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26/12/2009

NON AU LICENCIEMENT A GrDF

gdf_greve_faim0043.JPGSigner la pétition : http://lapetition.be/en-ligne/petition-5847.html

 

Jeudi 24 décembre, à 11h30, plus de 150 personnes se rassemblent, rue Pétrelle à Paris, pour apporter leur soutien aux trois syndicalistes de SUD-Energie en grève de la faim depuis onze jours (pour d’eux d’entre-eux) afin d’obtenir la réintégration d’un de leurs camarades.

Au onzième jour de grève de la faim, les mines sont plus pâlottes et les traits plus creusés, mais le moral est au rendez-vous. Particulièrement ce jeudi 24 décembre au matin, où plus de 150 personnes viennent témoigner de leur solidarité aux trois grévistes de la faim, devant l’établissement GRDF de la rue Pétrelle (Paris 9e). Yann Cochin, Pascal Chemin et René-Michel Millambourg réclament toujours la réintégration de Nordine Mahroug, licencié le 15 décembre pour «fait de grève», et la levée de toutes les sanctions à l’encontre des acteurs du mouvement social du printemps dernier à ERDF-GRDF...

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22/12/2009

Répression syndicale à GrDF

Huitième jour de grève de la faim à GRDF rue Pétrelle

IMG_6165-bb44c.jpg

Les trois responsables du syndicat SUD-Energie ont décidé de poursuivre leur grève de la faim, lundi 21 décembre, dans les locaux GRDF de la rue Pétrelle (Paris 9e). Deux d’entre-eux ne se sont pas alimentés depuis huit jours. La direction refuse toujours de réintégrer Nordine Mahroug.

Le bras de fer continue, rue Pétrelle (Paris 9e). Une réunion entre le syndicat SUD-Energie et la direction de l’établissement GRDF a abouti à un échec, lundi 21 décembre. SUD réclame la réintégration de Nordine Mahroug, renvoyé le 15 décembre, mais la direction se limite toujours à des mesures d’accompagnement du licenciement. Avec douze ans d’ancienneté, ce père de deux enfants...

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21/12/2009

Bibliotheque de l'Ecologie : appel pour un coup de main

avant-le-rangement.jpgAPPEL À DES BRAS FORTS

 

Gap, le 20 décembre 2009

 

J'ai une bonne nouvelle à vous annoncer : la Bibliothèque de l'Écologie, qui doit déménager impérativement avant le 26 décembre (date-butoir), a enfin trouvé un lieu de stockage temporaire et gratuit pour ses quelques 1500 cartons et son mobilier dans un hangar métallique à Crest (Drôme) 1.

Nous ne pourrons y arriver que si nous sommes aidés par de nombreux bras forts pour la palettisation, c'est-à-dire le remplissage de palettes avec 24 cartons à bananes (la mise en cartons est quasiment terminée) et le transport des meubles vers les camions. D'où ce nouvel appel à votre aide au moins de ce lundi 21 décembre au jeudi 24 décembre. C'est la dernière manche !

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20/12/2009

DROIT À L'AVORTEMENT

ivg4af448.jpgActualité des luttes pour le droit à l’avortement


En janvier 2005 ont été fêtés les 30 ans de la loi Veil autorisant la pratique de l'avortement en France. La pratique semble maintenant entrée dans les moeurs et on pourrait penser qu'avorter n'est plus qu'une question de volonté. D'ailleurs, la loi de 2001 sur l'avortement a permis des progrès légaux (suppression de l'autorisation parentale pour les mineures, allongement du délai légal de 12 à 14 semaines d'aménorrhée (absence de règles)). Pourtant, aujourd'hui, la réalité est tout autre et avorter est un véritable parcours de la combattante. Résultat c'est encore entre 3000 et 5000 femmes chaque année qui avortent à l'étranger.

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16/12/2009

MOBILISATION : le décret EDVIGE a ressuscité!

IMG00191.jpgLe collectif « NON à Edvige 05 » c'est de nouveau reuni

car Edvige2.0 le retour est parmi nous. Nous avons pu

faire un état des lieux d'un grand nombre de fichier mis

en place pour du flicage, de la stigmatisation de certaines

franges de la population, ...

     Une campagne de signatures sur le terrain a été 
décidé. SI l'on peut signer directement sur le net
via le lien ci-dessous, on pourra également le faire
le samedi 9 janvier sur le marché de Gap à partir
de 10h. C'est bien parce que les libertés individuelles sont menacées qu'ils nous
faut nous mobiliser.

http://nonaedvige.sgdg.org/

Datés du 16 octobre, jour de la sainte Edwige, et publiés le 18 octobre, deux décrets ressuscitent le décret créant EDVIGE, pourtant retiré le 20 novembre 2008, après une mobilisation de près de 250 000 citoyens et 1300 organisations.

