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03/12/2025

Tract hebdo

Non aux impérialismes, non à la guerre !

Autocollant-NPA-Identitaire-horizontal.jpgLe 18 novembre dernier, devant le Congrès des maires de France, le général Mandon, chef d'État-major des armées, a évoqué un « manque de force d’âme » en France, en précisant que celle-ci devrait « accepter de perdre ses enfants » dans un conflit futur, en pointant implicitement la Russie. 

À sa suite, Macron a annoncé le retour du service militaire, pour le moment sous forme de volontariat. 

La ficelle est un peu grosse pour ne pas y voir la justification de dépenses militaires délirantes, alors que c’est un budget d’austérité pour les services publics et les classes populaires qui est en discussion au Parlement.

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Service militaire et « argent magique » pour les armées

L’annonce de Macron s’inscrit dans une logique de militarisation de la société.

Présenté comme un moyen de renforcer le lien social, le nouveau service militaire sera en réalité un instrument de préparation à la guerre, formant des jeunes à l'obéissance et à la violence pour garantir la domination des classes capitalistes

Pendant que les services publics se dégradent, le budget des armées, régi par une loi de programmation militaire pluriannuelle, a lui doublé, pour passer à 413 milliards pour 2024-2030. Des milliards investis dans l’armement et dans l’expansion des capacités nucléaires, pour le plus grand bénéfice du complexe militaro-industriel français.

Les rivalités entre puissances impérialistes

Les États-Unis, comme d’autres puissances impérialistes, y compris la Russie dans sa guerre contre l’Ukraine, utilisent la guerre pour maintenir leur domination économique et politique dans leurs « zones d’influences » respectives, et garantir leur accès aux ressources naturelles. 

Les déclarations récentes de Donald Trump et sa menace d'intervention militaire contre le Venezuela, riche en pétrole, en sont un bon exemple. 

La question de Taïwan en est aussi une illustration. La Chine, qui revendique la souveraineté sur l’île, se heurte aux États-Unis, qui ne veulent pas perdre le contrôle du leader mondial des semi-conducteurs, matériaux nécessaires aux puces électroniques, indispensables pour l'économie connectée.

Ce bras de fer géopolitique s’inscrit dans une logique d’influence et de contrôle des ressources, où les peuples sont sacrifiés au nom des intérêts des grandes entreprises capitalistes.

…mènent à la guerre

Ce qui se cache derrière les discours et les menaces, c’est la réalité d'un système capitaliste qui cherche à maintenir son emprise sur les peuples et à imposer ses lois économiques à l'échelle mondiale. 

Les États-Unis, la Russie, la Chine, la France et les autres puissances cherchent à contrôler les ressources, les marchés, les territoires et les populations. Pour ce faire, la violence, la guerre, la militarisation sont leurs outils essentiels. 

C’est pourquoi nous nous opposons à tous les impérialismes, en premier lieu le nôtre, et à la guerre vers laquelle nous précipitent les rivalités entre ces grandes puissances impérialistes.

Montreuil, le 2 décembre 2025

28/11/2025

GAZA : LE NPA SOUTIENT LE PEUPLE PALESTINIEN

https://youtu.be/jsSuETQED4I

26/11/2025

Tract hebdo

Marche nationale du 29 novembre : Palestine vivra !

Deux ans après le début de la destruction de Gaza par Israël, notre mobilisation est plus que jamais cruciale pour la survie du peuple palestinien. A l’heure où le génocide se poursuit, où le « cessez-le-feu » a fait plus de 300 morts supplémentaires, où le « plan Trump » dépossède le peuple palestinien de sa destinée, nous devons répondre en masse à la mobilisation nationale du 29 novembre, à l’appel de l’AFPS et de plus de 70 organisations. Pas une voix ne doit manquer !

