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29/01/2009

Rêve général

2009_01_29_manif_reve_general.jpg 

3200 à Gap,

800 manifestants à Briançon, 10000 habitants!!!
Des chiffres supérieurs à 2003!!!!

Il y avait une présence notoire du privé : le BTP, le Commerce, les Banques (les agences du Crédit Agricole de Sisteron, Veynes, Gap fermées), l'agroalimentaire (Alpes Coop Fruit « des ronds pour ma pomme »!), le secteur social, les saisonniers...

Grosse majorité CGT, cortège conséquent de la CFDT et de Solidaires, la FSU était faiblement représentée, à la mesure d'une grève moyenne dans l'éducation.

La journée a été très occupée : blocage de la Préfecture le matin, manif à 10 h30, forum et sandwichs à midi, intervention à l'Union Patronale l'après-midi et avant une discussion « tendue » avec un patron pourri, qui a molesté un salarié hier. Les cortèges étaient animés, par plusieurs militants NPA, les slogans ont couvert les camions sono.
Les tracts sont partis comme des petits pains, trois nouveaux contacts, bref une journée constructive...

correspondants locaux

28/01/2009

La grêve, j'en rêve

megaphone1.jpgC’est leur crise,  C’EST LEUR CRISE !

C’EST PAS A NOUS,  DE LA PAYER !

 

Le capitalisme, c’est la faillite

Pour sortir de la crise

Faut pas le réformer, il faut le renverser

 

Rien n’est à eux, tout est à nous

Tout ce qu’ils ont, ils l’ont volé

Partage des richesses, partage du temps de travail

Ou alors ça va péter

 

Il y en a assez, assez

Assez d’cette société

Qui n’offre que le chômage et la précarité

Engraisse les actionnaires et répand la misère

 

LES PATRONS LICENCIENT…

LICENCIONS LES PATRONS !

 

Nous sommes réalistes…

ANTICAPITALISTES !

 

Les jeunes dans la galère, les vieux dans la misère

ON N’EN VEUT PAS, DE CETTE SOCIETE-LA !

 

C’est pas à l’Elysée,

C’est pas à Matignon,

C’est pas dans les salons

Qu’on obtiendra satisfaction !

Il faut lutter

Se rassembler

Pour remplacer

Cet’ société !

 

Pas un sou, pas un penny,

POUR SAUVER LES PROFITS

Pas d’argent de nos impôts

POUR LES CAPITALOS

LE FRIC PUBLIC, POUR LES SERVICES PUBLICS !!!

 

Où est le pognon ?

Dans les poches des patrons !

De l’argent, il y en a

A la bourse, ils savent ça !!

 

Ils ferment les usines,

Ils ferments les écoles,

Yen a ras le bol,

De tous ces guignols !!!

 

Ils cassent les acquis des salariés
Font des cadeaux aux plus privilégiés
Ils sont libéraux
Amis de Parisot
A bas ! A bas ! Fillon et Sarko !
Non non non, au bouclier fiscal

 

De l’argent il y en a,

Dans les poches du patronat !

 

Augmentez les salaires,

Taxez les actionnaires !!!

19/01/2009

Contrôle ANTIsocial!!!

contrôle social.jpgcontrole socia.jpgDébat public sur le contrôle social

Vidéosurveillance, Fichiers généralisés de la population, Rafles

Le vendredi 23 janvier 2009,

Gap, Salle Dum’art

20h30

entrée libre

Organisateurs : radio Zinzine, NPA, Rouge Durance

Nous assistons aujourd’hui à un renforcement des textes et dispositifs débouchant sur une pénalisation accrue des comportements et groupes sociaux, présentés par le gouvernement, à la recherche de boucs émissaires, comme déviants. En quoi cette tendance lourde peut-elle représenter un danger vis-à-vis des libertés en remplaçant le droit à la sécurité, individuelle et collective, par un droit à la sûreté aux contours des plus flous? Vidéosurveillance, fichiers… Comment se traduit cette hystérie sécuritaire ? Comment y résister ?

C’est autour de ces questions que Rouge Durance, le NPA des Hautes-Alpes et radio Zinzine vous invitent à un débat public.

La paranoïa sécuritaire ne nous fera pas taire !!!

19:28 Publié dans Réunions | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fichage, police, justice

15/01/2009

Assez, assez, de cete société là!!!