Il est indéniable que cette mobilisation n'a pas été totalement ignorée, qu'il s'agisse de l'abandon nécessaire d'une mesure phare, celle qui consistait à ficher la vie sexuelle et l'état de santé, considérées comme des données sensibles au sens de l'article 8 de la loi du 6 janvier 1978, ou du mélange des finalités, aujourd'hui distinctes dans deux textes différents, ou bien encore de la traçabilité de l'accès aux données et à leur effacement mieux garantis.


Pour autant, de nombreuses dispositions qui avaient fait réagir perdurent. Ainsi :


• Le fichage des mineurs dès 13 ans sur la base de la présomption d'atteinte à la sécurité publique ou des mineurs dès 16 ans pour les enquêtes administratives liées à la sécurité publique.

• L
e recueil de données sensibles comme les « activités publiques » ou les « motivations politiques, religieuses, philosophiques ou syndicales », considérées comme pouvant être incompatibles avec l'exercice de certaines fonctions ou missions, sans que soient mieux précisées ces « motivations ».

« l'origine géographique », qui pourrait conduire à stigmatiser des populations non seulement au regard de leur origine ethnique, mais également au regard de leur résidence dans certains quartiers.

Les organisations membres du Collectif « Non à EDVIGE » déplorent et dénoncent le fait que des décrets ont été signés dans la précipitation, alors que de nombreux représentants de l'État et parlementaires, y compris de la majorité présidentielle, avaient convenu que la création de tout fichier portant atteinte aux libertés et aux droits fondamentaux devait être du ressort de la loi.

Ils considèrent que ces deux décrets ne répondent en rien aux objections qui avaient été émises à l'encontre d'EDVIGE. Ils appellent donc à une mobilisation de même ampleur. Ils se réservent par ailleurs le droit de former des recours contre ces décrets devant le Conseil d'État. Ils réclament qu'un large débat démocratique s'instaure sur la question du fichage.

Pour plus d'informations : http://nonaedvige.sgdg.org/

 

14/12/2009

Ecole en danger!!!

ecole-en-danger.jpgFORMATION DES MAITRES, LOI CHATEL : EDUCATION  EN DANGER!

Premier acte : la casse de la formation des profs
Depuis l'année dernière, les Instituts Universitaires de Formation des Maîtres (IUFM) se mobilisent contre la la «mastérisation ». Cette « réforme » du recrutement et de la formation des enseignants a deux objectifs : développer un vivier de précaires formés mais sans statut, qui pourront être recrutés par les académies ou les chefs d’établissements ; et casser la formation, notamment pour faire des économies. De plus dans le nouveau texte du ministère, il n’est plus question des IUFM qui devraient disparaître. Le NPA s’oppose à leur destruction car, s’ils ne sont pas parfaits, ils permettent un minimum de formation et de réflexion pédagogique. Ce texte a d’ailleurs été refusé par les syndicats, la Conférence des présidents d’université (CPU) et les directeurs d’IUFM.

Deuxième acte : « réforme des lycées »
Les lycéens ne s'y sont pas trompés. Ces dernières semaines, la grogne et les grèves dans les lycées ont permis de mettre en évidence les dangers du projet du ministre de l'Education Nationale.
C'est la suppression de l'histoire géographie dans les classes scientifiques qui a provoqué la colère des élèves mais aussi de professeurs, d'historiens et d'universitaires. Mais, au-delà de cette mesure, c'est l'ensemble de la loi Chatel et ses orientations qu'il faut rejeter. Les disciplines comme le français, l'économie sont particulièrement attaquées et dénaturées. Au fond, ce n'est pas une surprise : le gouvernement n'a de cesse de réduire des enseignements étroitement liés à l'ouverture sur le monde, à la culture générale et à la construction de la réflexion personnelle des lycéens. C'est une véritable offensive idéologique du pouvoir qu'il faut combattre.
Enfin la philosophie de la loi a pour objectif en réalité d'orienter de manière rigide les élèves, et de favoriser la « méritocratie ». L'accompagnement « personnalisé » des élèves, indiqué dans le projet de loi, devra s'effectuer, de fait, avec moins de moyens et donc avec une dégradation supplémentaire des conditions de travail tant pour les lycéens que pour leurs profs.
Mais surtout, ne nous y trompons pas, toutes les mesures (comme la diminution des heures d'enseignements dans globalement l'ensemble des disciplines de la seconde et la terminale) accompagne en fait les 16 000 suppressions de postes programmés pour la rentrée 2010. 

Troisième acte : la riposte nécessaire!
La journée du 24 novembre, les mouvements de grève dans les lycées doivent servir à amplifier la lutte. L'heure est grave, nous n'en sommes plus à une attaque de plus contre l'Education Nationale. Le pouvoir veut en finir avec l'idée même de service public. Nous n'avons plus le droit de laisser faire : lycéens, parents d'élèves, personnels d'Education, nous devons nous saisir de toutes les initiatives pour riposter aux «casseurs » du gouvernement, afin de poursuivre les mobilisations de décembre dès le début de janvier 2010.

