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06/06/2012

Tract Hebdomadaire NPA

L’anticapitalisme, c’est maintenant !

logo npa rouge .jpgTrois bonnes raisons de voter pour les candidatEs présentéEs ou soutenuEs par le NPA.

 Comme par enchantement, tous les mauvais coups, « suspendus» par l’élection présidentielle, surgissent de plus belle. De la cascade des plans de licenciements à la crise grecque et ses répercussions sur la construction de l’Union européenne, la catastrophe sociale est bien au rendez-vous.

 Le peuple grec résiste avec courage à toutes les pressions venant de l’Union européenne et des banquiers. Après 17 journées de grève générale et des mobilisations de masse, les partis institutionnels qui ont porté les plans d’austérité ont été rejetés par plus de 60% des suffrages.

 Alors voter pour nos candidats, ce n’est seulement un bon moyen de dire qu’ici en France, Sarkozy et sa politique, appartiennent au passé et qu’il faut que ça change radicalement. C’est aussi une façon de proclamer que notre avenir est lié à la classe ouvrière des autres pays qui ont les mêmes adversaires que nous, les capitalistes.

Un plan d’urgence

 


L’anticapitalisme, c’est maintenant !

logo npa rouge .jpgTrois bonnes raisons de voter pour les candidatEs présentéEs ou soutenuEs par le NPA.

Comme par enchantement, tous les mauvais coups, « suspendus» par l’élection présidentielle, surgissent de plus belle. De la cascade des plans de licenciements à la crise grecque et ses répercussions sur la construction de l’Union européenne, la catastrophe sociale est bien au rendez-vous.

Le peuple grec résiste avec courage à toutes les pressions venant de l’Union européenne et des banquiers. Après 17 journées de grève générale et des mobilisations de masse, les partis institutionnels qui ont porté les plans d’austérité ont été rejetés par plus de 60% des suffrages.

Alors voter pour nos candidats, ce n’est seulement un bon moyen de dire qu’ici en France, Sarkozy et sa politique, appartiennent au passé et qu’il faut que ça change radicalement. C’est aussi une façon de proclamer que notre avenir est lié à la classe ouvrière des autres pays qui ont les mêmes adversaires que nous, les capitalistes.

Un plan d’urgence

Deuxièmement, vous pourrez vous prononcer pour faire payer la crise à ceux qui en sont responsables, opter pour un plan d’urgence sociale et écologique, donner des forces à l’anticapitalisme, la démocratie directe et l’internationalisme.

Cela veut dire prendre l'argent sur les profits et refuser le remboursement de la dette illégitime afin de financer un bouclier social, augmenter immédiatement les revenus de 300 euros net. C’est répondre à la crise financière et écologique en expropriant les intérêts privés des secteurs clés de l’économie comme le domaine bancaire et l’énergie. C’est présenter des candidatEs qui ne sont pas des politiciens professionnels et qui n’aspirent pas à le devenir car la politique ne saurait être une carrière ou un métier. C’est s’opposer enfin à toute forme de chauvinisme ou de nationalisme, et revendiquer l’égalité totale des droits entre français et immigrés parce qu’ensemble nous sommes plus forts face à nos exploiteurs.

Une opposition de gauche à l’austérité

Troisièmement, vous nous donnerez mandat pour œuvrer à la construction d’une opposition à la gauche du gouvernement Ayrault.

Bien sûr, ces élections sont l’occasion de tourner définitivement la page de la droite. Sans oublier de battre l’extrême-droite à plat de couture. Mais le 18 juin rien ne sera réglé. Au-delà des quelques mesures symboliques prises en période électorale comme le plafonnement des salaires des grands patrons du public, le gouvernement n’a pas l’intention d’augmenter nos salaires, pas plus qu’il n’envisage de légiférer contre les licenciements. Le gouvernent n’abrogera même pas les lois prises par la droite et s’est déjà engagé à respecter le pacte européen de stabilité qui est une véritable camisole de force.

Sous Hollande, rien ne nous sera donné, et ce que nous aurons sera ce que nous saurons arracher. Alors, le 10 juin, contre la droite et l’extrême droite, votons pour la gauche 100 % indépendante du PS, votons anticapitalistes !

 

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