Israël génocidaire, États impérialistes complices

Ce qui se passe à Gaza n’a rien d’une guerre : c’est un génocide. Entre déplacements forcés, bombardements, famine organisée, exécutions sommaires et tortures, la litanie des crimes israéliens est sans fin. Tuer des familles entières, des soignantEs, des journalistes, des artistes, des athlètes, ce n’est pas une guerre, c’est un génocide. Détruire les hôpitaux, les écoles, les lieux de culte, c’est un génocide. Anéantir la mémoire et l’avenir d’un peuple en éliminant son patrimoine et ses enfants, c’est un génocide. Dans le même temps, Israël profite de la séquence pour accélérer la colonisation en Cisjordanie, à Jérusalem et dans le Néguev, avec ce que le colonialisme charrie de violences racistes, d’expulsions, d’humiliations et assassinats, le tout sous un régime d’apartheid imposé aux PalestinienNEs.

Depuis toujours, les États impérialistes se distinguent par leur appui sans faille à Israël. Trump propose un “plan pour la paix” à Gaza répondant à la même logique que celui pour l’Ukraine, et les entreprises françaises se distinguent d’ailleurs par le maintien d’activités économiques en Russie comme en Cisjordanie occupée. Outre son soutien diplomatique, la France fournit les moyens du génocide par la livraison de matériel militaire. La fascisation de l’État israélien trouve du répondant en France, ou le gouvernement est particulièrement actif pour réprimer les voix de solidarité avec la Palestine. Ce soutien à Netanyahou n’a rien d’étonnant :  les États impérialistes sont aussi des États coloniaux qui déploient la police, la justice et les médias pour viser les populations raciséEs, en particulier arabo-musulmanes, et celleux qui, en particulier à gauche, luttent à leurs côtés.

De l’Ukraine à la Palestine, l’occupation est un crime !

Porté par des millions de personnes, un mouvement de fond s’est mis en marche et obtient des résultats : la reconnaissance de l’Etat palestinien, si symbolique soit-elle, contribue à renforcer l’isolement d’Israël. Partout, les peuples comprennent l’impérieuse nécessité de se soulever pour la survie du peuple palestinien : par les manifestations massives dans de nombreuses villes et campus du monde entier ; par la grève générale comme en Italie ; par les campagnes de boycott du mouvement BDS ; et bien sûr par la solidarité internationale matérialisée par les flottilles pour Gaza.

Les réactionnaires et les fascistes au pouvoir appliquent leur programme politique contre les peuples du monde entier. C’est en luttant au côté des peuples opprimés que nous pourrons construire la riposte. Quand nous luttons pour les PalestinienNEs, nous luttons pour notre monde. Quand nous exigeons justice et liberté pour la Palestine, c’est contre le racisme et l’oppression coloniale que nous nous dressons. Quand nous crions pour la Palestine, nous crions pour l’autodétermination des peuples, pour une solidarité internationaliste qui va de l’Ukraine à la Kanaky en passant par le Soudan ou le Sahara occidental. Dans cette chaîne immense qu’est l’humanité en lutte, la cause palestinienne nous rappelle depuis 78 ans qu’aucunE de nous n’est vraiment libre tant que tous les peuples ne le sont pas. Free Palestine !

Montreuil, le 25 novembre 2025

19/11/2025

Tract NPA

Contre les violences faites aux femmes, manifestons massivement dans la rue et dans l’unité !

autocollant_feministes.pngLe 25 novembre est la journée internationale de lutte contre les violences envers les femmes et les minorisées de genre. C’est l’occasion de dire dans la rue, haut et fort, que nous ne nous laisserons pas faire et que nous sommes solidaires de toutes celles qui, dans le monde entier, résistent, se dressent contre les gouvernements autoritaires et se battent pour leur liberté et leurs droits ! 

Solidarité avec les femmes du monde entier

Les femmes et les minorisées de genre payent de leur corps le prix fort à l’heure où les guerres impérialistes et les conflits armés s’intensifient. Le viol est massivement utilisé comme arme de guerre au Soudan ou en République démocratique du Congo. Les violences reproductives s’y rajoutent et à Gaza elles participent du génocide, avec la destruction systématique des hôpitaux et maternités. 

