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29/10/2025

20 ans après Zyed et Bouna, la police tue toujours plus

20 ans après Zyed et Bouna, la police tue toujours plus

Vingt ans après la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré le 27 octobre 2005 à Clichy-sous-Bois, électrocutés en fuyant un contrôle de police, le bilan est accablant : les forces de répression de l’État sont aujourd’hui encore plus meurtrières. 

Nos pensées vont à la famille et aux proches de Zyed, Bouna et aussi Muhittin. On n’oublie pas, on ne pardonne pas !

Des chiffres effrayants

Depuis 2005, plus de 560 personnes sont mortes à la suite d’une interaction avec la police ou la gendarmerie, selon les recensements de Basta ! et du Bondy Blog parus ces derniers jours. Parmi elles, 162 ont péri lors de simples contrôles. En vingt ans, le nombre de décès annuels a plus que triplé : une dizaine dans les années 2000, plus de 65 en 2024.

La loi de 2017, votée sous Hollande, a ouvert un véritable permis de tuer : les tirs sur véhicules en fuite ont été multipliés par cinq. Loin de limiter les drames, cette politique sécuritaire les a institutionnalisés. En 2022 et 2024, les tirs mortels atteignent des niveaux inédits, et la France est désormais le pays européen où l’on meurt le plus des mains de la police.

Une violence raciste et capitaliste

Le profil des victimes reste constant : jeunes hommes non blancs, issus des classes populaires et des quartiers populaires. Ils meurent pour un feu rouge, un défaut de casque, un refus d’obtempérer, une crise de détresse psychique. La BAC et les brigades motorisées sont en première ligne.

Cette violence n’est pas un dérapage : elle est structurelle, inscrite dans une police façonnée par la gestion coloniale des populations racisées, par la défense d’un ordre social inégalitaire, par la répression des mouvements sociaux et écologistes. L’impunité judiciaire en est le bras armé : aucun des policiers responsables de la mort de Zyed et Bouna n’a été condamné. Vingt ans plus tard, rien n’a changé.

Affaiblir, désarmer, démanteler la police

Lorsqu’on parle de la police, on a l’impression qu’elle a toujours existé et que l’humanité a impérativement besoin des policiers : sans elle, le monde ne serait que chaos, « anarchie », et la plupart des personnes ne seraient pas protégées. Mais la police protège la propriété privée, pas la vie ; elle étouffe la contestation, elle ne combat pas la violence sociale. Face à cette institution structurée par le racisme, le virilisme et le corporatisme, l’abolition de la police et du système pénal répressif doit être notre horizon politique.

En nous appuyant sur les acquis des mouvements abolitionnistes, nous proposons l’affaiblissement et le désarmement de la police. Contre l’ordre policier et raciste, nous voulons :

    • l’abrogation des lois sécuritaires, en priorité la loi Cazeneuve sur le refus d’obtempérer ;

    • la fin des contrôles d’identité racistes / au faciès et de la « politique du chiffre » ;

    • le désarmement de la police au contact de la population ;

    • la dissolution de la BAC et de tous les corps spéciaux de répression (CI, CSI, BRAV-M) ;

    • l’interdiction du LBD ;

    • l’interdiction de l’utilisation d’armes de guerre pour le maintien de l’ordre (grenades de désencerclement, GM2L) ;

    • la réforme de l’IGPN et la fin de l’impunité policière ;

    • la réforme du recrutement et de la formation des policier·es ;

    • l’abrogation des lois racistes et islamophobes.

 

Montreuil, le 28 octobre 2025

 

CASTETS - RUFFIN - BESANCENOT: LA GRANDE CONVOCATION PUBLIQUE

A écouter sans modération ici.
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27/10/2025

Souscription : après l'achat, les travaux. Ouvrons un nouveau lieu au service des luttes !

souscription_2025_marx_fond_0.pngAvec un résultat de 500 000 euros, le NPA a réalisé en 2024 sa meilleure campagne de dons depuis sa fondation en 2009. Grâce à votre soutien, le NPA sera dans quelques semaines propriétaire du bâtiment dans lequel son imprimerie Rotographie s’est installée en 1976 avec une partie des activités de son ancêtre, la LCR (Ligue communiste révolutionnaire), notamment la rédaction de son journal Rouge.

Cette acquisition est un moment fort dans l’histoire de notre courant, un trait d’union entre le passé et le futur. Elle s’inscrit dans un vieux projet : la création d’un local unique, multifonctions et ouvert sur l’extérieur. Elle a déjà permis de rassembler en un seul lieu des bureaux pour le parti et la Quatrième Internationale, des salles de réunion, l’imprimerie Rotographie, la rédaction de notre hebdomadaire l’Anticapitaliste, un studio et des archives.

Un nouveau lieu au service des luttes

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08/10/2025

Les peuple contre le génocide palestinien!

