le début d’un long processus loin de garantir une victoire sur la contre-réforme des retraites. 
Ensuite, l’intersyndicale appelle à une nouvelle grève le mardi 6 juin, deux jours avant le vote d’une loi proposant d’abroger la législation sur la retraite à 64 ans. Nous devons absolument réussir cette mobilisation, faire en sorte que la grève soit de nouveau massive, que cela exerce une pression maximale sur les députés. 
 
Un affrontement global avec le pouvoir 
Mais il est peu probable que le Conseil constitutionnel et l’Assemblée nationale aillent dans le sens de remettre en cause la réforme des retraites avec la seule pression d’une nouvelle grève le 6 juin. Car pour les institutions, l’enjeu s’est déplacé vers un affrontement plus global entre le pouvoir et le monde du travail. En interdisant les sifflets et cartons rouges au Stade de France, en arrêtant des centaines de personnes dans les manifestations, en mettant en danger de mort des manifestantEs comme à Sainte-Soline, le pouvoir montre qu’il a prévu d’accélérer une politique antidémocratique et antisociale sans précédent dans un contexte où l’inflation continue de nous appauvrir à grande vitesse. Cette politique brutale a une dimension raciste évidente, comme le montre la situation à Mayotte, où le gouvernement entend déporter par la force 24 000 habitantEs – dont un tiers sont néEs sur le sol français et devraient donc avoir la nationalité. 
Nous sommes entréEs dans une période d’affrontement global avec Macron et son pouvoir, qui n’est toutefois pas aussi fort qu’il prétend l’être, comme l’a montré le fait qu’il soit obligé de lâcher des augmentations de salaires aux enseignantEs et de reporter la réforme du droit d’asile. 
 
Faire feu de tout bois 
Nous devons faire feu de tout bois pour gagner le retrait de la réforme et contre ce gouvernement, autour de la grève évidemment, mais également en construisant et multipliant les initiatives qui visibilisent le mouvement et notre opposition : les casserolades, actions, rassemblements, réunions publiques… Ils sont illégitimes et minoritaires et ça doit continuer à se voir et s’entendre ! Mais nous devons également faire feu sur toutes les autres questions : c’est le moment de revendiquer pour les salaires, le temps de travail, en profitant des fragilisations du gouvernement. De ce point de vue, l’extrême droite, qui tente de récupérer la colère, est un ennemi mortel. Elle incarne ce qu’il y a de plus régressif pour nos droits et nos libertés. 
Face à cela, nous avons besoin d’une contre-offensive unitaire du monde du travail, des classes populaires, de la jeunesse. Nous avons besoin que toutes les organisations, politiques, syndicales, associatives, se réunissent pour élaborer un programme d’urgence pour les classes populaires et contre le capitalisme, et mettent en place des structures pour organiser l’affrontement avec Macron. 
Pas de retrait, pas de paix ! 
 
Le 2 mai 2023 

26/04/2023

Soutien aux camarades visé.es par la répression

Ci-doussous, le lien vers une cagnotte pour les camarades visé.es par la justice dans le cadre d'action liées à la lutte contre la réforme des retraites dans les Hautes-Alpes.

Pouvoir choisir son avocat.e pour une défense efficace et jusqu'au bout, demande d'avoir des moyens financiers parfois important face à l'état  qui utilise l'argent public pour nous incriminer de délits les plus farfelus. 

Ne laissons pas faire. Solidarité avec nos camarades.

https://www.helloasso.com/associations/rouge-durance/coll...

1er Tou.te.s mobilisé.es

01-05-2023 visuel 1er mai solidaires05.png

27/03/2023

MACRON NOUS PROVOQUE, RÉPONDONS PAR MILLIONS

MACRON NOUS PROVOQUE, RÉPONDONS PAR MILLIONS Le poing hebdo du Nouveau Parti Anticapitaliste du 23 mars 2023 avec Manon Boltansky, membre de la direction du NPA. « La grève doit s’amplifier et durer pour gagner. Plus que jamais, Macron et son gouvernement sont fragilisés. A nous de ne rien lâcher et de continuer à pousser. Ils doivent retirer leur contre-réforme dont personne ne veut et sans aller. »

https://youtu.be/mX4IO5TdyXY

Manif du 28 mars pour défendre nos retraites

 

Barcelonnette, 10h devant la Mairie.

affiche 28 mars.png

Adresse du NPA aux organisations syndicales, associatives et politiques

Adresse du NPA aux organisations syndicales, associatives et politiques (mercredi 22 mars 2023)

Dans la suite de nos communiqués depuis une semaine, une adresse a été envoyée à l’ensemble des organisations du mouvement ouvrier et du mouvement social en vue en particulier de l’organisation d’une rencontre unitaire ces prochains jours.