 7_octobre_1.jpgCFDT – CFTC - CGT – FO – FSU – SOLIDAIRES - UNSA

LA CRISE C’EST EUX

LA SOLUTION C’EST NOUS !

La crise économique amplifiée par la crise financière internationale touche

durement une grande partie des salariés dans leurs emplois et leurs revenus. Alors

qu’ils n’en sont en rien responsables les salariés, demandeurs d’emploi et

retraités, en sont les premières victimes. Elle menace l’avenir des jeunes, met à

mal la cohésion sociale et les solidarités ; elle accroît les inégalités et les risques

de précarité. Surmonter cette crise implique des mesures urgentes d’une autre

nature que celles prises par l’Etat et les entreprises, pour être au service de

l’emploi et des rémunérations.

C’est pourquoi, les organisations syndicales (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU,

SOLIDAIRES, UNSA) appellent les salariés du privé et du public, les chômeurs et les

retraités, à une journée nationale de mobilisation interprofessionnelle le 29 janvier

2009 : elle donnera lieu dans tout le pays à des grèves et des manifestations. Elles

appellent à agir massivement et interpeller les responsables gouvernementaux, les

responsables patronaux et les employeurs pour :

défendre l’emploi privé et public ;

lutter contre la précarité et les déréglementations économiques et sociales ;

exiger des politiques de rémunérations qui assurent le maintien du pouvoir

d’achat des salariés, des chômeurs et des retraités et réduisent les inégalités ;

défendre le cadre collectif et solidaire de la protection sociale ;

des services publics de qualité qui assurent en particulier tout leur rôle de

réponse aux besoins sociaux et de solidarité.

DANS LES HAUTES-ALPES…

10h30 : Manifestation à GAP  

 

départ Préfecture

14h30 : Défilé en voiture jusqu’au siège de l’Union Patronale (Micropolis)

 

 

départ parking de la commanderie à Gap

Gap, le 9 janvier 2009

les syndicats déclarent le branle-bas de combat

sarko-poupee-vaudou.jpgPropositions et revendications des organisations syndicales CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA

lundi 5 janvier 2009

La crise économique amplifiée par la crise financière internationale touche durement une grande partie des salariés dans leurs emplois et leurs revenus. Alors qu’ils n’en sont en rien responsables, les salariés, demandeurs d’emploi et retraités, sont les premières victimes de cette crise. Elle menace l’avenir des jeunes, met à mal la cohésion sociale et les solidarités ; elle accroît les inégalités et les risques de précarité.

Les seules lois du marché ne peuvent régler tous les problèmes.

Face à cette situation et considérant qu’il est de leur responsabilité d’agir en commun, en particulier lors de la journée du 29 janvier, pour obtenir des mesures favorables aux salariés, les organisations syndicales CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA ont décidé d’interpeller les entreprises, le patronat et l’Etat.

Surmonter la crise implique des mesures urgentes en faveur de l’emploi, des rémunérations et des politiques publiques intégrées dans une politique de relance économique.

1 – Donner la priorité au maintien des emplois dans un contexte de crise économique

De nombreuses entreprises mettent la pression sur les sous-traitants et fournisseurs faisant supporter à leurs salariés blocages de rémunérations et pertes d’emplois. Par ailleurs, des salariés sont contraints à des durées du travail élevées, tandis que les salariés temporaires, en intérim ou en CDD, sont les premiers à faire les frais des baisses d’activité. Des entreprises utilisent la crise pour opérer des restructurations tout en maintenant la rémunération de leurs actionnaires.

C’est intolérable et inadmissible.

Les entreprises confrontées aux baisses d’activité utilisent des mesures de sauvegarde d’emplois comme le chômage partiel, les jours de RTT ou de congés… Toutes ces mesures doivent être négociées dans l’objectif de préserver l’emploi et les salaires. Les aides publiques doivent aussi y être conditionnées. Les entreprises doivent améliorer l’indemnisation du chômage partiel et tous les salariés doivent pouvoir en bénéficier. Ces périodes de baisse d’activité doivent être utilisées pour développer la formation professionnelle et renforcer les compétences des salariés.

Dans toutes les entreprises, quelle que soit leur situation, c’est notamment en investissant dans la formation et le travail qualifiant et en réduisant la précarité que la performance sera assurée.