Les peuples se lèvent pour stopper le génocide du peuple palestinien !

Deux millions d’Italiens et d’Italiennes en grève et dans la rue pour exiger de réelles sanctions contre l'État génocidaire israélien ! Ce vendredi 5 octobre, l’Italie a montré aux peuples européens qu’il était possible de construire une vraie mobilisation de solidarité internationaliste, en mettant pour la première fois en difficulté le gouvernement Meloni.

Les États occidentaux sont complices des crimes de Netanyahou

Depuis deux ans, aucune mesure sérieuse n’a été prise contre les crimes du gouvernement israélien. La Cour pénale internationale a lancé en novembre 2024 un mandat d’arrêt contre Netanyahou pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, mais les gouvernements occidentaux refusent de le mettre en application. C’est le cas de la France, qui par quatre fois a laissé Netanyahou survoler le territoire français.

Les enfants palestiniens n’ont que faire des grandes déclarations à l’ONU. Ils ont besoin que des sanctions concrètes soient prises contre Israël. À quoi sert-il que Macron reconnaisse un « État de Palestine », s’il continue de vendre des armes à Israël ? Rendu public il y a un mois par Mediapart, le rapport 2025 du ministre des Armées Lecornu explique que les exportations françaises d’armes vers Israël sont en plein boom, avec un total de 27,1 millions de commandes militaires en 2024.

Les peuples se soulèvent contre le génocide !

Depuis cet été, le mouvement international contre le génocide a pris une nouvelle ampleur. Outre l’Italie, où les journées massives de mobilisation se succèdent, l'État espagnol connaît une mobilisation de masse, qui a contraint les organisateurs de la Vuelta à arrêter en septembre le Tour d’Espagne, avant que le gouvernement espagnol n’annonce que l’équipe « Israël-Premier Tech » ne serait plus autorisée à participer à une course cycliste sur son sol. En Espagne, comme en Italie, aux Pays-Bas et en Angleterre, de nouvelles manifestations de masse ont eu lieu samedi 5 octobre.

Le mouvement de solidarité a trouvé son expression la plus forte dans les flottilles pour Gaza. Netanyahou en a profité pour fouler une nouvelle fois aux pieds le droit international : les bateaux ont été attaqués dans les eaux internationales et les militantEs arrêtéEs en toute illégalité. Sous la pression de leurs populations, de nombreux gouvernements européens ont dénoncé ces actes de piraterie… pendant que le gouvernement français se limitait à déconseiller à ses ressortissantEs de participer aux flottilles. Plus grave encore, Macron a fait interdire des rassemblements de soutien à la flottille et sa police les a parfois violemment dispersés, comme cela a été le cas à Toulouse. Cette complicité du gouvernement français est insupportable, mais l’Italie et l’Espagne nous montrent le chemin : nos luttes peuvent contraindre notre gouvernement à changer de position !

Stop au génocide ! Free Palestine !

Montreuil, le 7 octobre 2025

 

02/10/2025

Protégeons la flottille!

GAP, ce jeudi 2 octobre 18h30

Israël continue à tenter d’arrêter la flottille par des actions de guerre. Il est temps d'arrêter l'État israélien.

La flottille pour Gaza a subi cette nuit une nouvelle attaque de la part de l’armée israélienne : un navire a bloqué le bateau l’Alma, obligeant le capitaine à effectuer des manœuvres pour éviter une collision. Il a ensuite effectué la même opération sur le Sirius. 

Les États occidentaux prétendent défendre le droit international et l'imposer par leurs opérations militaires extérieures, qu'ils soient au moins à la hauteur de leurs propres règlements. 

La convention de Genève oblige les États à agir pour que l’aide humanitaire soit délivrée en cas d’approvisionnement insuffisant. Or, c'est bien ce que cherchent à faire les différents bateaux de la flottille pour Gaza, alors que la famine y sévit depuis plusieurs mois. À quoi bon reconnaître l’État de Palestine si c’est pour laisser mourir son peuple ? Manifestons, agissons, revendiquons, appelons les ambassades et nos député·es pour exercer une pression : exigeons de nos gouvernements qu'ils aident la flottille à atteindre son but mais surtout, sans concession, appelons-en à la résistance des peuples, à l’internationalisme face aux impérialismes    

La journée de grève et de manifestation pour la flottille du 22 septembre en Italie, à l’appel des dockers de Gènes, a été un succès. Ils et elles appellent à généraliser cette mobilisation dans toute l’Europe et le monde si la flottille est attaquée. 

En France aussi, manifestons partout et construisons la grève en cas d’attaque !

La Flottille doit pouvoir arriver jusqu’à Gaza !

Le NPA-A appelle à rejoindre tous les rassemblements de ce soir à 18h30, qui auront lieu en cas d’attaque de la flottille, sur les principales places de villes et villages et Place de la République à Paris.