Elle est reproduite ci-dessous, maquettée en PJ et ici :

https://nouveaupartianticapitaliste.org/actualite/politique/adresse-du-npa-aux-organisations-syndicales-associatives-et-politiques-mercredi

CherEs camarades,
Depuis près de trois mois, la gauche sociale et politique est unie contre le projet de réforme des retraites proposé par Emmanuel Macron et le gouvernement. Depuis près de trois mois, partout dans le pays, les travailleuses et travailleurs, les jeunes, les retraitéEs, les femmes, ont exprimé à une écrasante majorité leur opposition à ce projet par des pétitions, des réunions publiques, dans la rue et par la grève.
Minoritaire dans l’ensemble de la société et archi-minoritaire dans le monde du travail, Macron est également en minorité au Parlement. Jeudi dernier, son gouvernement est passé en force via l’article 49.3 de la Constitution, pour imposer au Parlement son projet qui est aussi brutal qu’injuste. L’utilisation du 49.3 par le gouvernement est un scandale démocratique. Elle incarne la faiblesse de la base sociale du pouvoir et son cours autoritaire. Le pouvoir de Macron ne repose plus maintenant que sur deux choses : le 49.3 à l’Assemblée nationale et la police dans les rues du pays. Et l’échec à seulement quelques voix du vote de la censure ce lundi à l’Assemblée nationale confirme cette faiblesse. Plus que jamais, l’issue du bras de fer actuel se situe sur le terrain des mobilisations sociales.
Le mouvement de colère et de rejet contre la réforme Macron doit s’amplifier, par la grève, les blocages et les manifestations de masse avec comme objectif de mettre à genoux ce gouvernement. Par ailleurs, face à cette violence sociale et ce déni de démocratie, nos organisations doivent prendre leurs responsabilités. La crise politique est profonde, elle ne va pas manquer de se renforcer, mais rien ne garantit qu’elle aura une issue positive pour notre camp social. D’autant plus que l’extrême droite, atone face à un mouvement social puissant, se tient en embuscade et prospère sur le désespoir et l’absence d’alternative face au pouvoir macroniste. Nous avons donc la responsabilité de mettre en avant des mots d’ordre permettant une alternative : pour le retrait de la réforme des retraites, mais aussi celle de l’assurance chômage, le retour à la retraite à 60 ans, des augmentations de salaires, le retrait de la loi Darmanin, une transition écologique, des moyens pour l’éducation, pour les hôpitaux, etc. Et, au-delà, contester la légitimité de Macron et remettre en cause les institutions particulièrement antidémocratiques de la Ve République.
Alors que notre pays est entré dans une crise sociale, démocratique, politique, majeure, nous proposons à l’ensemble des organisations de la gauche sociale et politique – syndicats, associations et collectifs, forces politiques – de se rencontrer ces prochains jours. L’enjeu est de faire le point sur la situation pour envisager ensemble, dans l’unité la plus grande, quelles initiatives nous pouvons prendre pour renforcer la mobilisation en cours, et construire un horizon victorieux.
Le comité exécutif du NPA

15/03/2023

Tract hebdo

Contre un pouvoir illégitime
Plus que jamais
En grève et dans la rue
Le mouvement contre la réforme de régression sociale portée par le pouvoir macroniste continue. Après une
semaine marquée, le 7 mars, par la plus puissante journée de mobilisation depuis le début de la lutte, une grève
féministe le lendemain et une journée de manifestation samedi dernier, la grève s’est installée dans différents
secteurs et ça se voit. Pourtant, malgré l’opposition ultra-majoritaire de la population, Macron veut passer en
force en s’appuyant sur les institutions de la Ve République bien peu démocratiques.