Nous sommes solidaires de toutes les femmes et minorisées de genre, privées de liberté et des droits les plus élémentaires, comme en Afghanistan ou en Iran, ou qui subissent les régressions de leurs droits du fait de politiques réactionnaires et de choix budgétaires antisociaux, comme en Italie, en Argentine, en Tunisie ou aux États-Unis. Mais aussi de celles qui sont contraintes à l’exil, dont certaines sous sous le joug des réseaux de traite de prostitution.

S’unir face aux violences

En France, cette année, au 6 novembre, ce sont encore 138 féminicides qui ont été recensés. Chaque année, 153 000 personnes majeures sont victimes de viols et 217 000 d’agressions sexuelles. Toutes victimes d’un système capitaliste patriarcal dont le maintien repose sur un système de domination où la violence est un élément central. Nous continuons de défendre une loi cadre intégrale contre les violences et les moyens qui vont avec.

Alors que la lutte contre les violences faites aux femmes avait été déclarée grande cause nationale en 2017 par Macron, rien n’a réellement été fait. Le budget du gouvernement Lecornu, soutenu par la droite et l’extrême droite, prévoit des coupes massives dans les budgets sociaux comme dans les services publics et s’attaque à la sécurité sociale. Ces mesures vont aggraver la situation des femmes et vont exacerber les inégalités et les rapports de domination.

Cette année encore, l’extrême droite, qui constitue une menace majeure pour les femmes et minorisées de genre, cherche à s'incruster dans les manifestations féministes et instrumentalise la lutte contre les violences sexistes et sexuelles à des fins racistes et fémonationalistes. Rappelons-le haut et fort : les racistes et les transphobes n’ont rien à faire dans nos luttes féministes !

La meilleure réponse est de participer massivement aux mobilisations du 22 et 25 novembre et de travailler à l’unification du mouvement féministe pour la défense de ses revendications propres, des droits des femmes, en solidarité avec toutes les femmes et les minorisées de genre du monde entier ! Toutes dans la rue les 22 et 25 novembre !

Montreuil, le 18 novembre 2025

02/11/2025

Manifestation nationale

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29/10/2025

20 ans après Zyed et Bouna, la police tue toujours plus

20 ans après Zyed et Bouna, la police tue toujours plus

Vingt ans après la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré le 27 octobre 2005 à Clichy-sous-Bois, électrocutés en fuyant un contrôle de police, le bilan est accablant : les forces de répression de l’État sont aujourd’hui encore plus meurtrières. 

Nos pensées vont à la famille et aux proches de Zyed, Bouna et aussi Muhittin. On n’oublie pas, on ne pardonne pas !

Des chiffres effrayants

Depuis 2005, plus de 560 personnes sont mortes à la suite d’une interaction avec la police ou la gendarmerie, selon les recensements de Basta ! et du Bondy Blog parus ces derniers jours. Parmi elles, 162 ont péri lors de simples contrôles. En vingt ans, le nombre de décès annuels a plus que triplé : une dizaine dans les années 2000, plus de 65 en 2024.

La loi de 2017, votée sous Hollande, a ouvert un véritable permis de tuer : les tirs sur véhicules en fuite ont été multipliés par cinq. Loin de limiter les drames, cette politique sécuritaire les a institutionnalisés. En 2022 et 2024, les tirs mortels atteignent des niveaux inédits, et la France est désormais le pays européen où l’on meurt le plus des mains de la police.

Une violence raciste et capitaliste

Le profil des victimes reste constant : jeunes hommes non blancs, issus des classes populaires et des quartiers populaires. Ils meurent pour un feu rouge, un défaut de casque, un refus d’obtempérer, une crise de détresse psychique. La BAC et les brigades motorisées sont en première ligne.