01/10/2025

Toutes et tous dans la rue, le 2 octobre

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Le 2 octobre et après : construire l'affrontement contre Macron et Lecornu !

Le 2 octobre et après : construire l'affrontement contre Macron et Lecornu !

Cette semaine nous avons appris la condamnation de Sarkozy à cinq ans de prison pour association de malfaiteurs dans l’affaire du financement lybien de sa campagne présidentielle de 2007. Mais Sarkozy n’est qu’un exemple parmi d’autres d’une classe politique corrompue, au service des plus riches, tellement insouciante qu’elle se croit intouchable.

Le 2 octobre, la mobilisation continue !

Sans surprise, le rendez-vous entre les syndicats et le Premier ministre n’a rien donné. Il y a donc une nouvelle journée de grève et de manifestation ce jeudi 2 octobre. 

Après la mobilisation du 10 septembre, la grève interprofessionnelle du 18 et la journée de la jeunesse le 25, il faut amplifier le mouvement et préparer d’ores et déjà les suites. La période est propice à un grand mouvement de masse qui s’inscrive dans la durée : d’une part la crise économique et sociale est grave pour notre classe, d’autre part le pouvoir est faible et sans projet. L’heure est à la grève et la mobilisation pour offrir à ce gouvernement de riches et de réacs la seule issue qu’il leur reste : la porte.

Des revendications pour le monde du travail et les classes populaires !

L’enjeu est global : stopper la politique austéritaire et guerrière de Macron pour imposer d’autres choix qui répondent à l’urgence sociale et écologique ! Si les riches ne prennent pas les transports en commun, se soignent dans les cliniques privées et fuient l’école publique, nous, nous avons besoin d’un système de santé, d’écoles, de transports et de logements de qualité. Nous avons besoin d’un budget à la hauteur de nos besoins pour les services publics.

Pour pouvoir vivre décemment, il y a urgence à augmenter les salaires et les minimas sociaux, bloquer les loyers et les prix des produits de première nécessité.

Assez de nous épuiser au travail alors que des millions de salarié-es subissent le chômage. Réduire le temps de travail hebdomadaire, sans perte de salaire, interdire les licenciements et revenir à la retraite à 60 ans, c’est nécessaire, urgent et possible.

En grève le 2 octobre et après on continue !

Plus de 211 milliards d’euros d’aides aux entreprises, 100 milliards versés aux actionnaires des entreprises du CAC 40, sans parler des dizaines de milliards de fraude fiscale… de l’argent il y en a (et beaucoup), mais il va toujours dans les mêmes poches, alors que la pauvreté ne cesse d’augmenter. Il faut annuler la dette, supprimer les subventions aux grandes entreprises, exproprier les banques et arrêter la course à l'armement (​​413 milliards pour la période 2024-2030). Ce n’est pas à nous de payer l’addition !

Reprenons confiance en nos forces pour la suite. Construisons partout où c’est possible des AG et discutons collectivement, dans nos lieux d’études ou de travail, de nos revendications. Posons la question de la grève un jour, deux jours… et mobilisons toutes nos forces. Pour vraiment tout bloquer, le calendrier doit s'accélérer et aller vers la grève reconductible. C’est la clé de la réussite ! D’ores et déjà le 9 octobre, une mobilisation est prévue pour défendre la Sécurité Sociale.

Montreuil, le 30 septembre 2025

 

12/09/2025

communique NPA + manif gap Brianon le 18 sept 10H

Contre Macron et son monde, la contre-attaque est lancée !

Les manœuvres de Macron et Bayrou n'auront pas réussi à contenir la colère et la mobilisation: de 5h du matin jusqu'à la fin de la journée, nous n'avons pas lâché la rue.

La main tendue au RN par la nomination de Sébastien Lecornu, ministre depuis 2017, homophobe assumé et très proche de Macron a sonné comme une provocation. 250 000 personnes ont défilé hier, plus de 2 fois plus que ce que le gouvernement avait prévu. Des actions de blocage dès tôt le matin et des manifs énormes ont paralysé les centre-ville. 80 000 flics n’auront pas suffit à canaliser la détermination des personnes mobilisées sur des actions de blocages, des rassemblements, des piquets de grève et des manifestations, dans une ambiance festive et combative.

Partout, les chiffres de mobilisation ont été massifs, portés par un mouvement qui reste à construire et à renforcer sur la durée. La mobilisation massive de la jeunesse, des dizaines de milliers de grévistes dans la fonction publique et le privé malgré l’absence d’appel de l’intersyndicale, plus de 800 actions ou rassemblements : cette journée montre la voie. C'est une démonstration de force qui doit nous donner confiance pour la suite !

La créativité des actions de blocage ont su en partie déjouer le dispositif totalement démesuré prévu par Retailleau, même si la répression a été brutale.

