Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

09/10/2017

10 octobre: Public, privé, jeunes scolarisés, c’est toutes et tous ensemble qu’on peut gagner

Toutes et tous ensemble

logo npa rouge .jpgCombattre la politique de Macron et « son monde »

Ce mardi 10 octobre, l’ensemble des syndicats de la fonction publique et diverses autres organisations –de la SNCF, la chimie, des rassemblement unitaires départementaux – appellent à la mobilisation.

La politique de Macron contre les fonctionnaires aggrave les attaques du gouvernement Hollande : gel du point d’indice, rétablissement du jour de carence, suppressions de 120 000 postes de fonctionnaires, coupes budgétaires… A l’hôpital, dans les écoles, dans les mairies, dans toute la fonction publique, le choix est fait de sacrifier les fonctionnaires et les services rendus à la population pour donner aux riches et aux grands groupes capitalistes.

Macron : une politique cohérente… au service des capitalistes

Macron, le président des riches, est en mission commandée pour satisfaire une petite minorité, celle des patrons du CAC 40, des gros industriels, des groupes financiers… Sa politique suit une logique implacable : casser les acquis sociaux, le code du travail, nous livrer à l’arbitraire patronal pour relancer la machine à profits sur le dos des salariés. 

Pour nourrir les appétits des capitalistes, le gouvernement a décidé de supprimer l’ISF, baisser les APL


Toutes et tous ensemble

logo npa rouge .jpgCombattre la politique de Macron et « son monde »

Ce mardi 10 octobre, l’ensemble des syndicats de la fonction publique et diverses autres organisations –de la SNCF, la chimie, des rassemblement unitaires départementaux – appellent à la mobilisation.

La politique de Macron contre les fonctionnaires aggrave les attaques du gouvernement Hollande : gel du point d’indice, rétablissement du jour de carence, suppressions de 120 000 postes de fonctionnaires, coupes budgétaires… A l’hôpital, dans les écoles, dans les mairies, dans toute la fonction publique, le choix est fait de sacrifier les fonctionnaires et les services rendus à la population pour donner aux riches et aux grands groupes capitalistes.

Macron : une politique cohérente… au service des capitalistes

Macron, le président des riches, est en mission commandée pour satisfaire une petite minorité, celle des patrons du CAC 40, des gros industriels, des groupes financiers… Sa politique suit une logique implacable : casser les acquis sociaux, le code du travail, nous livrer à l’arbitraire patronal pour relancer la machine à profits sur le dos des salariés. 

Pour nourrir les appétits des capitalistes, le gouvernement a décidé de supprimer l’ISF, baisser les APL, diminuer le salaire brut (les cotisations qui permettent de financer la sécu, le chômage ou les retraites). Les attaques contre la fonction publique s’inscrivent dans cette logique. Il devient insupportable pour les possédants que certains secteurs échappent à la loi du marché. Ils veulent liquider la fonction publique et les services qu’elle rend à la population !

Public, privé, jeunes scolarisés, c’est toutes et tous ensemble qu’on peut gagner

Le camp d’en face est uni et homogène dans l’offensive qu’il mène contre nous. Nous ne pourrons pas gagner si nous nous battons en ordre dispersé. La lutte contre les ordonnances, pour la défense du service public ou contre la sélection à l’entrée de l’Université doit être un seul et même combat.

Nous avons besoin d’un mouvement d’ensemble, d’une grève générale, qui permette d’inverser le rapport de force. Ce n’est pas le « dialogue social », qui vise à négocier sans rapport de force, mais un mouvement de grève prolongé, reconductible, qui arrête la machine en occupant les lieux de travail, les entreprises et les services !  

Contre le chômage et pour nos droits, pour une rupture avec le capitalisme

Nous n’avons plus rien à attendre de ce système qui sans cesse génère oppressions et exploitation, tente de nous prendre le peu de droits que nous avons. Cela se saurait si le chômage pouvait être combattu par leurs recettes libérales. Depuis 30 ans qu’ils essayent, jamais le chômage n’a été aussi élevé !

Il faut rompre avec ce système capitaliste. Face au chômage, il faut partager le temps de travail ! Face à la chute du pouvoir d’achat, il faut augmenter tous les salaires de 300 euros et lier leur évolution à celle du coût de la vie. Face aux fermetures d’usines, nous devons socialiser les principaux secteurs de l’économie, étendre et non réduire les « services publics », placer l’économie sous le contrôle des salariéEs et de la population. Ainsi, la majorité déciderait de ce qu’on produit, pour quoi et pour qui on le produit, dans le respect des êtres humains et de l’environnement.

 

Les commentaires sont fermés.