Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

28/03/2012

Grève générale en Guadeloupe

Guadeloupe: Appel à la grève lkp.jpeggénérale lancé par le LKP

 

Eli Domota, Porte Parole du LKP.

Le collectif "Lyiannaj kont pwofitasyon" (LKP), collectif d’organisations syndicales, politiques et culturelles à l’origine du mouvement social qui avait paralysé la Guadeloupe 44 jours en 2009 lance un appel à la grève générale en Guadeloupe à compter de ce jour afin de "protester contre la vie chère et le comportement des patrons". La durée de ce mouvement n'a pas été mentionnée.


Guadeloupe: Appel à la grève lkp.jpeggénérale lancé par le LKP


Eli Domota, Porte Parole du LKP.
Le collectif "Lyiannaj kont pwofitasyon" (LKP), collectif d’organisations syndicales, politiques et culturelles à l’origine du mouvement social qui avait paralysé la Guadeloupe 44 jours en 2009 lance un appel à la grève générale en Guadeloupe à compter de ce jour afin de "protester contre la vie chère et le comportement des patrons". La durée de ce mouvement n'a pas été mentionnée.

Tous les syndicats de branche de la centrale syndicale indépendantiste "Union générale des travailleurs de Guadeloupe" (UGTG), fer de lance du LKP, ont lancédes appels à la grève en les déclinant avec des revendications sectorielles. Plusieurs autres centrales syndicales locales appellent également à cette grève générale.

Selon un communiqué de la "centrale syndicale indépendantiste" (CTU), cette grève vise à "protester contre la vie chère et le comportement des patrons, qui font tout pour que les salaires n'augmentent pas, ce qui a pour conséquence d'exclure d'une consommation acceptable de nombreux secteurs sociaux de notre pays. (...) Cet inégal accès à la consommation, qui pénalise de nombreux guadeloupéens, doit cesser".

Les protestataires dénoncent le fait que certains employeurs qui ont touché des subventions refusent d’appliquer les accords sur les salaires signés en 2009, alors qu’ils sont inférieurs de 40% par rapport à ceux de Métropole et que les charges et loyers continuent d’augmenter.

Depuis la fin du mouvement social de 2009, qui s'était traduit par la signature d'un accord interprofessionnel accordant 200 euros d'augmentation aux bas salaires (dont une partie prise en charge par l'Etat et les collectivités, pour une durée prolongée jusqu'en janvier 2013), le LKP a déjà appelé à plusieurs grèves générales illimitées qui n'avaient pas vraiement été suivies.

Mardi 27 Mars 2012 - 14:01
Orly
   
 

Commentaires

c'est bien de revendiquer les droits du peuples guadeloupéens, mais faut pas oublier ceux qui sont les plus démuni ne pourront pas survivre à cette grève, au moins faudrait il les laisser remplir leur foyer, régler les problèmes de banques ou de justice, et après lancer cette grève comme il faut sans pénalisé le peuple,mais pénalisé que les profiteurs, ceux qui ont l'argent, et soit disant ne peuvent jamais embaucher les jeunes ou autres.
Ceux qui volent l'argent de leurs employées, ceux qui ne payent pas leurs employées, qui prennent leurs employées pour des esclaves ou des serpillères,qui ne respectent pas leurs employées ni leurs travaillent, qui abusent de leurs employées, les menacent ou leurs font des propositions déplacés, ceux qui profitent de leurs statuts de patrons et de riches,ceux qui ne veulent pas que les guadeloupéens avancent.
Penser à nous les petis, la plupart de ce que vous revendiquer est une bonne chose, mais ce sont les plus petit qui souffrent, ceux qui n'ont pas de travail, qui sont exclus, qui percoivent les prestations familiales, qui n'ont pas de poste à haute responsabilité ou bien placé.
Une grève bien organisé, bien faite attire un peu plus de personnes à sa cause

Écrit par : b | 28/03/2012

Les commentaires sont fermés.