L'enjeu des jours qui viennent sera de construire la grève active et la mobilisation depuis la base, dans des assemblées locales de quartiers, de facs, de boites qui prendront en charge collectivement les aspects essentiels de la mobilisation afin de permettre la participation de toutes et tous à ce mouvement !

Nous avons la possibilité de construire un vaste mouvement de grève qui mette le pays à l'arrêt, impose un rapport de force et puisse en finir avec Macron et les institutions de la Vème République en renforçant notre auto-organisation dans nos quartiers, nos lieux d'études et de travail, converger nos forces et porter des revendications.

Le NPA-l'Anticapitaliste dénonce la répression brutale menée par ce pouvoir illégitime et se tient au côté des manifestant·es, agressé·es et blessé-es par la police. Nous exigeons l'abandon de toutes les poursuites judiciaires contre les personnes arrêté·es.

Le NPA-l’Anticapitaliste contribuera par tous les moyens à construire dès aujourd’hui les manifestations qui se dérouleront ce samedi dans de nombreuses villes,et la journée de grève du 18 septembre et ses suites, à travers toutes formes de mobilisation, dans nos quartiers, nos lieux d’études et de travail.

Ne lâchons pas la rue: grèves, blocages, Macron et la Vème dégage !

Montreuil, le 11 septembre 2025

Manif du 18 sept à Gap et Briancon

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04/09/2025

Gap Pot de départ de Bayrou et on Budget

Visuel du NPA avec l'horaire pour Gap

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02/09/2025

Tract hebdo

Le 10 septembre, reprenons la rue et dégageons Macron !

Au lieu de tomber sous la pression de la rue, Bayrou a préféré choisir sa fin en soumettant son sort aux institutions plutôt qu’à la volonté des travailleuses et des travailleurs mobilisé.es. Son projet était clair : limiter la durée du premier arrêt maladie à 15 jours, geler la paye des agents publics et gaver l’industrie de l’armement avec des milliards tout en continuant à imposer un ordre raciste... Maintenant il veut partir avant de devoir sauter, en essayant d'étouffer au passage un mouvement spontané contre sa politique de classe. S’il veut partir le 8, qu’il parte mais qu’il ne parte pas seul ! C’est nous qui travaillons alors c’est nous qui décidons : le 10 septembre on reprend la rue et on dégage Macron !

Une contre-attaque populaire face à la violence des classes dominantes

Partout en France des assemblées populaires se tiennent depuis le début de l’été pour préparer la date du 10 septembre. Des réunions avec des personnes d’horizons divers : des militant.e.s politiques, syndicalistes, associatif.ve.s et des gens qui n’ont jamais milité. Toutes et tous ont en commun la volonté de s’organiser ensemble, pour tout bloquer et en finir avec les politiques qui n’ont pour but que de nous exploiter et de nous opprimer.

Des centaines de personnes à Paris, Lyon, Bordeaux, Grenoble ou Lille, mais aussi des assemblées de plusieurs dizaines de personnes dans des zones rurales. Partout des actions de blocage ont été décidées. Les discussions font aussi ressortir une volonté d’accueillir plus largement dans le mouvement, de refuser les discours racistes et d’y organiser des moments festifs qui permettent de rassembler.

Un mouvement à construire dans la durée

Mais si nous voulons faire plier Macron et avancer vers un monde débarrassé de l’exploitation et des oppressions, nous ne pouvons pas nous arrêter à une seule date. Les patrons ne s’inclineront que si nous leur faisons face dans la durée, par la grève massive et la mobilisation générale sous toutes ses formes. Les préavis de grève déposés par plusieurs syndicats et secteurs pour le 10 sont un point d’appui important dont nous pouvons nous servir.

De son côté l'intersyndicale (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, FSU, Solidaires) s’est reconstituée et appelle à la grève pour le 18 septembre. Les deux dates, loin de s’opposer, peuvent au contraire donner une perspective pour poursuivre et construire le mouvement après le vote du 8 à l’Assemblée et la journée de blocage du 10 !

C’est le moment d’y aller !

Face à l’accélération de la crise politique, c’est le moment d’y aller, toutes et tous ensemble, travailleuses et travailleurs du public et du privé, chômeurs, jeunes et retraités !

Après Bayrou, il faut faire tomber Macron ! Mais même ça, ne serait qu’un début. Le NPA défend la nécessité d’en finir avec la 5e République et d’en appeler à une Assemblée constituante. La base en serait les collectifs d’auto-organisation, ou toutes autres formes démocratiques qui vont émerger de la mobilisation. C’est pourquoi le NPA sera de toutes les luttes de ce mois de septembre. Le 10 n’est qu’un début : dans nos entreprises, nos lieux d’études, nos quartiers, reprenons la rue et construisons la lutte !