Dans la fonction et les entreprises publiques, il est indispensable de répondre aux besoins de notre société et de la population et de leur attribuer les moyens nécessaires. Dès 2009, le gouvernement doit renoncer aux 30.000 suppressions de postes. Il faut abandonner une politique aveugle de suppression d’emplois et penser autrement l’évolution des services publics dont la qualité et l’emploi constituent une question centrale.

La situation des salariés précaires du public appelle des mesures de justice sociale.

2 – Politiques salariales : améliorer le pouvoir d’achat, réduire les inégalités

Les exigences des actionnaires ont conduit, dans beaucoup d’entreprises, à l’accroissement des inégalités. Elles se sont aussi traduites par une redistribution des richesses privilégiant le versement de dividendes au détriment des salaires et de l’investissement.

Dans les branches, les entreprises, les fonctions publiques, les négociations salariales doivent assurer au moins un maintien du pouvoir d’achat et une réduction des inégalités.

Les allégements de cotisations sociales doivent être conditionnés à la conclusion d’accords salariaux

3- Orienter la relance économique vers l’emploi et le pouvoir d’achat.

Il est de la responsabilité de l’Etat et de l’Union Européenne de décider de politiques d’interventions publiques coordonnée favorisant une relance économique. Celles-ci doivent viser à la fois :

§ Une relance par la consommation en améliorant le pouvoir d’achat, en priorité des revenus les plus modestes parmi lesquels de nombreux salariés, demandeurs d’emploi, retraités et bénéficiaires de minima sociaux.

§ Une politique de développement de logement social à la hauteur de l’urgence, un encadrement des loyers et un accès au crédit dans des conditions excluant les taux usuraires.

§ Une protection sociale (santé, retraite…) dans un cadre collectif et solidaire

§ Des investissements ciblés, en particulier en matière d’infrastructures, d’équipements publics et de services publics, en favorisant la recherche, le développement, l’éducation et la formation.

Les investissements publics et privés doivent notamment être orientés en faveur d’une économie du développement durable mettant en œuvre les principes adoptés au Grenelle de l’Environnement.

§ Toute aide accordée à une entreprise doit être ciblée et faire l’objet de contreparties. Elle doit être conditionnée à des exigences sociales, en particulier en matière d’emploi. Elle doit faire l’objet d’une information et d’un avis préalable des élus représentant les salariés. Dans le cas spécifique du secteur bancaire, l’utilisation des aides publiques doit donner lieu à un contrôle direct par l’Etat.

4 – Préserver et améliorer les garanties collectives

Les conditions de vie et de travail pour les salariés des secteurs privé et public, passent par l’amélioration du cadre collectif. C’est pourquoi il faut :

- abroger les dispositifs légaux qui ont conduit à remettre en cause la réduction du temps de travail
- retirer la proposition de loi sur le travail du dimanche.
- respecter le dialogue social sur tous les projets et propositions de loi qui touchent à la réglementation du travail.
- face à la révision générale des politiques publiques (RGPP), mettre en oeuvre des réformes porteuses de progrès social

5 – Réglementer la sphère financière internationale

Cette réglementation doit mettre un terme à la spéculation, aux paradis fiscaux, à l’opacité du système financier international et encadrer les mouvements de capitaux. L’Union européenne doit être au premier plan pour l’exiger.

Il faut aussi imposer le respect des droits fondamentaux et sociaux et des normes internationales de l’OIT dans tous les échanges internationaux. L’aide publique au développement doit être maintenue et améliorée. C’est ce que demande le mouvement syndical international

Le 5 janvier 2009

11/01/2009

Gaza = Guernica

gaza unitaire.gif

200 personnes se sont rassemblées le samedi 10 janvier dans l’après-midi, à Gap, esplanade de la Paix, à l'appel du collectif 05 pour l'arrêt des massacres à Gaza et la paix en Palestine.

 

 

 

 

Plusieurs personnes se sont exprimées (voir texte en pièce jointe).

Le collectif a décidé d'appeler à de nouveaux rassemblements à Gap:

 

-  le MERCREDI 14 JANVIER à 18h esplanade de la Paix,

 

-  le SAMEDI 17 JANVIER à 15h esplanade la Paix.

 

La mobilisation doit s'amplifier face au désastre en cours.