Cette violence n’est pas un dérapage : elle est structurelle, inscrite dans une police façonnée par la gestion coloniale des populations racisées, par la défense d’un ordre social inégalitaire, par la répression des mouvements sociaux et écologistes. L’impunité judiciaire en est le bras armé : aucun des policiers responsables de la mort de Zyed et Bouna n’a été condamné. Vingt ans plus tard, rien n’a changé.

Affaiblir, désarmer, démanteler la police

Lorsqu’on parle de la police, on a l’impression qu’elle a toujours existé et que l’humanité a impérativement besoin des policiers : sans elle, le monde ne serait que chaos, « anarchie », et la plupart des personnes ne seraient pas protégées. Mais la police protège la propriété privée, pas la vie ; elle étouffe la contestation, elle ne combat pas la violence sociale. Face à cette institution structurée par le racisme, le virilisme et le corporatisme, l’abolition de la police et du système pénal répressif doit être notre horizon politique.

En nous appuyant sur les acquis des mouvements abolitionnistes, nous proposons l’affaiblissement et le désarmement de la police. Contre l’ordre policier et raciste, nous voulons :

    • l’abrogation des lois sécuritaires, en priorité la loi Cazeneuve sur le refus d’obtempérer ;

    • la fin des contrôles d’identité racistes / au faciès et de la « politique du chiffre » ;

    • le désarmement de la police au contact de la population ;

    • la dissolution de la BAC et de tous les corps spéciaux de répression (CI, CSI, BRAV-M) ;

    • l’interdiction du LBD ;

    • l’interdiction de l’utilisation d’armes de guerre pour le maintien de l’ordre (grenades de désencerclement, GM2L) ;

    • la réforme de l’IGPN et la fin de l’impunité policière ;

    • la réforme du recrutement et de la formation des policier·es ;

    • l’abrogation des lois racistes et islamophobes.

 

Montreuil, le 28 octobre 2025

 

CASTETS - RUFFIN - BESANCENOT: LA GRANDE CONVOCATION PUBLIQUE

A écouter sans modération ici.
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27/10/2025

Souscription : après l'achat, les travaux. Ouvrons un nouveau lieu au service des luttes !

souscription_2025_marx_fond_0.pngAvec un résultat de 500 000 euros, le NPA a réalisé en 2024 sa meilleure campagne de dons depuis sa fondation en 2009. Grâce à votre soutien, le NPA sera dans quelques semaines propriétaire du bâtiment dans lequel son imprimerie Rotographie s’est installée en 1976 avec une partie des activités de son ancêtre, la LCR (Ligue communiste révolutionnaire), notamment la rédaction de son journal Rouge.

Cette acquisition est un moment fort dans l’histoire de notre courant, un trait d’union entre le passé et le futur. Elle s’inscrit dans un vieux projet : la création d’un local unique, multifonctions et ouvert sur l’extérieur. Elle a déjà permis de rassembler en un seul lieu des bureaux pour le parti et la Quatrième Internationale, des salles de réunion, l’imprimerie Rotographie, la rédaction de notre hebdomadaire l’Anticapitaliste, un studio et des archives.

Un nouveau lieu au service des luttes

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08/10/2025

Les peuple contre le génocide palestinien!

Les peuples se lèvent pour stopper le génocide du peuple palestinien !

Deux millions d’Italiens et d’Italiennes en grève et dans la rue pour exiger de réelles sanctions contre l'État génocidaire israélien ! Ce vendredi 5 octobre, l’Italie a montré aux peuples européens qu’il était possible de construire une vraie mobilisation de solidarité internationaliste, en mettant pour la première fois en difficulté le gouvernement Meloni.

Les États occidentaux sont complices des crimes de Netanyahou

Depuis deux ans, aucune mesure sérieuse n’a été prise contre les crimes du gouvernement israélien. La Cour pénale internationale a lancé en novembre 2024 un mandat d’arrêt contre Netanyahou pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, mais les gouvernements occidentaux refusent de le mettre en application. C’est le cas de la France, qui par quatre fois a laissé Netanyahou survoler le territoire français.

