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17/01/2017

Tract hebdomadaire NPA

Primaires socialistes : ce sera sans nous !

Affiche-POUTOU2017-BAT.jpg Après celle de la droite c’est au tour des socialistes. La primaire des socialistes n’attisent pas vraiment les passions ni les foules. C’est une preuve supplémentaire du divorce définitivement consommé entre les classes populaires, saignées à blanc depuis cinq ans par une politique antisociale rarement égalée, et cette gauche institutionnelle, servile vis-à-vis des intérêts des classes dominantes.

Plus c’est gros, plus ça passe ?

Difficile pour les sept participants de « la Belle Alliance Populaire » de susciter un minimum l'envie afin de postuler au rôle du meilleur candidat « pour faire gagner la gauche » en mai prochain tant ils sont discrédités. Montebourg, Peillon, Hamon, Pinel ont tous été ministres de Hollande, Valls a été son Premier ministre. On a pu les voir à l’œuvre pour imposer des mesures dirigées contre le monde du travail et réprimer à tout va. Ils ont tous été zélés dans la mise en place de cette politique, mais ils veulent maintenant se démarquer de ce passé récent. Certains, comme Valls, nous débitent des histoires avec des grosses ficelles en prenant les gens pour des amnésiques : le 49.3 c'est moche, la classe ouvrière est son amie et, désormais, sa principale préoccupation est le pouvoir d’achat.

Des différences… pas vraiment

Ces sept candidats sont tous de bons et loyaux serviteurs de l'appareil d'Etat garant de l'ordre social établi et sont attachés à « la grandeur de la France », c’est-à-dire en pratique à son grand patronat et à ses vendeurs d’armes. Ainsi concernant la lutte « contre le terrorisme » ils ont tous approuvé que la France ait procédé à des éliminations armées lors d'opérations « ciblées », en dehors de tout cadre légal.

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