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11/06/2011

anti-nucleaire sud-est

Rassemblement à Marseille, samedi 11 juin à 11h, aux Réformés. (Communiqué du Collectif Antinucléaire 13)

Il y aura bien un "avant" et un "après" Fukushima. Ce 11 juin 2011, trois mois se seront écoulés depuis le début de la catastrophe nucléaire de Fukushima. Trois des réacteurs sont en fusion, des dizaines de milliers de personnes ont été « déplacées », des quantités massives de rejets radioactifs -la pire des pollutions- se déversent dans l'environnement. La situation est complètement hors de contrôle et les informations drastiquement sélectionnées. En solidarité avec les victimes et les antinucléaires japonais, le Collectif Antinucléaire 13 appelle à un rassemblement citoyen, le samedi 11 juin à 11h, à Marseille (Mobiles, haut de la Canebière).

Communiqué de Presse du Collectif antinucléaire 13
Marseille, le 9 juin 2011


Rassemblement à Marseille, samedi 11 juin à 11h, aux Réformés. (Communiqué du Collectif Antinucléaire 13)

Il y aura bien un "avant" et un "après" Fukushima. Ce 11 juin 2011, trois mois se seront écoulés depuis le début de la catastrophe nucléaire de Fukushima. Trois des réacteurs sont en fusion, des dizaines de milliers de personnes ont été « déplacées », des quantités massives de rejets radioactifs -la pire des pollutions- se déversent dans l'environnement. La situation est complètement hors de contrôle et les informations drastiquement sélectionnées. En solidarité avec les victimes et les antinucléaires japonais, le Collectif Antinucléaire 13 appelle à un rassemblement citoyen, le samedi 11 juin à 11h, à Marseille (Mobiles, haut de la Canebière).

Communiqué de Presse du Collectif antinucléaire 13
Marseille, le 9 juin 2011


IL Y AURA BIEN UN AVANT ET UN APRES FUKUSHIMA.


Ce 11 juin 2011, trois mois se seront écoulés depuis le début de la catastrophe nucléaire de Fukushima. Trois des réacteurs sont en fusion, des dizaines de milliers de personnes ont été « déplacées », des quantités massives de rejets radioactifs, la pire des pollutions, se déversent dans l'environnement. La situation est complètement hors de contrôle et les informations drastiquement sélectionnées.

Ce 11 juin, la société civile japonaise est à l'initiative d'une journée d'action internationale et partout en France des rassemblements s'organisent.

En solidarité avec les victimes et les antinucléaires japonais,

le Collectif Antinucléaire 13 appelle à un rassemblement citoyen,
le samedi 11 juin à 11h, à Marseille (Mobiles, haut de la Canebière).

Le nucléaire est une inacceptable atteinte au vivant (le Comité Européen sur les Risques des Rayonnements estime à 61 millions de morts par cancers l'impact total de la radioactivité artificielle depuis 1945 et à plus d'1 million la mortalité infantile) et Tchernobyl aurait causé environ 1 million de morts en 20 ans selon la très sérieuse New York Academy of Science. Les conséquences de Fukushima seront sans nul doute beaucoup plus terrifiantes.

Sur la base du constat des accidents majeurs survenus ces 30 dernières années, il est statistiquement sûr que nous devrions connaître un accident majeur dans l'Union Européenne au cours de la vie du parc actuel de réacteurs, avec une probabilité de 50% qu'il se produise en France. Qui est prêt à prendre un tel risque ?

L'arrêt du nucléaire n'est pas négociable : Combien de morts, de territoires contaminés, de centaines de milliers de tonnes de déchets radioactifs légués aux générations futures avant que le cauchemar prenne fin ? Les conséquences du nucléaire sur la survie de la civilisation ne sauraient se  mesurer à l'aune des échéances et des alliances électorales. Comment accepter des scenarios de sorties progressives en 20 ans, 30 ans, voire plus ? La vie humaine est-elle à la merci de quelques portefeuilles ministériels et quelques sièges de députés? Combien de victimes du nucléaire seront-elles encore jugées acceptables ? Combien de cobayes encore à sacrifier ?

L'arrêt immédiat du nucléaire ne relève pas d'un délire irrationnel ou d'une utopie d'extrémistes. Des solutions drastiques et rapides existent pour peu que l'on en ait la volonté : arrêt de la production d'électricité pour l'export, de l'auto-consommation de la filière nucléaire, utilisation à pleine capacité de notre parc hydroélectrique, des centrales thermiques existantes...

Mettre fin à l'épée de Damoclès nucléaire n'est pas un problème technique, mais un problème politique qui dépend de la prise de conscience et de notre exigence vis-à-vis de nos représentants.

L'urgence incontournable n'est  pas d'attendre un changement de société ou de modèle économique pour un monde meilleur, si souhaitable soit-il. L'urgence est de sauver nos vies !

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Contact Presse : Isabelle Taitt – 06 82 45 13 89
collectif-antinucleaire13@orange.fr

 

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