Lundi 14 décembre 2009



06/12/2009

Réunion publique NPA à Istres

capitalisme1.jpgPourquoi nous sommes anti-capitalistes

 

Lors d'une introduction à une réunion publique organisée par le comité d'Istres, un cadre du NPA fait un rappel sur le pourquoi nous sommes anti-capitalisme.

Cette intervention est suivie de celle d'un camarade de la comission des quartiers populaires du NPA d'Avignon.

Bon visionnage

http://www.npa2009.org/npa-tv/all/14664

 

Et bonne réflexion.

04/12/2009

Clinique privée mais pas de tout et pas pour tous

380335348.jpgCliniques privées, en avant toutes

Alors que depuis 30 ans, les différents gouvernements mènent une offensive contre le secteur public hospitalier, ces mêmes gouvernements favorisent en même temps le développement du secteur privé lucratif  de santé.

En effet, depuis les années 90,  on a assisté dans notre pays comme à l’échelle de l’Europe à une réorganisation totale du secteur privé de santé : regroupements, rachats, fermetures aussi…

Ces regroupements, ces fusions et rachats répondent au besoin des patrons et actionnaires des cliniques privées pour faire face à la concurrence de groupes de santé privée, dans l’objectif d’augmenter leur « part de marché », un marché garanti par la sécurité sociale…

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02/12/2009

Edvige, c'est toujours NON!!!

SainteEdwige.jpgContre les nouveaux décrets "EDVIGE" publiés le 18 octobre dernier,
le Collectif « Non à EDVIGE » appelle les citoyens et les
organisations à se remobiliser. Première action proposée: signez la
nouvelle pétition lancée par le Collectif (texte ci-dessous).

Cette pétition est en ligne à: http://www.nonaedvige.sgdg.org/
spip.php?article1114
Premières signatures individuelles: http://nonaedvige.sgdg.org/
petitions/?petition=3&pour_

voir=oui

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01/12/2009

Attention Grippe P

travailler moins travaille tous.jpgLe 5 décembre 2009 : tous dans la rue contre la Grippe Précaire !

Depuis quelques semaines, dans de nombreuses villes de France (Paris, Alençon, Angoulême, Lyon, Lisieux, Digne, etc.), les militants du NPA et les associations de chômeurs empêchent la propagation de la plus pernicieuse des pandémies : la Grippe P, ou Grippe Précaire. Armés de masques sanitaires, de combinaisons blanches, de rouleaux de scotch de sécurité et de produits nettoyants, ils envahissent les Pôle Emploi, les Caf, McDonald’s, et procèdent à une sécurisation des lieux, des personnes et du matériel.

Ces actions s’inscrivent dans le cadre d’une mobilisation générale contre le chômage et la précarité : opérations de déblocages de dossiers chez Pôle Emploi, occupations de mairies et de lieux symboliques, réquisitions populaires de richesses, marches itinérantes avec escales dans toutes les boîtes en luttes et dans tous les centres névralgiques de la précarité…

 

Toujours plus de chômeurs

Les derniers chiffres du chômage annoncent une explosion du nombre de victimes de la Grippe Précaire, avec 56 000 chômeurs supplémentaires pour le mois d’octobre 2009, ce qui porte le nombre officiel de demandeurs d’emplois à 2,5 millions, sans compter les 3,8 millions de travailleurs en activité réduite !

Derrière ces données officielles, la réalité est encore plus inquiétante. Les victimes de la Grippe Précaire, ce sont aussi tous les chômeurs désinscrits du Pôle Emploi, tous les temps partiels imposés, tous les stagiaires, les intérimaires, les travailleurs en CDD redoutant en permanence le non renouvellement de leurs contrats. Le virus de la précarité s’est aussi propagé aux salariés en CDI, autrefois « stables », aujourd’hui « jetables », avec la menace toujours croissante des licenciements. Nous sommes chaque jour de plus en plus nombreux à devoir payer la crise, à servir de variable d’ajustement pour les profits d’une minorité de puissants.

Contre l’épidémie de précarité, nous n’attendons pas que tombe du ciel un hypothétique vaccin : le remède est politique, collectif, et c’est en sortant de ce système capitaliste que nous éradiquerons la contagion.

 

Nous exigeons :

- un revenu minimum de 1500€ net,

- une véritable réduction du temps de travail permettant à tous de travailler moins et de vivre mieux,

- la suppression de l’offre raisonnable d’emploi (ORE), du 3949, et de tous les systèmes de flicage et de culpabilisation des chômeurs,

- l’interdiction du RSA et de toutes les formes de sous salariat,

- l’interdiction des licenciements.

Bloquons cette machine infernale, amplifions la mobilisation en cours, rendons-nous visibles, occupons les Pôle Emploi, organisons partout des actions contre la Grippe Précaire !

Et surtout, chômeurs, précaires, salariés, soyons nombreux dans les rues le 5 décembre pour les manifestations contre le chômage et les précarités (à Paris, Lyon, Bordeaux, Rennes, Marseille, etc.)

Lundi 30 novembre