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13/03/2013

Tract hebdomadaire du NPA

La révolution syrienne a besoin de notre soutien

logo npa rouge .jpgEn Syrie, malgré la terrible répression, le peuple poursuit son insurrection contre la dictature criminelle des Assad, Bachar qui a succédé à son père Hafez.

En plus des assassinats de masse, le régime mène depuis deux ans une politique de destruction dans les zones révoltées : environ un million de maisons détruites ou endommagées, 300 hôpitaux détruits, pénuries d’eau, de farine et de pain… entraînant le déplacement d’environ quatre millions de personnes et 800 000 réfugiés dans les pays voisins.

Les faux amis du peuple syrien.

Les Etats qui se disent « amis de la Syrie » manœuvrent.

Les uns veulent imposer une solution par le haut maintenant la structure du régime avec le soutien de l’Iran et de la Russie. D’autres, Arabie Saoudite et Qatar en tête, veulent transformer la révolution en guerre confessionnelle par peur d’une extension de la révolution qui menacerait leur pouvoir et leurs intérêts. Ils financent des groupes islamistes extrémistes à l’idéologie sectaire et réactionnaire en contradiction avec l’esprit révolutionnaire. Les Etats Unis refusent de fournir des armes aux groupes liés à l’armée syrienne libre, mais acceptent leur envoi par les pays du golfe aux groupes islamistes extrémistes.

Le peuple refuse les manœuvres de l’extérieur qui maintiendraient la structure du régime et affirme « nous négocierions seulement sur le départ du régime ».

Il refuse aussi sa soumission à l’autoritarisme imposé par les groupes islamistes extrémistes dans certaines zones libérées.

Le mouvement populaire toujours présent.


 

La révolution syrienne a besoin de notre soutien

logo npa rouge .jpgEn Syrie, malgré la terrible répression, le peuple poursuit son insurrection contre la dictature criminelle des Assad, Bachar qui a succédé à son père Hafez.

En plus des assassinats de masse, le régime mène depuis deux ans une politique de destruction dans les zones révoltées : environ un million de maisons détruites ou endommagées, 300 hôpitaux détruits, pénuries d’eau, de farine et de pain… entraînant le déplacement d’environ quatre millions de personnes et 800 000 réfugiés dans les pays voisins.

Les faux amis du peuple syrien.

Les Etats qui se disent « amis de la Syrie » manœuvrent.

Les uns veulent imposer une solution par le haut maintenant la structure du régime avec le soutien de l’Iran et de la Russie. D’autres, Arabie Saoudite et Qatar en tête, veulent transformer la révolution en guerre confessionnelle par peur d’une extension de la révolution qui menacerait leur pouvoir et leurs intérêts. Ils financent des groupes islamistes extrémistes à l’idéologie sectaire et réactionnaire en contradiction avec l’esprit révolutionnaire. Les Etats Unis refusent de fournir des armes aux groupes liés à l’armée syrienne libre, mais acceptent leur envoi par les pays du golfe aux groupes islamistes extrémistes.

Le peuple refuse les manœuvres de l’extérieur qui maintiendraient la structure du régime et affirme « nous négocierions seulement sur le départ du régime ».

Il refuse aussi sa soumission à l’autoritarisme imposé par les groupes islamistes extrémistes dans certaines zones libérées.

Le mouvement populaire toujours présent.

Tous veulent empêcher un changement radical auto-organisé par le peuple révolutionnaire. Celui-ci n’a cessé de répéter son refus du confessionnalisme et sa volonté de renverser le régime pour édifier une société démocratique, sociale et sans discriminations.

Il a développé les expériences des comités populaires au niveau des villages, quartiers, villes et régions. Ils sont la colonne vertébrale du mouvement et de la résistance, allant de l’organisation des manifestations, de l’aide humanitaire, de l’accueil des réfugiés, à la formation scolaire des enfants et adolescent-e-s. Dans les régions libérées, ils sont en charge des services à la population. En coordination avec la résistance armée, ils sont à la base de la résistance, et tout ce qui menace ces deux aspects menace l’existence du mouvement populaire et le processus révolutionnaire.

Solidarité internationale !

Le constat d’une révolution orpheline de soutien international véritable ne démoralise pas les syrienNEs, qui continuent leur lutte face à une répression terrible. Mais la solidarité avec un peuple en lutte pour son émancipation reste d’une urgence criante. Des initiatives unitaires seront prises en France et dans le monde à partir du 15 mars, pour le début de la 3ème année de l’insurrection. Le NPA appelle à y participer massivement, de même qu’aux campagnes d’aide humanitaire et à la défense du droit d’asile pour les Syriens.

 

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