Grève interprofessionnelle le mardi 23 mars

Communiqué commun

COMMUNIQUE COMMUN CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA

Lors du sommet social qui s’est tenu aujourd’hui, le président de la République s’est limité à annoncer une série de rendez-vous. Les organisations syndicales continuent de manifester leur profonde inquiétude sur l’emploi, le pouvoir d’achat et les retraites.

Le gouvernement n’a apporté aucune réponse concrète sur l’emploi, les salaires, le pouvoir d’achat, les conditions de travail et les politiques publiques. Il renvoie la question des chômeurs en fin de droits à une concertation avec le secrétaire d’Etat à l’emploi.

Alors que les organisations syndicales ont récemment dénoncé les atteintes au statut général des fonctionnaires, le gouvernement ne dit rien non plus sur le malaise dans la Fonction publique. Au nom de la révision générale des politiques publiques, il supprime des emplois au détriment des missions des services publics.

La dégradation des conditions de travail et de l’emploi touche les salariés du privé comme du public.

La formation professionnelle en PACA

Edmond Diaquef, militant du NPA dans les Bouches-du-Rhône.

La question de la formation professionnelle

Ecologie en PACA

Jean-Louis Marchetti, membre du Secrétariat Exécutif Départemental du NPA des Bouches-du-Rhône

La CGT appelle à voter massivement

 

Elections

régionales

Mars 2010

 

 

 

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La CGT appelle tous les salariés retraités, privés d’emploi à participer massivement aux scrutins lors des élections régionales.

Montreuil, le 11 février 2010

ils vivent ici, ils restent ici !

Frédéric Grimaud, militant du NPA à Martigues

La question des sans-papiers

Retraite à 37,5 annuité au maximum!

La question des retraites

accord NPA/Alternatifs

L’accord Alternatifs NPA en région PACA

Argent public au public

Nathalie Vercelino, candidate aux élections Régionales, sur la liste NPA PACA.

La crise c'est eux, la solution c'est NOUS!!!

Pendant la crise, les sales coups continuent

Ça devait arriver : à force de financer à fonds perdus les banques et les industriels, tout en baissant les impôts des entreprises et des riches, les États s’endettent de plus en plus… jusqu’à ce que les spéculateurs, qu’ils ont pourtant enrichis, se mettent à douter de leurs possibilités de rembourser au point de les menacer de faillite. On nous répète sans cesse que la reprise montre le bout du nez, que la crise est derrière nous... Mais ceux qui gouvernent ont toujours la même réponse : nous faire payer leur crise !

Non à la fermeture de l'école d'Abriès-Ristolas

Jeudi 4 février 2010 4 04 /02 /2010 09:30

VOir le blog : http://collectif-ecole-abries.over-blog.com/

SIgner la Pétition : http://www.petitionduweb.com/Soutien___224__l_ecole_d_Abr...

Les parents d'élèves restent mobilisés !

Hier, certains parents se sont penchés sur un courrier destiné à l'inspecteur académique pendants que d'autres s'évertuaient à rassembler draps et peinture pour fabriquer des banderoles, d'autres encore se sont penchés sur une pétition papier pendant que les plus "branchés" en informatique ont préféré mettre une pétition en ligne. Un courrier est également prévu à l'attention de nos élus afin de les informer sur les erreurs de l'inspecteur académique...

Bref, tous les parents d'élèves de l'école d'Abriès-Ristolas se mobilisent pour lutter contre la suppression du poste d'enseignant. Cette année, nous avons 51 enfants scolarisés à l'école et 3 doivent encore arriver à la rentrée des vacances de février. Cela montra l'effectif à 54 enfants pour 3 classes. Nous avons besoin de nos 3 institutrices ! Pour l'année prochaine, nous avons déjà au moins 51 enfants de prévus... Alors pourquoi est-ce que l'inspecteur se borne à vouloir supprimer un poste ?

Hier soir, la commission "handicap" de l'association sociale et culturelle du Queyras s'est rassemblée pour parler du cas d'Heidi, une petite fille sourde qui est scolarisée à l'école d'Abriès-Ristolas. Son avenir est en jeu !

En effet, si nous n'avons plus que deux classes, l'institutrice ne pourra plus s'occuper d'Heidi comme elle le fait aujourd'hui et cette petite fille "pas comme les autres" a besoin de cette attention afin de progresser dans son apprentissage scolaire.

Donc, nous restons mobilisés plus que jamais !

Par collectif-ecole-abries