 

 

France Palestine Solidarité 05, Mouvement de la paix, CGT, association pour une alternative citoyenne à gauche, les VERTS, LCR, NPA, PCF, Collectif citoyen et solidaire de Briançon, ATTAC, Solidaires, Artisans du monde Briançon, CCFD terre solidaire, Association des communistes unitaires, Echangeons le monde ( ASPAL, Artisans du monde), POC, CFDT, FSU, Solidarité Maroc, Témoignage Chrétien, Agir Unis dans le Briançonnais pour une alternative politique de gauche, le M-PEP 05, l'ACAT, Amnesty International groupe 186, Secours Catholique/Caritas France.

07/01/2009

Palestine vivra, Palestine vaincra!!

 

israel_alliot-marie.jpgArrêt des combats à Gaza

Paix en Palestine

 

Des centaines de morts, plusieurs milliers de blessés... Il faut  crier que cela suffit !

Nous demandons au gouvernement français et à l’Union Européenne d’agir :

 

·       Pour l’arrêt immédiat et inconditionnel des bombardements et de l’intervention terrestre sur la bande de Gaza.

·       Pour condamner les provocations du Hamas et les ripostes disproportionnées de l’armée Israélienne.

·       Pour la levée totale et définitive du blocus (permettant notamment le passage immédiat des convois médicaux)

·       Pour affirmer sans ambiguïté qu'il n'y a pas de voie militaire à la paix au Moyen-Orient

·       Pour l’envoi de toute urgence de casques bleus afin de s’interposer entre les belligérants et de protéger les populations civiles

·       Pour la mise en place d’une commission d’enquête internationale sur les crimes commis

·       Pour la suspension immédiate des accords d’association entre l’Europe et Israël jusqu’au respect, par ce dernier, des conventions de Genève et des résolutions de l’ONU

·       Pour  l’arrêt de la construction du mur de séparation et des colonies.

·       Pour la mise en œuvre intégrale des résolutions de l’ONU (notamment, le retrait inconditionnel de l'armée et des colons de tous les territoires occupés, la création d'un État palestinien viable et l'application du droit au retour des réfugiés)

 

La gravité de la situation ne souffre aucun délai, ni aucune tergiversation. Il ne peut plus s'agir d'obtenir un simple retour au calme. Il faut maintenant prendre les mesures politiques contraignantes qui imposeront la fin de l'occupation, préalable indispensable à la paix.

Gap le 7 janvier 2009

 

France Palestine Solidarité 05, Mouvement de la paix, CGT, association pour une alternative citoyenne à gauche, VERTS, LCR, NPA, PCF, Collectif citoyen et solidaire de Briançon, ATTAC, Solidaires, Artisans du monde Briançon, CCFD terre solidaire, Association des communistes unitaires, E’changeons le monde ( ASPAL, Artisans du monde), POC, CFDT, FSU, Solidarité Maroc, Témoignage Chrétien, Agir Unis dans le Briançonnais pour une alternative politique de gauche, le M-PEP 05, l'ACAT, Amnesty International groupe 186.
 

24 organisations du département des Hautes Alpes :

France Palestine Solidarité 05, Mouvement de la paix, CGT, association pour une alternative citoyenne à gauche, VERTS, LCR, NPA, PCF, Collectif citoyen et solidaire de Briançon, ATTAC, Solidaires, Artisans du monde Briançon, CCFD terre solidaire, Association des communistes unitaires, E’changeons le monde ( ASPAL, Artisans du monde), POC, CFDT, FSU, Solidarité Maroc, Témoignage Chrétien, Agir Unis dans le Briançonnais pour une alternative politique de gauche, le M-PEP 05, l'ACAT, Amnesty International groupe 186.

Appellent à manifester

Samedi 10 janvier 2009

à 15 h

Esplanade de la Paix

Gap

 

                 La situation dans la bande de Gaza évolue d’heure en heure. Nous écrivons ce tract mardi soir alors que plusieurs écoles viennent d’être bombardées. Nous ne savons pas ce que sera la situation dans quatre jours mais nous devons nous retrouver très nombreux pour exprimer notre solidarité avec le peuple palestinien dans ces moments dramatiques.

 

Nous étions 100 le mardi 30 décembre, 140 le vendredi 2 janvier nous devons être encore plus nombreux ce samedi 10 janvier 2009.

 

 

Le collectif