Ils veulent passer en force
La contre-réforme est rejetée mais Macron et ses amis s’en moquent. Utilisant un article de la Constitution, le
44.3 (!), le Sénat a voté la réforme des retraites le samedi en toute fin de soirée, cela quelques heures à peine
après des manifestations qui ont réuni une nouvelle fois des centaines et des centaines de milliers de
personnes… Contredisant les propos de Dussopt pour qui la contre-réforme est « de gauche » (mais avait-on
besoin de cet éclairage?), la droite LR a porté et voté comme un seul homme un projet qu’ils ont même durci
par leurs amendements.
Ce mercredi 15, sénateurs et députés tenteront en commission mixte de se mettre d’accord sur le texte du projet
qui finalement va revenir à l’Assemblée nationale dès jeudi. En réalité, il s’agit pour Macron, Borne et Dussopt
de vérifier s’ils disposent d’une majorité rassemblant la droite macroniste et LR à l’Assemblée pour ne pas être
contraints à l’autoritaire article 49.3.
Pour nous, qu’importe, majorité parlementaire ou 49.3, l’illégitimité de la contre-réforme et du pouvoir qui la
porte n’est plus à démontrer, il faut continuer à les contester.


Jeudi c’est dans la rue que ça se passe !
Depuis le début de la semaine dernière, une série de secteurs sont en grève reconductible : à la SNCF, dans les
secteurs de l’énergie ou du nettoiement, dans de nombreux établissements scolaires (où les enseignantEs ont
repris la grève en fin de semaine dernière ou ce début de semaine)… Pour faire plier le gouvernement, la
reconduction de la grève articulée à des actions locales de blocage reste la stratégie collective sur laquelle il faut
miser. Malgré les difficultés, convaincre de rester mobiliséEs passe aussi par réunir des assemblées générales
pour discuter de comment organiser la grève.


Ce jeudi est une journée importante. Ce jour-là, au bout de sa course législative, le texte va être soumis au vote
des députés si les grandes manœuvres macronistes pour réunir une majorité ont réussi, ou le pouvoir va passer
sans vote, grâce au 49.3 s’il y est contraint. À cette occasion, au lendemain de la nouvelle journée de grève et
de manifestations appelée par l’intersyndicale mercredi 15 mars, une vague de colère doit se faire entendre dans
la rue. Populaires et unitaires, manifestations et rassemblements doivent converger contre les lieux de pouvoir, à
commencer par Paris en se retrouvant devant l’Assemblée nationale.


Contre Macron et son projet de contre-réforme unanimement rejeté, il faut frapper, fort, touTEs ensemble et en
même temps. Leur démocratie reste une parodie, et le retrait pur et simple du projet de loi reste notre horizon…
même si la loi est votée.


Contre leur réforme de régression sociale, contre Macron et son monde, on est toujours là, et on ne lâchera rien
!
Le mardi 14 mars 2023

12/03/2023

15 mars, on grève, manifeste, on bloque

Tout.es ensemble on va gagner!!!

Nouvel appel à faire grève, manifester, bloquer de l'intersyndicale Haut-Alpine.

Mercredi 15 mars 10h depart de la préfecture

Modalité sur Briançon à venir.

affiche(2).jpg

14/02/2023

Tract hebdo

Contre Macron et son monde
À partir des 7 et 8 mars, bloquer le pays, partout et en même temps !
Le 16 février est la 5e journée de mobilisation d’un mouvement historique contre la réforme des retraites. Dans
plusieurs villes, les manifestations de samedi dernier étaient les plus grosses de l’histoire ! Face à cela, Macron
et le gouvernement se donnent une image d’intransigeance. Mais comment maintenir une réforme aussi injuste
qu’injustifiée alors que 90 % du monde du travail rejette ce projet ? Macron et sa clique ont perdu leur
légitimité, mais ont choisi de poursuivre le bras de fer. Ce qui se joue maintenant, c’est le blocage du pays pour
mettre en échec la réforme et toute la macronie.

Il est temps de solder les comptes
La profondeur de la mobilisation exprime un rejet massif de la réforme des retraites. Elle porte aussi en elle des
revendications plus larges.
D’abord pour nos salaires qui ont été amputés un peu plus par l’inflation. Nous devons exiger une augmentation
générale de 400 euros pour touTEs.

Lire la suite

Tout.es Mobilsé.es pour nos Retraites dans les Hautes-Alpes

Affiche couleur.jpg