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20/09/2012

Tract NPA Jeunes

Contrats « sans » avenir, précarité, suppressions d’emplois
logo npa rouge .jpgRefusons la politique d’austérité
de François Hollande !
Cette rentrée n’est pas celle du changement pour les jeunes. L’augmentation du
cout de la vie, la difficulté de trouver un boulot sont notre quotidien. C’est aussi la
volonté du gouvernement Hollande.
Il met en place une batterie de réformes pour augmenter la précarité des jeunes
comme les emplois d’avenir (CEA) ou les contrats de génération. Le principe est
toujours le même : ne pas rétablir les postes supprimées par Sarkozy et les rem-
placer par des contrats avec des exonérations de cotisations pour les employeurs.
En clair, l’employeur n’a pas à payer une partie du salaire, c’est l’Etat qui s’en
charge. Sauf que, lorsque l’aide s’arrête, le risque est d’être mis dehors car tu
coûtes trop cher.
Pour les capitalistes, nous coûtons trop cher...


Contrats « sans » avenir, précarité, suppressions d’emplois
logo npa rouge .jpgRefusons la politique d’austérité
de François Hollande !
Cette rentrée n’est pas celle du changement pour les jeunes. L’augmentation du
cout de la vie, la difficulté de trouver un boulot sont notre quotidien. C’est aussi la
volonté du gouvernement Hollande.
Il met en place une batterie de réformes pour augmenter la précarité des jeunes
comme les emplois d’avenir (CEA) ou les contrats de génération. Le principe est
toujours le même : ne pas rétablir les postes supprimées par Sarkozy et les rem-
placer par des contrats avec des exonérations de cotisations pour les employeurs.
En clair, l’employeur n’a pas à payer une partie du salaire, c’est l’Etat qui s’en
charge. Sauf que, lorsque l’aide s’arrête, le risque est d’être mis dehors car tu
coûtes trop cher.
Pour les capitalistes, nous coûtons trop cher...
C’est bien ça le problème pour les capitalistes aujourd’hui : le « cout du travail ».
C’est pour cela qu’ils licencient par milliers dans le monde du travail. Pour la
jeunesse c’est en créant une multitude de contrats atypiques, dans les facs avec
des diplômes de plus en plus spécialisés, qu’ils cherchent à atteindre cet objectif.
Individualiser nos statuts pour qu’on puisse davantage nous payer moins cher ou
nous virer.
Cette situation n’est pas unique à la France, c’est dans toute l’Europe que nous
subissons l’austérité. En Espagne, une manifestation importante a eu lieu mi
septembre contre la politique de rigueur du gouvernement. Nous subissons tous
les mêmes coupes budgétaires dans nos services publics. Cela va s’accélérer avec
un nouveau traité européen, le TSCG que Hollande veut adopter début octobre. Ce
traité vise à réduire les déficits des budgets des états. Alors qu’on exonère de coti-
sations dans le même temps les employeurs, on nous explique ensuite qu’on n’a
pas d’argent et qu’il faut qu’on paye l’addition. Cela à des conséquences puisque
par exemple dans les universités, de nombreuses filières ou parcours ferment en
raison du manque de moyens.
Il faut préparer la riposte !
Pour se battre contre les traités qui institutionnalisent l’austérité, pour se battre
contre les suppressions d’emplois et les contrats précaires, la seule solution c’est
le rapport de force qu’on peut construire. Même avec ce gouvernement on pourra
obtenir des victoires qu’en luttant. D’ailleurs le gouvernement Hollande a déjà
largement prouvé sa volonté d’inscrire sa politique dans celle de la droite qui l’a
précédé.
Un week-end de mobilisation est prévue le 29 et le 30 septembre. Le dimanche 30,
une manifestation centrale à Paris appelée par de nombreuses organisations aura
lieu contre la ratification du traité européen TSCG. Des départs en car sont organi-
sés en province.
Le samedi 29 est aussi l’occasion de soutenir les salariés en lutte qui manifestent
au salon de l’automobile le samedi matin ou avec les salariés d’Aulnay qui se
mobilisent l’après midi.
C’est en luttant tous ensemble que nous pourrons refuser de payer la crise !

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