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17/11/2009

convergence des luttes

 

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LE 24 NOVEMBRE : TOUS ET TOUTES DANS LA RUE

 

Nous savons tous que nous devons faire front tous ensemble dans tous les secteurs et toutes les catégories.

Chaque semaine, des milliers d'entre nous sont licenciés ou subissent la précarité. Les conditions de travail régressent. Pour une majorité de la population, les salaires ne permettent pas de vivre décemment.

Les services publics qui se dégradent sont bradés au privé et la survie de la planète est menacée par la soif des profits. Dans l'Education Nationale, 11500 suppressions de postes ont eu lieu en 2009 et 16000 sont programmés pour 2010, dans le cadre d’un « budget de rigueur ».

Il n'y a aucune raison d'accepter cette injustice dans une société qui regorge de richesses mais les réserve aux plus riches, aux actionnaires, aux banquiers et aux patrons. Pour eux, la Bourse reprend son essor : les bonus, les dividendes et les profits s'envolent. Et les aides de l'État finissent dans leurs poches…

 

Pour ne pas payer la crise du capitalisme, faisons front commun

 

Nous avons été plusieurs millions dans la rue ce printemps pour dire haut et fort que nous ne voulons pas payer la crise. Nous avons encore été deux millions d'usagers cet automne à refuser la privatisation de la Poste lors de la votation citoyenne du 3 octobre. Et, tous les jours, nous sommes des milliers et des milliers à nous battre pour de multiples raisons.

Le 24 novembre, soyons nombreux à refuser la casse du service public d'Education. Ce jour-là, ce sont aussi les salariés de la Poste qui feront grève et descendront dans la rue. Le 28 novembre, les postiers et les usagers seront à nouveau appelés à manifester dans toute la France. Le 29 novembre, nous serons aux côtés des travailleurs sans papiers en lutte aujourd'hui pour obtenir leur régularisation et plus généralement celle de toutes et tous les sans-papiers. Et le 8 décembre, ce sont les cheminots qui descendront dans la rue pour exiger le maintien d'un véritable service public de transport.

 

La réussite de ces grèves et de ces manifestations pourrait être un tremplin vers une mobilisation d'ensemble pour riposter à la politique de régression sociale du gouvernement et du patronat.

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