Les enfants palestiniens n’ont que faire des grandes déclarations à l’ONU. Ils ont besoin que des sanctions concrètes soient prises contre Israël. À quoi sert-il que Macron reconnaisse un « État de Palestine », s’il continue de vendre des armes à Israël ? Rendu public il y a un mois par Mediapart, le rapport 2025 du ministre des Armées Lecornu explique que les exportations françaises d’armes vers Israël sont en plein boom, avec un total de 27,1 millions de commandes militaires en 2024.

Les peuples se soulèvent contre le génocide !

Depuis cet été, le mouvement international contre le génocide a pris une nouvelle ampleur. Outre l’Italie, où les journées massives de mobilisation se succèdent, l'État espagnol connaît une mobilisation de masse, qui a contraint les organisateurs de la Vuelta à arrêter en septembre le Tour d’Espagne, avant que le gouvernement espagnol n’annonce que l’équipe « Israël-Premier Tech » ne serait plus autorisée à participer à une course cycliste sur son sol. En Espagne, comme en Italie, aux Pays-Bas et en Angleterre, de nouvelles manifestations de masse ont eu lieu samedi 5 octobre.

Le mouvement de solidarité a trouvé son expression la plus forte dans les flottilles pour Gaza. Netanyahou en a profité pour fouler une nouvelle fois aux pieds le droit international : les bateaux ont été attaqués dans les eaux internationales et les militantEs arrêtéEs en toute illégalité. Sous la pression de leurs populations, de nombreux gouvernements européens ont dénoncé ces actes de piraterie… pendant que le gouvernement français se limitait à déconseiller à ses ressortissantEs de participer aux flottilles. Plus grave encore, Macron a fait interdire des rassemblements de soutien à la flottille et sa police les a parfois violemment dispersés, comme cela a été le cas à Toulouse. Cette complicité du gouvernement français est insupportable, mais l’Italie et l’Espagne nous montrent le chemin : nos luttes peuvent contraindre notre gouvernement à changer de position !

Stop au génocide ! Free Palestine !

Montreuil, le 7 octobre 2025

 

02/10/2025

Protégeons la flottille!

GAP, ce jeudi 2 octobre 18h30

Israël continue à tenter d’arrêter la flottille par des actions de guerre. Il est temps d'arrêter l'État israélien.

La flottille pour Gaza a subi cette nuit une nouvelle attaque de la part de l’armée israélienne : un navire a bloqué le bateau l’Alma, obligeant le capitaine à effectuer des manœuvres pour éviter une collision. Il a ensuite effectué la même opération sur le Sirius. 

Les États occidentaux prétendent défendre le droit international et l'imposer par leurs opérations militaires extérieures, qu'ils soient au moins à la hauteur de leurs propres règlements. 

La convention de Genève oblige les États à agir pour que l’aide humanitaire soit délivrée en cas d’approvisionnement insuffisant. Or, c'est bien ce que cherchent à faire les différents bateaux de la flottille pour Gaza, alors que la famine y sévit depuis plusieurs mois. À quoi bon reconnaître l’État de Palestine si c’est pour laisser mourir son peuple ? Manifestons, agissons, revendiquons, appelons les ambassades et nos député·es pour exercer une pression : exigeons de nos gouvernements qu'ils aident la flottille à atteindre son but mais surtout, sans concession, appelons-en à la résistance des peuples, à l’internationalisme face aux impérialismes    

La journée de grève et de manifestation pour la flottille du 22 septembre en Italie, à l’appel des dockers de Gènes, a été un succès. Ils et elles appellent à généraliser cette mobilisation dans toute l’Europe et le monde si la flottille est attaquée. 

En France aussi, manifestons partout et construisons la grève en cas d’attaque !

La Flottille doit pouvoir arriver jusqu’à Gaza !

Le NPA-A appelle à rejoindre tous les rassemblements de ce soir à 18h30, qui auront lieu en cas d’attaque de la flottille, sur les principales places de villes et villages et Place de la République à Paris.